Peuple français, il faut choisir ! "Déliquescer" avec le PS ? Ruiner la France par la Gauche ou par le FN ? Ou une Droite Forte pour redresser le pays ? (26 janvier 2016)
Debout la droite … une droite « gaucho-centrisée » et le FN en 2022 ? Ou une Droite Forte dès 2017 ?
Peuple de France, ça suffit ! Assez de jérémiades sur le chômage, le niveau de vie, l’insécurité ou l’invasion ! Parce que tu ne voulais pas qu’on te bouscule et qu’ils te l’avaient promis, tu as lâchement confié les rênes de l’Etat à des gens incapables de conduire le pays et de faire face aux changements du monde. Toi seul, est responsable ! Assume donc sans geindre ni récriminer mais lève-toi en 2017 ! Il faut redresser la France et refaire l’Europe !
Vas-tu donner raison au jugement d’Ernst Jünger ? En suivant la pensée de Nietzsche et dès après la guerre, il décrivait ainsi le processus de « médiocrisation » de l’homme européen qui allait devenir l’archétype de notre désespérante société de petit-bourgeois insatisfaits : … « bien qu’il ne soit pas dépourvu de lieux communs spécieux, il sera dispos, intelligent, actif, méfiant, sans amour pour les belles choses, dénigreur par instinct des types et des idées nobles, attentif à ses avantages, épris de sécurité, docile aux propagandes, enflé de théories philanthropiques, mais tout aussi enclin à recourir à la contrainte pour peu que ses proches et ses voisins ne se plient pas à son système ».
Vas-tu continuer d’écouter ceux qui te bercent à la bien-pensance et au penser-faux de ces intellectuels d’après-guerre dont Simone Weil disait qu’ils ne sortaient de leurs rêves que quand leurs belles théories se heurtaient à l’écueil des réalités ? Tu t’es laissé « enchanter » par les boniments de Mitterand puis de Jospin qui, dans le sillage des faux-penseurs soixante-huitards, te promettaient la facilité plutôt que l’effort que te demandaient alors Raymond Barre ou Alain Juppé. Et tu as recommencé en 2012 avec Hollande qui, plus aveugle et retors encore que Mitterand, a réussi à te tromper encore avec le même discours démagogique et irréaliste alors que le pays ne pouvait plus se permettre le moindre laisser-aller dans le monde mutant de ce début du 21è siècle. Ta seule circonstance atténuante est qu’Hollande arborait une bonne tête d’honnête homme alors que tu n’avais aucune excuse pour Mitterand dont il était évident qu’il était une arsouille comme le qualifiait de Gaulle !
Tu es parfaitement complice de la tromperie de 2012 parce que tu renâclais devant l’effort et la discipline qu’exigeait de toi Nicolas Sarkozy pour remettre la France en état de faire face aux défis du monde. Il avait pourtant réussi à surmonter la crise mondiale et la crise européenne des années 2008 à 2012 grâce à la détermination et à la coopération exemplaires du couple franco-allemand et il avait commencé de mettre en œuvre les mesures de redressement du pays. Tu as préféré Hollande qui comme Mitterand autrefois, te promettait la félicité dans la facilité et dont l’incurie mène aujourd’hui la France, et par défaut l’Europe tout entière, à la déliquescence politique et sociale jusqu’au désastre économique si on n’y met fin au plus tôt.
Et tu as le front de te plaindre alors que tu es le vrai responsable par manque de sagacité et pire encore de bon sens !!?? Et cela alors que toi, le peuple, tu es censé avoir ce bon sens à la différence de nos intellectuels et cultureux qui, eux, prétendent se réserver l’intelligence.
Malheureusement l’intelligence dont on a besoin en politique, c’est l’intelligence du monde et ils ne l’ont pas !
Il paraît que tu ne fais plus confiance au « politique » ! C’est ce que claironne l’étude que vient de sortir le CEVIPOF de notre très gaucho-bien-pensante Ecole des Sciences Politiques. Journaleux et sondageux s’en délectent car ils adorent ânonner les poncifs ou évidences dont les abreuvent penseurs et intellectuels qui cherchent explication à tout et proposent des solutions à tout ! Pour certains, il faut mettre à bas les institutions, faire une VIè République ! Pour d’autres moins ambitieux, il faudrait interdire le cumul des mandats ou réduire les émoluments des élus ! Pour tous, il faudrait mettre en œuvre une démocratie participative qui ramènerait les responsables au peuple et aux réalités du monde ! On en revient ainsi aux élucubrations auto-gestionnaires du vieux PSU des années 60 ou au modèle de gestion locale des cantons suisses ou des collectivités territoriales du Poitou-Charentes dont Ségolène Royal nous vantait les charmes il y a quelques années ! On voit même resurgir en ce moment cette idée que « la société civile » devrait prendre en mains les affaires de l’Etat. On n’a jamais vu que la société civile en soit capable mais « refonder la démocratie » quel beau slogan !
Les penseurs théorisent et les faiseurs d’opinion étalent donc leur « morale de troupeau » avec cette idée que notre démocratie ne marcherait plus et que les politiques ne seraient pas à la hauteur des défis de notre temps !
Une première question pour lever un doute sur la nature même de cette démocratie : n’en est-ce pas le principe-même que le peuple élise les responsables politiques des différents niveaux et que ceux-ci en retour, rendent compte à ceux qui les ont élus ? Si le peuple ne se trompe pas dans son choix et si l’élu fait bien son travail, tout doit fonctionner ! Ne serait-ce pas alors tout simplement, que le peuple se soit trompé dans le choix de ses élus et que ceux-ci ne fassent pas correctement leur travail sans que le principe démocratique soit en rien mis en cause ?
Une deuxième question : le rôle exact du « politique » ? Il est bien d’appréhender le plus complètement possible la problématique des gens, de la société, de l’Etat ou de la nation suivant le niveau du politique en question, et de prendre les décisions qui en permettront selon les cas, la sauvegarde, le développement et l’épanouissement dans tous les domaines économique, social, sociétal ou culturel. Seuls, « les politiques » sont responsables de la réflexion, de la décision et de l’action politiques, pas les intellectuels ni les journaleux ! Ils n’ont pas les éléments de jugement du politique et n’ont a priori ni sa motivation ni ses capacités puisqu’ils sont à leur place et pas à la sienne ! Qu’ils y restent !
Un intellectuel comme on l’a dit, n’a pas nécessairement l’intelligence du monde et un journaliste souvent, croit savoir des choses qu’il ne connaît pas vraiment et ne maîtrise en rien surtout quand lui prend l’envie de vouloir tout commenter et de faire de l’audience ! Quant à la société civile, responsables d’associations, ONG, entrepreneurs, salariés, agriculteurs professions libérales, experts divers, ils ont bien entendu l’expertise de leur secteur mais cela ne suffit pas pour en faire à coup sûr, un politique capable sinon d’embrasser les problèmes du monde, du moins ceux de la collectivité jusqu’au niveau national avec ses implications européennes et internationales. Il s’agit en effet de niveaux très différents de pensée et d’action.
Laisse donc les « penseurs » et les idéologues à leurs échafaudages intellectuels hors du temps et des réalités. Laisse aussi les faiseurs d’opinion à cette « morale de troupeau » qu’ils se plaisent à ânonner selon l’air du moment et le sens du vent ! Laisse la société civile à ses crispations ! Tous parlent et râlent mais ils ne sont pas dans la réflexion ni l’action politique. Ils sont dans leur monde ou plutôt « dans leur petit coin à cuire leur petite soupe sur leur petit feu » … et cela, ce n’est pas du politique !
« Le politique » est par nature du niveau supérieur puisqu’il engage le peuple, l’Etat ou la Nation. Il peut se faire en revanche que les politiques conduites soient inadaptées, mauvaises voire inconsidérément destructrices pour lesdits peuple, Etat ou nation comme c’est le cas aujourd’hui avec le gouvernement socialiste de François Hollande !
De cela, nous rebattent les oreilles ceux de nos penseurs et écrivains qu’on appelle « les déclinistes » et ils ont raison qu’ils soient à l’origine, des « penseurs » de droite ou plus étonnamment de gauche ! Ils ont parfaitement décrit le phénomène de déliquescence nationale et même européenne dans lequel nous a entraîné la gaucho-bien-pensance, cette abomination née avec nos intellectuels normaliens d’après-guerre bientôt relayés par quelques penseurs dé-constructeurs soixante-huitards qui confondaient liberté et libertarisme ou égalité et égalitarisme, et dont l’oeuvre a été achevée par nos humanitaristes modernes qui ont tenté la synthèse finale d’un marxisme vieilli avec les bons sentiments très chrétiens et la nouvelle doxa écolo-droit de l’hommiste !
On peut cependant reprocher à ces penseurs déclinistes, leur penchant trop exclusif pour la démolition des « dé-constructeurs » obsessionnels de notre civilisation ce dont on doit les féliciter mais qui entraîne une certaine absence de propositions concrètes pour remédier au déclin et à la déliquescence qu’ils dénoncent. Il est bon de dire et nommer les choses, les difficultés et les problèmes car cela permet d’en entrevoir les solutions mais l’action exige d’aller beaucoup plus au fond.
« L’action, ce sont des hommes au milieu des circonstances ! » disait de Gaulle. Les circonstances sont là, oh combien porteuses de périls pour la France et par elle, pour l’Europe et la civilisation européenne ! Il nous manque les hommes !
Pour éviter le désastre, il faut choisir ! Amplifier le processus de déliquescence nationale avec un PS « amolli » dans ses utopies gauchisantes mais toujours incapable de décider autrement qu’à contresens ? Ruiner le pays avec les projets irréfléchis d’un FN brouillon ou d’une « Gauche » irrémédiablement obtuse ? Ou réformer l’économie du pays, rétablir l’autorité de l’Etat et assurer la cohésion nationale avec une droite forte qui traite les problèmes tels qu’ils sont ?
La gauche a échoué et Hollande a perdu toute crédibilité à l’intérieur comme à l’extérieur
La France recule quand les autres avancent et l’Europe patauge faute que Paris puisse jouer son rôle habituel d’aiguillon d’autant que la politique allemande se fait de plus en plus brouillonne ! La France et l’Europe sont en danger par incurie de ce « Non-Gouvernement » des socialistes français … il suffirait d’un coup de tabac imprévu sur les marchés et la France prendrait bien vite le chemin de la Grèce faisant éclater l’Europe et ses rêves de puissance ou de simple existence dans le monde du 21è siècle !
Comment par ailleurs, croire à la rédemption sociale-démocrate voire sociale-libérale de la gauche française après tant d’annonces et d’échecs successifs ? Hollande, véritable obsédé des « synthèses » molles, cherche à concilier les envolées « libéralistes » d’un Macron avec les archaïsmes gauchisants d’une Taubira ou d’une Aubry. Exclusivement branché sur l’objectif du deuxième tour des présidentielles de 2017, il est prêt à toutes les compromissions entre ses gauches et ses diverses clientèles terra-noviennes et décidé à ne rien faire pour la France ni pour le peuple français qui puisse le gêner dans ses ambitions. Il l’a dit et redit depuis son discours de mai 2015 à Carcassonne. Immobilisme au mieux, faillite nationale comme perspective ! Ce n’est plus de la politique, c’est de la trahison, de l’escroquerie politique en tout cas !
La gaucho-bien-pensance est la maladie la plus répandue dans le monde occidental (le « liberal politically correct » des anglo-saxons !). Elle le paralyse et lui fait perdre son temps et son énergie face aux défis que lui lancent à la fois, le monde émergent et le « web ». La France est particulièrement touchée par l’épidémie et son éradication va être difficile du fait que nous en sommes à la troisième génération éduquée à la « soixante-huitarde » depuis l’école primaire de la République jusqu’à l’Université et que le virus s’est répandu dans la quasi-totalité des écoles de journalisme et dans toutes les structures du « service public » à la française jusque dans une grande partie du corps judiciaire, le saint des saints de notre démocratie ! L’Europe nordique en est fort atteinte également et la maladie vient d’éclater en Allemagne à propos des vagues migratoires incontrôlées de ces derniers mois. Mais plus grave encore, le mal touche la Commission Européenne déjà très affaiblie politiquement et les structures judiciaires européennes, Cour de Justice Européenne et Cour Européenne des Droits de l’Homme, qui risquent d’affaiblir encore les velléités de réaction aux évènements des gouvernements des Etats-Membres.
Hélas, il faut bien accepter que tout le monde ne soit pas beau ni gentil et il faut savoir parfois être dur avec les gens et avec les peuples si on ne veut pas que le laxisme des Etats dégénère en chienlit des uns et en réaction des autres ! La réalité n’est pas ce qu’on rêve contrairement aux slogans primaires et farfelus des faux-penseurs 68tards ni ce que l’idéologie vous commande de croire confondant ce qui est avec ce qui devrait être.
La réalité de notre époque est dure et ce n’est pas le moment d’être faible, ni en économie si on veut de l’emploi ni en matière d’immigration si on veut préserver la cohésion nationale dans nos pays. La gauche française a prouvé qu’elle n’en était pas capable et les palinodies crypto-libérales d’un côté et faussement sociales de l’autre que font miroiter les socialistes aux yeux des uns et des autres, ne sont que du théâtre politicien.
Le Front National n’est toujours pas crédible en tant que parti de gouvernement
Il promeut une vision dure de la problématique « immigration-islam » à la différence de la gauche immigrationniste dont les délires bien-pensants sont une provocation permanente à la chienlit. Il faut en effet, reconnaître au FN une conscience claire des conditions et des mesures à prendre pour sauvegarder la cohésion nationale et préserver l’identité et la culture françaises. Sur ce plan, il entre en concurrence directe avec une droite qui a eu le grand tort de lui abandonner une trop large part de ces thèmes après les hésitations et renoncements de quelques « chiraquiens » et centristes contaminés par la gaucho-bien-pensance. La droite peut légitimement les reprendre et l’urgence nationale du temps lui en fait même un devoir.
Sur le reste, le FN est aussi obtus que la gauche dure. Obsession négativiste à l’égard de l’Europe et de l’euro accusés de bloquer la dynamique française par une règlementation supra-nationale excessive et une paralysante lourdeur bureaucratique. Si on peut être d’accord sur les critiques concernant les excès de règlementation et de bureaucratie, le manque de dynamique en revanche, tient surtout au manque de compétitivité français. Quant à la limitation de notre souveraineté par les oukases de Bruxelles, on ne l’a pas vraiment sentie entre 2008 et 2012 quand Nicolas Sarkozy et Angela Merkel ont de fait, pris la direction de l’Europe. Dans les moments de crise et pour les grandes décisions en effet, ce sont les Etats qui commandent et pas la Commission de Bruxelles ! Certains au FN semblent l’avoir senti puisqu’ils proposent de revenir sur les positions anti-euro du Parti qu’ils jugent irresponsables à long terme. L’Europe, revue sous une autre approche, ne serait donc plus « le Diable »!
De même, on peut se poser la question de la sincérité des élucubrations du style « exploitation de l’homme par l’homme », « riches contre pauvres » ou « préférence pour le peuple opprimé ». La gauche dure encore très « pavlovienne » en fait toujours son catéchisme alors que la « gauche molle » ne les considère plus comme des articles de foi tandis que le FN fait semblant d’y sacrifier. Ce « gauchisme » affiché ne tient en effet, qu’à des raisons essentiellement électoralistes, le but étant de « récupérer » les électeurs déçus de la gauche « bobo-social-traître ». Beaucoup au FN sur ce point également, pensent à réviser leur credo car ils savent bien que c’est l’entreprise qui fait l’emploi et pas l’assistanat social !
Le Front National donc reste encore très flou sur ses options économiques et sociales. Dans ce domaine, il concurrence actuellement la gauche mais il semble vouloir abandonner son positionnement gaucho-démago et virer à droite pour des raisons de crédibilité économique.
Va-t-il clarifier ses options et à quelle échéance ?
Alors quoi ? La gauche persiste à penser faux et à ne rien faire ou agir à contresens ! Le FN en est encore à se poser la question de se rendre plus crédible en tant qu’éventuel parti de gouvernement !
La droite donc, seul recours pour sortir la France du tourbillon de la déliquescence où elle s’enfonce et rétablir le pays dans sa légitime grandeur sur la scène du monde.
Que faire ?
L’éradication de la maladie de « bien-pensance » qui nous empêche de voir la réalité jusqu’à la nier, sera le fil conducteur de l’action de redressement du pays. Cette gaucho-bien-pensance faite de fausses valeurs inventées par quelques intellectuels et faux-penseurs à l’esprit tourmenté pour qui la réalité était trop triviale, des caprices de « gosses de riches trop gâtés » que les réalités et les défis du monde nouveau vont bientôt engloutir.
Partie de notre « gauche » germanopratine, elle en est arrivée à contaminer certains cerveaux de droite inattentifs à l’épidémie ! Elle paralyse l’action et entretient le peuple dans l’incertitude de soi, la culpabilité et au bout du compte, la peur de dire et d’agir. A ne vouloir voir que les belles et bonnes choses, elle nie les réalités et ne fait que rêver le bonheur si bien qu’après liberté et libertarisme, égalité et égalitarisme, elle en vient à confondre fraternité et « bisounourserie » ! Elle fustige le mal et pour ne pas le commettre, elle refuse le risque, l’effort et l’action. Elle invente de fausses valeurs qui l’empêchent de traiter les vrais problèmes ! Elle est philodoxe, cultive le discours qui convient au « troupeau » des faiseurs d’opinion, pratique l’immobilisme et glorifie lapréférence pour la facilité qui apaise plutôt que pour l’action qui dérange. Trop d’hommes politiques y ont succombé et l’incurie de François Hollande pour les problèmes de la France et du peuple français en est le couronnement. Il en résulte ce négativisme absurde qui voudrait qu’on ne puisse plus faire confiance au « politique » pour régler les problèmes du peuple français.
Assez de cette culpabilisation permanente du politique !!! C’est par le politique qu’on redressera le pays et c’est par l’action qu’on le débarrassera de la doxa bien-pensante qui l’étouffe !
Premier pilier du redressement national, l’emploi et la création de richesse par le rétablissement de l’économie productive et des « grands équilibres »
Ni de gauche ni de droite, l’économie « est » et il faut la prendre dans le bon sens ! La séquence de la relance est simple, encore faut-il la mettre en œuvre sans faiblir et quels que puissent être les mécontentements et grognements que cela provoquera. Réformer au fond l’ensemble du secteur public économique, social et administratif pour en améliorer l’efficacité et en réduire le coût. Réduire d’autant la dépense publique et donc les charges ou impôts qui pèsent sur les entreprises et les particuliers. Relancer ainsi la consommation et l’investissement et à leur suite la production, l’emploi et les exportations. Les grands équilibres seront vite rétablis, les inquiétudes de la population vite apaisées et vite évanouies, les élucubrations de nos faux-penseurs en sciences sociales et sombres prédictions des voyants et chamans socio-politiques de l’avenir des peuples !
Deuxième pilier du redressement national, l’autorité de l’Etat, l’ordre public et la cohésion nationale par la refondation de l’éducation nationale, le renforcement du couple police-justice et le cadrage de l’immigration et de l’islam
Aucune société ne peut vivre ni survivre dans la chienlit !Pour le long terme,reconstruire l’éducation nationale en abandonnant les lubies éducatives soixante-huitardes, rétablissant la discipline à l’école et inculquant aux élèves les principes de responsabilité individuelle et sociale ainsi que le goût de l’effort et du dépassement. Il y va du dynamisme de la jeunesse française et de l’intégration ou assimilation effectives des enfants de parents immigrés (la fameuse « diversité » de la bien-pensance !) c'est-à-dire de la cohésion sociale et de l’identité nationale. Pour le court terme, on ne peut plus tolérer que l’Etat laisse quelques groupes violents gauchistes ou droitistes, « écolos » ou « islamos », semer le désordre dans nos villes et nos quartiers ! Pour cela, instituer la tolérance « 0 » et abandonner la désastreuse politique de « l’excuse » en matière de justice afin de redonner toute son efficacité à l’action policière. Donner plus de moyens à l’administration pénitentiaire et durcir son contrôle sur les délinquants emprisonnés. Définir et mettre en œuvre une politique claire et stricte de cadrage du processus d’immigration-intégration, d’acquisition contrôlée de la nationalité française et de pratique de la religion islamique qui permette à chacun de connaître précisément quels sont ses droits et ses devoirs à l’égard de la communauté nationale ainsi que les sanctions auxquelles il s’expose en cas de non-respect de ses obligations (voir à cet égard les deux derniers articles de http://bienpensance-penserfaux.eu sur le thème « immigration-islam et cohésion nationale »).
Une fois le principe établi et respecté ou dûment sanctionné de la responsabilité de chaque individu à l’égard de la société, on verra bien vite disparaître beaucoup de ces comportements laxistes ou provocateurs de la part d’individus ou de groupes que la « pensée 68 » a pervertis en leur inculquant l’idée imbécile que la société aurait la plus grande part de responsabilité dans ce qu’ils croient être « l’insuffisance de leur bonheur » ! Ce sera autant de positif pour la paix sociale et la cohésion nationale, surtout en cette période où les difficultés s’accumulent en raison de la pression migratoire due aux évènements du Proche-Orient depuis les fausses « révolutions arabes » des années 2011-12.
Qui le fera ?
Une droite qui se devra d’être forte pour mener une politique forte. On attend à cet égard qu’il n’y ait ni hésitation, ni murmure ni recul ni dilution de l’action même si les décisions prises engendraient mécontentement social et manifestations de rue ce qui ne manquera pas d’être le cas si elles sont réellement fortes.
Il faudra donc que la campagne du candidat vaille contrat et son élection mandat donné au Président par le peuple pour mettre en oeuvre son programme.
De cette nécessité d’être clair et fort sur les objectifs et sur la manière, découle le fait que le candidat de la droite ne devra pas se sentir et encore moins être lié ou contraint par des considérations électorales ou de « clientèle » du fait d’une certaine complicité ou d’accords politiques passés avec des groupes, fractions ou partis alliés dont l’ardeur réformatrice ne serait pas à la hauteur des défis que le pays doit relever.
Le FN en effet, s’est pour l’essentiel, nourri de l’incurie et des manoeuvres politiciennes de la gauche depuis l’époque Mitterand jusqu’à la période actuelle d’incurie hollandesque mais aussi des hésitations et pudibonderies, en particulier sur les thèmes très sensibles d’immigration et de cohésion-identité nationale , d’une grande partie des centristes et hélas, de quelques chiraquiens qui avaient peur de soutenir comme il aurait fallu, les gouvernants de droite au pouvoir qui voulaient agir. Ceux-ci ne se sentant pas suffisamment appuyés politiquement, n’ont alors pu mettre en oeuvre que des demi-réformes voire même reculé sur quelques-unes. Cela a créé une certaine défiance dans l’électorat de droite dont une partie a alors rejoint le FN accélérant son ascension dans l’électorat d’opposition au point qu’il apparaisse aujourd’hui comme un danger pour l’équilibre des forces politiques à droite.
La situation est telle aujourd’hui qu’un échec du prochain quinquennat, avec une gauche reconduite au pouvoir ou avec une droite qui ne serait pas à la hauteur des besoins de réforme du pays, amènerait inéluctablement le FN à l’Elysée en 2022 voire avant en cas de crise, d’autant qu’il aura eu le temps et l’opportunité de refondre sa stratégie et son programme pour gagner en crédibilité auprès du peuple français.
Or la France aujourd’hui devient chaque jour plus fragile économiquement et sociologiquement du fait de l’inertie de son « Gouvernement » et de la volonté claire de son « Président » de jouer avec le temps en se refusant à prendre quelque risque électoral que ce soit avec pour seul objectif de pouvoir « sauter » la barre du premier tour des présidentielles de 2017. Un comportement qui devrait, moralement sinon juridiquement, lui valoir d’être traduit en Haute Cour pour trahison de l’intérêt supérieur du pays !
Le pays en effet, n’est pas à l’abri d’une crise financière qui le conduirait inéluctablement sur la voie grecque provoquant du même coup le cataclysme européen que tout le monde redoute. Il n’est pas non plus à l’abri d’une explosion sociale ou même d’une guerre civile territorialement fractionnée, en raison de la pression exercée par une migration incontrôlée et des réactions que celle-ci pourrait entraîner de la part des « indigènes » français de souche plus ancienne.
On ne peut pas se permettre de jouer la France et son peuple à la roulette russe ! La gauche ayant failli et le Front national n’étant pas crédible, la France a besoin de la droite pour se sortir du marasme et de la déliquescence dans lesquels elle s’enfonce en raison de son erreur de 2012. La droite ne peut donc pas prendre le risque d’être éliminée par une conjonction hasardeuse de candidatures PS, FN et droite, centre, centriste ou divers droite qui aboutirait à éliminer le ou l’un des candidat(s) de droite qui ait une chance de gagner l’élection et de réussir le redressement du pays !!!
C’est pour cela qu’on ne pourra tolérer les jeux enfantins mais nuisibles à la droite et par voie de conséquence au pays, de candidatures de « témoignage » ou de simple satisfaction d’ego de quelques-un(e)s qui prétendraient se présenter aux primaires voire même perturber le premier tour de l’élection présidentielle de 2017. Ils se reconnaîtront sans qu’on ait besoin de les nommer ! Ils ne serviraient ni leur parti ni leur cause ni leur pays !
Il faut donc se rassembler autour du candidat de droite que nous estimons le plus à même de conduire une politique forte de redressement dans les deux domaines prioritaires, économie/emploi et cohésion sociale/identité nationale, pour replacer la France dans son rôle séculaire de puissance-pivot en Europe et lui permettre de reprendre au plus tôt l’initiative avec Berlin pour la construction d’une Europe capable de devenir la puissance mondiale de référence du 21è siècle.
Les candidats qui ont la volonté, l’expérience et le caractère de mener une telle entreprise ne sont pas légion ! Il n’y en a aujourd’hui probablement qu’un seul ! Ne recommençons pas l’erreur funeste commise en 2012 par trop d’irréfléchis de toute obédience politique qui ont alors, fait passer leur passion ou plutôt leur caprice, avant l’intérêt du pays et ont ainsi fait perdre cinq ans à la France quand le reste du monde avançait !