L'action, ce sont des hommes au milieu des circonstances ! (Charles de Gaulle)

Pour en finir avec la gaucho-pensance et la déliquescence nationale, une droite forte et sans compromission (Journal et brèves de combat)

... la bataille est engagée pour le redressement de la France  ...                                                

 

(A suivre ... )

 

 

3 Mai 2017 :   Ils ont « pensé » à leur niveau mais pas à la hauteur de la France ! Les irréfléchis, les crétins, les diviseurs, les lâcheurs, les traîtres et les mous …  

 

… et maintenant, les législatives,  la dernière chance du redressement !

 

Les irréfléchis restent irrécupérables . Les gauches toujours aussi obtuses, persistent à penser faux et agir à contresens avec une variante gauche dure démagogique et une variante gauche molle emmanuelo-hollandesque, celle qui vient de passer de justesse au premier tour des présidentielles, plus internationaliste et mondialisante que française et nationale. Quant au FN, il embrouille le peuple par sa démagogie et ses non-sens économiques qui rendent infaisables les seules propositions positives de son programme, celles sur le cadrage de l’immigration et de l’islam !

 

Les crétins et les diviseurs ont confirmé qu’ils étaient incapables de penser à un niveau qui s’élève au-dessus de leur banale médiocrité, c’est à dire de faire prévaloir l’intérêt supérieur du pays sur leurs petites ambitions ou passions personnelles surtout lorsqu’ils les camouflent sans pudeur sous les atours de la « gaullianité ».

 

Les lâcheurs, les traîtres et les mous en revanche pourront être récupérés pour les législatives à condition qu’ils s’abstiennent désormais de dériver vers la gauche comme le font les crabes lorsque pris de panique, ils grouillent et s’écrabouillent pour sortir du panier ! Ils devront durcir leur coquille et s’accrocher fermement au rocher de la droite forte s’ils veulent survivre et servir au redressement de la France, qu’ils soient jeunes ou vieux, mâles ou femelles ! Je ne les nommerai pas de peur d'être injuste avec ceux que j'aurai oubliés !!! Ils (et elles) se reconnaîtront !

 

La seule échappatoire à cette catastrophe désormais programmée qui menace la France, est de faire gagner la droite aux législatives puisqu’aucune gauche vraie ou fausse, dure ou molle, ne voudra ni ne sera capable de réformer le pays au fond … la droite évidemment mais une droite forte, une droite qui aura le courage d’affronter les priorités de la France et la capacité de les imposer au « pouvoir de rencontre » qui sortira de la Présidentielle, à savoir une politique forte de redressement économique et de retour à l’emploi, une politique forte de cadrage strict de l’immigration et de l’islam et enfin, une politique forte de rétablissement de l’autorité de l’Etat. C'est la voie, la seule voie du redressement national et la seule qui permette de reprendre au Front National et aux gauches extrémistes, les électeurs exaspérés qui s'y sont égarés par la faute d'une droite trop molle et d'une gauche incapable. Non Alain Juppé, non Emmanuel-Hollande, la droite ce n'est pas le centre et ce n'est pas au centre que se décide en France, une politique forte.

Vous tous, crétins, diviseurs, lâcheurs, traîtres ou demi-traîtres de la droite molle et du centre, vous n’avez pas seulement trahi Fillon comme vous aviez déjà trahi Sarkozy en 2012, c’est la France que vous avez trahie encore une fois !

 

Faites alors ce qu’il faut pour retrouver votre honneur et la considération du pays. Faites gagner la droite aux législatives pour forcer le destin et rétablir la France dans son rôle séculaire de puissance-pivot en Europe, une Europe qui, en l’absence de la France, va à vau-l’eau au risque de voir disparaître la civilisation européenne ...

                   

 

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15 Avril 2017 : Aux Français qui veulent que la France reste la France et reprenne la tête de l’Europe !

 

Comme en 40, comme en 58, la France s’abîme dans le rang des puissances ! Encore une fois, elle est en péril par la faute de ceux qui nous gouvernent et n’ont pas eu le courage de faire ce que commandaient les circonstances !

La France doit se rétablir dans son rôle séculaire de puissance-pivot en Europe et du même coup restaurer l’Europe en tant que puissance mondiale de référence du 21è siècle.

La gauche encore une fois, a failli par la faute de gouvernants de rencontre qui ne songeaient qu’à se perpétuer au pouvoir en refusant de prendre le risque d’engager les réformes vitales qui conditionnent l’avenir du pays quitte à laisser la France se répandre sur la pente fatale d’une déliquescence totale, économique, financière, sociale et culturelle.

La gauche pense faux et agit à contresens depuis que nos intellectuels d’après-guerre et les « piètres-penseurs » de Normale et autres écoles en sciences humaines et sociales ont lancé leurs bataillons de dé-constructeurs soixante-huitards contre ce qui a fait au cours des siècles, l’esprit et l’essence de la France. Ils ont plongé le peuple français dans le marigot d’une gaucho-bien-pensance d’un totalitarisme tel  qu’il n’arrive plus à s’en dépêtrer et que ses élites en ont été contaminées au point que certaines parties de la droite elle-même en arrivent à préférer « se gauchiser » plutôt que commettre le « sacrilège » de ne pas penser selon « la règle » ! Un délitement de la pensée qui nous amène à confondre liberté et libertarisme, égalité et égalitarisme, fraternité et bisounourserie nous conduisant à nier les réalités d’un monde qui bouge toujours plus vite et à nous enfermer dans un univers mental sclérosé de perdant et donc de « soumis » face aux aléas du monde !

Dans ce monde nouveau dont les peuples et les puissances émergent avec force et parfois, avec une certaine idée de revanche sur les anciennes puissances dominantes, la France ne peut plus se permettre de persévérer dans le laxisme et le « benign neglect » des trente dernières années. Elle doit se relever de la déliquescence où elle s’enlise et prendre les mesures de redressement que ses dirigeants ont lâchement refusé de prendre par inconscience, incurie mais surtout par manque du courage nécessaire pour montrer au peuple le chemin du salut national et plus médiocrement encore, par peur de mécontenter leur clientèle électorale.

Dans quelques jours, le peuple se trouvera devant un choix crucial, entre l’effort et la grandeur de la France ou son déclin et à sa suite, ceux de l’Europe et de sa civilisation tri-millénaire.

S’il se laisse charmer par les utopistes de la révolution dont il subsiste encore quelques coupeurs de têtes trotskistes ou anarcho-révolutionnaires ou de ce qui de nos jours en tient lieu, à savoir la gauche archaïque de Mélenchon ou la gauche du PS « frondeur » qui en sont encore à la lutte des classes du siècle passé, ce serait la ruine immédiate du pays dès l’instant où serait avérée leur possible victoire à l’élection présidentielle, effondrement financier, économique et social bientôt suivi de la disparition de l’influence française dans le monde et donc de la mort de la civilisation française en même temps que se diluerait la spécificité du peuple français sous les « apports » des populations et cultures « migrantes » que nos socialiste bien-pensants loin de vouloir les contrôler, cherchent au contraire à favoriser ! Echec sur les deux tableaux ! Chienlit généralisée !

S’il succombe au charme de la walkyrie du Front National qui par pure démagogie et mal conseillée, s’est laissé aller à cloner le programme socio-économique de Mélenchon pour plaire au peuple mécontent, le résultat sera identique et la chienlit économique et sociale qui en résultera, empêchera même Marine Le Pen de mettre en œuvre les seules propositions qui vaillent de son programme, celles d’un cadrage sévère de l’immigration et de la pratique de l’islam. Echec sur le premier point et incapacité d’agir sur le second ! La chienlit est assurée là aussi !

S’il se laisse tenter par les jeunes et fragiles sirènes de la gauche molle, ceux qui veulent « ré-enchanter » le monde sans le bousculer, ceux qui parlent de « progressisme » sans vouloir sacrifier aux efforts et aux responsabilités qu’il faut assumer pour avancer, ceux qui pensent qu’il suffit de suivre le mouvement et se fondre béatement dans le mondialisme économique et financier et dans un multiculturalisme sans âme en reniant par souci de « modernisme » ou de « renouveau », ce qu’ont été la France, la Nation et ce que le peuple français a fait pour les construire, alors ce sera la poursuite de ce processus mortel de déliquescence progressive dans lequel nous sommes engagés depuis plus de trente ans ! Non, les rêveries contradictoires d’Emmanuel Macron se limitent à quelques idées de réforme libéralisantes qu’il ne parviendra jamais à mettre en œuvre car on ne voit pas très bien ce frêle jeune homme si peu expérimenté résister dans la rue, aux gros bras des Martinez et Mailly de la CGT et de FO enfin réconciliées sur le dos des travailleurs précarisés pour défendre jusqu’au bout les avantages acquis de la bourgeoisie du salariat ultra-protégé du secteur public et des grandes entreprises du secteur privé. Quant à la cohésion sociale et sociétale et à l’identité nationale, son appétence pour l’internationalisme du « fric et de la finance » et son penchant pour « l’ethno-multiculturalisme mondialisé », ne laissent rien présager de très fort ni de très satisfaisant pour l’orgueil national si ce n’est la disparition de la civilisation française et la dilution de la France dans un vaste « melting pot » mondial ! Macron n’a aucun affect national, il nie l’idée même d’une culture proprement française et n’a aucune conscience de la problématique de l’immigration et de l’islam ni la moindre idée de la manière de les traiter. Il mettrait de ce fait en danger immédiat la cohésion nationale et répandrait aussitôt la chienlit.

 

Macron, ce serait le triomphe de la gaucho-bien-pensance avec une touche boboïsante très techno-moderniste, la source même du processus de déliquescence qui nous mine. Ce serait après Hollande, l’apothéose du processus. Le peuple ne voudra pas de ce « sacrificateur » pour notre pays et notre civilisation bi-millénaires ! Comme Mitterand, comme Hollande il ment au peuple, il ne cherche pas le pouvoir pour servir la France mais pour lui-même ! Macron n’est que l’avatar de Hollande en plus frétillant mais tout aussi irresponsable … ce sont des arsouilles comme disait de Gaulle de Mitterand !

 

Les trois priorités du pays sont devenues des urgences vitales, d’abord, le redressement économique pour l’emploi et le progrès social par la réforme du secteur public, la réduction des charges et des impôts et la flexibilisation du droit du travail, ensuite, l’assurance de la cohésion sociale et de l’identité nationale par le cadrage de l’immigration et de la pratique de l’islam, enfin, le rétablissement de l’autorité de l’Etat et la garantie de la sécurité à l’intérieur comme à l’extérieur pour chaque français et pour la nation dans son ensemble.

François Fillon est le seul à embrasser ces trois nécessités nationales qu’il a bien identifiées et pour chacune desquelles il propose des mesures cohérentes et complètes de salut public.

Il est aussi le seul à avoir l’expérience politique et technique de ce qu’il propose. Il est le seul à avoir fait face à la rue avec succès, lors des réformes de 2011-12 sur les retraites et les allègements de charges et d’impôts, remises en cause par la gauche qui s’en est ensuite amèrement repentie.

Oui, Fillon est le seul crédible et capable de faire ce qu’il faut, et jusqu’au bout, pour redresser la France et remettre l’Europe sur ses rails. Sans la France en effet, l’Europe patauge ! On vient de le constater au cours des cinq dernières années d’une politique étrangère désastreuse à l’égard de l’Europe comme de la Russie ou des Etats-Unis ou encore au Proche-Orient et dans le monde arabo-musulman.

On ne peut donc pas croire que le peuple français puisse refaire en 2017 la même bêtise qu’en 2012 en se laissant séduire par le vent de la démagogie et des discours de ceux dont on sait parfaitement qu’ils ne sont ni crédibles dans leurs promesses ni capables de les tenir.

 

 

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11 Janvier, passées les fêtes de Noël, la routine gaucho-pensante reprend sur les ondes comme si 2017 ne devait pas être l’année du grand chambardement !!!

 

Le 9 Janvier sur France Inter, rien n’a changé. Vers 9 heures, Patrick Cohen, le journaleux ordonnateur des cérémonies matinales de « radio-bien-pensance », Sophia Ahram, humoreuse de service et groupie du « vivre ensemble mondialisé », et Aquilino Morelle, le rebelle d’une gauche de pouvoir déliquescente, se congratulaient à l’occasion de la sortie du livre-coup de pied de l’âne de ce dernier sur l’incapacité à gouverner de l’homme qui prétendait « présider » la France ! Ils étaient suivis de l’inarrêtable bavard et habituel cultureux du matin de France Inter, Augustin Trappenard, dont l’invité partageait goulûment avec lui une jouissance quasi-incestueuse lorsqu’ils évoquaient d’une logorrhée continue les méfaits intellectuels de nos plus célèbres faux-penseurs de Sartre à Foucault, Deleuze, Derrida et toute la lignée des dé-constructeurs normaliens et autres penseurs en sciences sociales que venait bien sûr couronner l’ineffable Bourdieu.

 

Bref, ce fut la célébration sur nos ondes de tout ce que la gaucho-pensance entretient de poncifs intellectuels sur l’individu naturellement bon et donc irresponsable face à une société qui le pervertit, sur le vivre ensemble dérivé d’un christianisme social qui restant difficile à fondre dans un marxisme bien dépassé mais qu’on se refuse à renier et qu’on cherche alors, à fusionner dans une « pensée complexe » où on ajoute un peu d’écologisme et beaucoup de droit-de-l’hommisme ! Il en résulte cette non-pensée que nos jeunes et vieux « piètres penseurs » boboïsés et « indignés » psalmodient sous la haute inspiration d’un Edgar Morin et de quelques cultureux du show-biz dans leurs « évènements » NuitDebout sur la Place de la République en France ou dans les envolées lyriques gaucho-modeuses de Podemos ou de 5 Estrelle en Espagne ou en Italie.

 

Que cette célébration assez exemplaire ait eu lieu sur les ondes de notre radio de « Service public » comme d’autres ont lieu chaque jour avec plus ou moins d’intensité et de talent sur toutes les chaînes de radio et télévision dudit « Service », est assez significatif de l’état de contamination de notre société par le totalitarisme gaucho-pensant et en explique l’état de déliquescence avancé en matière économique, sociale, sociétale et culturelle où il ne devient plus possible de penser, de parler et d’agir « hors du cadre ». Les individus, les partis et même l’Etat en sont atteints car il est très aisé de se laisser aller à la facilité quand cette dernière est constamment prêchée et justifiée à vos yeux par les belles âmes de la moralité bien-pensante … et forcément humaniste !

 

Hélas, il arrive un moment où il faut choisir : continuer dans la facilité à laquelle nous invitent depuis quelques décennies le progrès technique qui nous enrichit et la sécurité que nous procure notre protection sociale ou bien ouvrir les yeux sur les changements du monde et nous préparer à affronter les défis que nous lancent les autres puissances et les autres peuples sachant qu’aucun de ces derniers ne sera disposé à nous faire le moindre cadeau. Il s’agit désormais d’une question de survie de notre pays et de notre civilisation.

 

Il est donc urgent de secouer la France et les Français hors de la léthargie où les ont plongés cette si commode bien-pensance et ce criminel penser-faux de nos intellectuels. Leur montrer le chemin de l’effort qui permettra de remettre le pays sur ses rails culturels, économiques, sociaux et sociétaux pour rétablir la France dans son rôle séculaire de « puissance-pivot » de l’Europe et faire ensuite, de cette dernière la puissance mondiale de référence du 21è siècle.

 

Au travail Messieurs les politiques et ne faiblissez pas. Le peuple vous suivra car il a déjà commencé à se réveiller en apercevant l’abîme où le conduisait le pouvoir déliquescent qu’il vient de subir depuis 2012. Il en est certes en partie responsable du fait de la lâcheté de son vote de 2012 et son appétence pour trop de facilité depuis les années 80 mais la leçon des cinq dernières années a porté. La France reviendra en 2017 !

 

 

 

 

 

30 Novembre, Rassemblement pour une droite forte … assez de simagrées ! Les doutes sur Fillon, aigreurs sarkozystes et pudibonderies juppéistes ou centristes ne sont plus de mise ! La droite doit redevenir la droite, sans complexe, ni FN ni PS !

 

Les journaleux, humoreux et commentateurs se sont calmés et pour la Présidentielle de 2017, François Fillon est largement et incontestablement consacré chef de la droite … et peut être aussi du centre ! Où donc en effet, les centristes vont-ils pencher cette fois ? A qui et comment vont-ils se raccrocher ? Leurs divers chefs et cheftaines de tribu vont-ils se décider à reconnaître le résultat des primaires de la « droite et du centre » à laquelle ils disent qu’ils ont participé tout en n’y participant pas vraiment et en menaçant de se réserver la possibilité éventuelle de peut-être, néanmoins, si les circonstances s’y prêtent (et surtout si la droite ne leur consent pas suffisamment de ministères ou de sièges de députés !), de peut-être donc se présenter directement à la présidentielle pour y recueillir quelques pour-cents de suffrages égarés pour le redressement rapide d’une France où la gaucho-pensance a fait de tels ravages, qu’elle sort du désastre hollandesque en pleine déliquescence politique, économique, sociale et sociétale !!!

 

Nicolas Sarkozy avait raison de vouloir aller au peuple tandis qu’Alain Juppé s’obstinait à vouloir re-construire la droite au centre malgré les échecs répétés de cette stratégie qui n’avait réussi qu’à De Gaulle … mais c’était un homme d’exception dans des circonstances exceptionnelles ! Et de fait, il a conduit une politique de droite libérale sans complexe tout en consacrant les priorités d’intérêt national et l’ardente obligation de solidarité sociale ! Le peuple en effet, est exaspéré aujourd’hui par les coquetteries centrisantes qui, penchant un jour à droite et l’autre jour à gauche, soutiennent « la réforme mais pas trop » au point qu’on ne réforme rien ou à-demi depuis des décennies ! Le centre a beaucoup trop écouté les mélopées de la bien-pensance gauchisante qui continue malgré les échecs de vouloir imposer ses fausses valeurs alors que le peuple veut qu’on résolve ses vrais problèmes ! La gauche pense faux et agit à contresens. Le quinquennat de François Hollande vient d’en faire l’éclatante démonstration par cette apothéose de l’échec socialiste, une véritable catastrophe nationale par le délitement de l’identité française, de la cohésion sociale, de « l’entreprise-France », de l’emploi et peut être pire encore, par celui de l’autorité de l’Etat qui s’il persistait, priverait la France de toute possibilité de redressement national et la conduirait inéluctablement à la chienlit généralisée sinon à la guerre civile.

 

François Fillon doit réunir aujourd’hui en une même volonté de « faire » non seulement la droite classique qui aime sa patrie, cette France chrétienne de culture grecque et latine de Clovis à de Gaulle, qui veut protéger sa famille et travaille dur pour assurer l’avenir de ses enfants mais aussi les classes plus populaires qui s’inquiètent pour leur emploi, pour leur sécurité sociale et pour leur sécurité tout court que met en péril un laxisme gouvernemental impardonnable dans le maintien de l’ordre public et dans le contrôle d’une immigration non désirée par le peuple, non indispensable au pays et qui ne lui est que très marginalement utile.

 

Il n’est plus temps de jouer avec les réformes, d’en parler sans les faire et de toujours les édulcorer ou les remettre à plus tard, considérant que l’immobilisme et le recours à l’endettement que Mitterand et encore Chirac pouvaient se permettre, est devenu périlleux dans le contexte du monde actuel. La France est suspendue au risque permanent de s’effondrer et partant, de faire éclater l’Europe après les cinq années d’incurie et de manœuvres politicardes du quinquennat de François Hollande. Le Président de 2017 devra agir et réformer au fond.

 

Le programme de François Fillon est donc bienvenu. Il est indispensable, vital pour le pays sur le plan économique. Il sera dur pour tous, les vieux comme les jeunes, les retraités comme les actifs, ceux du secteur privé comme ceux du secteur public. On travaillera plus sans parfois gagner beaucoup plus selon les accords qui seront conclus au niveau des entreprises ou ce que l’Etat-employeur décidera pour remettre à niveau le secteur public en réduisant son coût et en lui redonnant son efficacité. Le secteur public a été mal habitué par des décennies de lâche facilité et de laxisme pratiqués par des gouvernements qui n’ont pas eu le courage de résister aux demandes voire aux « exigences » de syndicats qui en sont arrivés dans la plupart des ministères, collectivités territoriales, organismes sociaux et opérateurs, à co-gérer les institutions voire à y faire la loi à la place des ministres et des chefs ou responsables nommés par le gouvernement.

 

Cette démission de l’Etat est intolérable car seul le gouvernement par délégation du peuple souverain, est responsable et en charge des intérêts de la nation et d’abord de ses services publics, pas les syndicats ni une quelconque autre prétendue « autorité » politique, technique, sociale voire associative, morale ou médiatique ! La réforme paraîtra d’autant plus dure aux syndicats et agents publics concernés mais l’avenir du secteur public qu’il soit d’ordre économique, administratif ou social, ne pourra désormais se décliner que selon les principes de coût/efficacité optimal, flexibilité/sécurité selon la nature régalienne ou non-régalienne des fonctions, d’amélioration continue dans la gestion optimale des missions, fonctions, procédures et moyens. Ces principes qui régentent la vie de l’ensemble des entreprises et travailleurs du secteur privé devront désormais s’appliquer sans faille au secteur public afin que ledit secteur public ne soit plus et ne redevienne plus le « mammouth » des finances publiques et par suite une entrave à l’épanouissement des entreprises et des particuliers, travailleurs-producteurs, par le poids des charges et des impôts qu’ils payent à l’Etat et la bureaucratie que ce dernier leur impose.

 

 

 

Ces réformes même si elles seront largement approuvées par l’élection même du futur Président, feront beaucoup de mécontents et jetteront dans la rue les syndicats et les travailleurs qui refuseront qu’on touche à leur statut et à leurs conditions de travail et de rémunération. Le Président Fillon devra alors tenir la rue sans dénaturer ses projets ni les reporter. Il sait bien à quoi s’en tenir à cet égard. Il l’a déjà fait avec Nicolas Sarkozy lorsqu’ils ont décidé de reculer de deux ans l’âge de la retraite de tous les salariés en 2011 ! Il faudra faire de même sur toutes les réformes économiques et sociales du programme sur lequel François Fillon aura été élu.

 

Ces réformes sont dures mais elles ouvriront l’horizon de l’économie française à moyen et long terme et sont indispensables si l’on veut lui rendre sa dynamique de progrès et rétablir la France dans son rôle séculaire de puissance-pivot en Europe.

 

Seule une droite forte permettra d’atteindre cet objectif. L’immobilisme mitterandien et un certain « benign neglect » chiraquien ne sont plus tolérables dans ce monde en mutation du début du 21è siècle ! On ne reconstruira pas la droite au centre mais en reprenant par des mesures fortes, effectives et efficaces, les électeurs exaspérés qui ont fui la droite molle pour calmer leurs angoisses dans les mirages du Front National.

 

Une droite forte, c’est aussi une politique claire et ferme concernant la problématique de l’immigration et de l’islam ». Cela inclue l’instauration d’un cadrage sévère sur ces deux points en partant du fait que d’une part, la France n’a pas besoin d’immigration massive mais éventuellement sélective et que d’autre part, l’islam tant qu’il ne se sera pas lui-même réformé, est sujet à des dérives « islamistes » qui ne s’arrêtent que lorsqu’on les prévient fermement ou qu’on les arrête par la force. D’où l’urgence d’un cadrage sévère « immigration-islam » et le souhait ardent d’une réforme de l’islam dont il est fait état dans ce même site sous le titre « cohésion nationale, immigration-islam » (trois textes du mois de Septembre 2016).

 

Les « juppéistes » doivent comprendre que ce n’est pas au centre qu’il faut chercher le salut mais bien vers une droite forte qui en finisse avec la facilité des édulcorations ou des atermoiements. « L’action disait de Gaulle, ce sont des hommes au milieu des circonstances » ! Les circonstances sont graves aujourd’hui et requièrent une action déterminée. Il faut un programme fort, un programme de droite pour redresser le pays et du même coup, bloquer la « fuite au FN » que la droite n’a pas su éviter dans les trente dernières années par trop de faiblesse.

 

Quant aux sarkozystes, ils ont massivement rejoint François Fillon même s’ils souhaitent que ce dernier aille un peu plus « au peuple ». C’est ce que Nicolas Sarkozy avait bien compris de son électorat globalement plus populaire que celui de François Fillon, à savoir qu’il fallait d’une certaine manière, sécuriser et rassurer cet électorat par telle ou telle mesure qui le touche directement comme par exemple, l’exonération des heures supplémentaires. Il conviendrait également de lui expliquer clairement que la réorganisation du système d’assurance-maladie ne fragilisera pas son accès aux soins et ne lui coûtera pas plus cher. Cela sera d’autant plus nécessaire que le « programme Fillon » comporte des mesures fiscales comme la hausse de TVA qui touchent directement ces catégories sociales. Expliquer aussi que la suppression de l’ISF n’est pas un « cadeau aux riches » mais une nécessité économique absolue pour orienter l’épargne capitalisée vers l’investissement et donc l’emploi en France et que si la TVA frappe tout le monde, riches et pauvres, les « riches » devront en plus acquitter une tranche supplémentaire supérieure d’impôt sur le revenu. Chacun contribuera donc équitablement à la mesure de ses moyens. Il ne faudrait pas en effet, que se développe autour de ce programme un sentiment d’injustice sociale et de « préférence pour les riches » qui n’aurait pas de fondement sérieux et que ne manqueraient pas d’exploiter très démagogiquement, les adversaires de gauche ou du Front National … et peut être même les électrons libres de la droite et du centre qui se présenteraient contre François Fillon par gonflement excessif de leur ego et en toute irresponsabilité quant au risque qu’il font prendre à la droite et en conséquence à la France !

 

Il ne s’agit pas d’édulcorer le « programme Fillon » mais bien de montrer aux plus faibles qu’on ne les oublie pas en les assurant de la solidarité nationale et en prévoyant quelques mesures à effet rapide en leur faveur. Expliquer que les mesures de fond demanderont un effort à tous et que même si elles sont dures et dérangent le confort de gestion ou de travail de quelques-uns, elles relanceront et sécuriseront à moyen terme la production et donc l’emploi dans les nouveaux secteurs mais aussi dans les secteurs traditionnels grâce à plus de compétitivité, plus de souplesse et une capacité de réaction accrue des entreprises et des travailleurs français face aux aléas du monde nouveau.

 

Alors le peuple votera avec la droite pour la réforme, le redressement de l’économie et de l’emploi, la cohésion nationale et l’autorité de l’Etat avec pour vision finale de rétablir la France dans son rôle séculaire de puissance-pivot en Europe et de faire de l’Europe la puissance mondiale de référence du 21è siècle.

 

« La route est longue, elle est difficile mais elle est belle » disait de Gaulle ! Levez-vous les Français !

 

… Quant à ceux, sarkozystes, juppéistes, droitistes, gauchistes ou centristes mécontents qui persistent à faire la tête, qui crient au complot parce qu’ils sont déçus que le peuple français n’ait pas choisi leur « champion » et qui poussent les haut-cris à l’idée de l’indispensable rassemblement autour de François Fillon, laissons-les se calmer et qu’ils reviennent bien vite à la raison car l’enjeu, ce n’est ni l’avenir de Sarkozy ni celui de Juppé ni de tel ou tel groupe d’intérêt politique, économique ou social, c’est l’avenir de la France dans le monde ! Ne faisons pas comme eux et contribuons plutôt à la renaissance de la droite telle qu’elle n’aurait jamais du cesser d’être, une droite forte et sans complexe, et bataillons ensemble pour le retour de la France en tête des affaires de l’Europe et du monde !

 

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24 Novembre, Juppé déraille dans « la droite molle UMPS » qui fait fuir la droite au FN ! C’est ce que Sarkozy voulait empêcher avec la droite forte. Maintenant, c’est Fillon !! Refaisons la droite avec lui : Ni FN (pas bon !) Ni PS (très mauvais !)

 

Une mouche vient de piquer Alain Juppé et ses camarades en rajoutent. Ils jouent les kamikazes en piquant sur Fillon et confirment ainsi la contamination déjà ancienne du clan Juppé par la gaucho-pensance et le politiquement correct. « Réforme sociétale » (réforme ou coupable laxisme face aux excès revendicatifs des minorités ?). Démagogie sociale (la réforme oui mais pas trop fort !). Ils parlent de réformes et de programme « raisonnables » mais soulèvent du même coup l’inquiétude quant à leur réelle conviction et à leur volonté effective de les mettre en œuvre. Ils réveillent en même temps les douloureux souvenirs des réformes avortées, annulées ou diluées du chiraquisme d’antan, du chiraquisme qui voulait « construire la droite au centre », cette lubie que Juppé s’obstine à vouloir imposer à la droite malgré l’échec des « deux français sur trois » du giscardisme et celui de l’UMP des années 2000 !

 

Ce n’est pas au centre mais à droite qu’il faut aller car le peuple sait qu’il faut réformer l’Etat et l’entreprise pour relancer la production et l’emploi et cadrer  l’immigration et l’islam pour sauvegarder la cohésion sociale et l’identité nationale.

 

Juppé attaque donc sur la « dureté » du Programme économique de François Fillon qui est pourtant identique au sien à « 1 » point de TVA près mais s’abstient de revenir sur sa « proximité » avec les représentants de l’UOIF et son attachement aux « accommodements raisonnables » avec l’islam qui mettraient à mal la cohésion sociale et la France en danger ! L’islam en effet, ne s’arrête que lorsqu’on l’arrête mais Alain Juppé et ses soutiens ne l’ont apparemment pas bien compris ! Seul un cadrage d’Etat permettra de maîtriser immigration et islam (voir à ce sujet « immigration-islam » sur ce même site http://bienpensance-penserfaux.eu).

 

Non, cher Alain Juppé, la droite doit redevenir la droite car si depuis Mitterand la gauche socialiste est complice du FN par ses décisions à contresens et l’incurie de ses gouvernements, la droite molle « centrisée » est aussi une grande pourvoyeuse du FN en électeurs exaspérés par ses hésitations, ses peurs et ses renoncements !

 

Seule une droite forte bloquera la fuite au FN ! L’objectif n’est pas seulement de reprendre au FN les électeurs que la droite n’aurait jamais dû y laisser partir mais surtout, de ressusciter une droite forte capable de réformer, face à la rue s’il le faut, pour redresser le pays et rétablir la France dans son rôle séculaire de puissance-pivot en Europe.La bataille sera rude pour faire prévaloir l’intérêt général et l’intérêt supérieur du pays sur les intérêts particuliers, économiques ou sociaux et ceux des minorités qu’il faudra bien recadrer pour mettre fin à la chienlit et rétablir la cohésion nationale mise à mal par l’incurie gouvernementale et le manque d’autorité de l’Etat.

 

Fillon aura été choisi pour cela par les électeurs de la primaire de droite. On attend donc d’Alain Juppé qu’il se rallie sans restriction mentale ni tentation de biaiser la politique de la droite forte pour la ramener au centre comme il semble en avoir toujours eu l’obsession. On attend de lui et de ceux qui le soutenaient qu’ils jouent franchement et pleinement le jeu de la droite en se remémorant cette vieille formule des temps difficiles : « Les gaullistes chassent toujours en meute ! ».

 

Aujourd’hui l’intérêt de la France l’exige. Il faut la sortir du tourbillon de la déliquescence où l’ont entraînée les gouvernements de rencontre de la gaucho-pensance et de la « combinazione » socialiste.

 

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21 Novembre, Une droite forte et rassemblée pour redresser le pays ! C’est le message de Nicolas Sarkozy et c’est le salut de la France !

 

La droite encore une fois, n’a pas compris qu’il fallait une droite forte pour qu’elle n’ait plus besoin d’aller au « centre » ! La droite molle depuis trente ans, n’a cessé d’alimenter le Front National en exaspérant ses électeurs par des politiques hésitantes et des demi-mesures inefficaces que lui imposaient ses « alliés » centristes ou qu’elle s’imposait elle-même par ses scrupules ridicules à leur déplaire ! Quand donc comprendra-t-elle que ce n’est pas au centre qu’il faut aller mais au peuple pour reprendre au Front National les électeurs de droite qui s’y sont égarés. La droite alors ne sera plus et ne se croira plus dans cette obligation politique ou morale insensée de se compromettre avec des « centristes » plus préoccupés d’aller dans le sens du vent des modes intellectuelles, des engouements médiatiques ou des combines électorales locales que dans celui de l’intérêt national ! Ce fut un échec quand Giscard d’Estaing parlait des « deux français sur trois » dans les années 76, un échec quand Jacques Chirac et Alain Juppé ont tenté de fondre la droite et le centre dans l’UMP que le FN s’est bientôt mis à qualifier d’UMPS !!!

 

Pour cela, il faut croire en une droite forte et la vouloir, une droite qui aille au-devant des problèmes du peuple et sache les traiter au fond sans invoquer de fausses valeurs ou des pudibonderies bien-pensantes pour les esquiver ou ne les traiter qu’à demi. Nicolas Sarkozy nous a conviés au rassemblement sur la candidature de François Fillon qui est désormais la seule à pouvoir sortir la France de la déliquescence économique, sociale et sociétale où la gauche l’a enfoncée depuis 2012, la seule qui puisse garantir la cohésion nationale par un cadrage ferme de la problématique « immigration-islam », assurer le redressement de l’économie et de l’emploi et rétablir en même temps l’autorité de l’Etat défaillante.

 

 

 

Alain Juppé ? Comment pourrait-on lui faire confiance pour régler les problèmes d’intégration et d’assimilation des immigrés et en particulier des immigrés musulmans qui mettent en danger la paix publique et la cohésion nationale ? Alain Juppé qui au cours de cette campagne a réitéré plusieurs fois sa proximité et sa confiance dans des personnalités musulmanes proches ou appartenant à l’UOIF donc tout à fait impliquées dans l’islamisme politique donc bien loin sauf en paroles naturellement, de l’islam de paix, l’islam modéré, l’islam « compatible » auquel il veut croire sans vraiment connaître l’islam, l’islam de la « taqiyya » c'est-à-dire celui du « mensonge islamique », le même qui ne respecte que celui qui se fait respecter et considère toute gentillesse ou générosité de l’incroyant, du kafir, comme une faiblesse ! Alain Juppé qui met en péril l’identité nationale en se refusant à l’assimilation au nom d’un « differentialisme » et d’un « droit à la diversité » très gaucho-pensants qui nous mèneraient bientôt au communautarisme absolu. Alain Juppé qui, dans la grande tradition du laxisme chiraco-centriste des « chances pour la France » d’un Bernard Stasi et de « notre âme qu’on ne devrait pas perdre en cadrant l’immigration » comme disait un Michel Noir, ne trouve rien d’excessif à une immigration (légale i-e sans compter la clandestine !) de 200.000 individus chaque année quand la France n’a aucun besoin d’immigration ni économiquement ni démographiquement !

 

Comment peut-on faire confiance à Alain Juppé qui se réclame de sa filiation chiraquienne quand on sait l’immobilisme qui a présidé aux mandats de Jacques Chirac qui, à la suite de Mitterand, a profité de la relative faiblesse du niveau d’endettement pour s’éviter de faire les réformes de fond dont la France avait déjà besoin depuis de longues années … ou reculer dans lesdites réformes aussitôt que quelque opposition se manifestait dans la rue ? Pense-t-on vraiment qu’Alain Juppé osera tenir face à la rue quand des dizaines voire des centaines de milliers de manifestants y brailleront contre ses réformes ? De Gaulle l’a fait en son temps. Nicolas Sarkozy l’a fait aussi en 2011 pour l’allongement de l’âge de départ en retraite, première réforme d’envergure consacrant la mise en cause d’avantages acquis du secteur public. Juppé a tellement souffert de son échec de 1995 et du lâchage de Jacques Chirac qu’il n’en aura pas le cœur ou l’énergie !

 

Alain Juppé enfin, le voyez-vous face au candidat du FN, répondre aux moqueries et accusations « UMPS » qui font fuir nos électeurs vers le FN ? Marine Le Pen n’a pas manqué au cours de ces primaires de dire qu’elle aimait bien Juppé parce qu’il est précisément à droite la tête de turc qui lui permettrait de jouer à ce jeu-là et d’attirer à elle les électeurs de droite exaspérés par la seule idée ou à la évocation de cette « droite molle » qu’incarne si bien Juppé ! Et si elle n’y réussissait pas pour 2017, il est évident qu’un échec ou un demi-échec du quinquennat Juppé par trop « d’accommodements raisonnables » et pusillanimité bien-pensante dont une certaine droite accrochée au « centre » est coutumière, nous conduirait inévitablement au triomphe du Front National en 2022 voire avant et donc à l’effacement définitif de la France et de l’Europe sur la scène mondiale.

 

Remercions donc Nicolas Sarkozy pour ce qu’il a fait pour la France au cours de son mandat, la crise surmontée, les réformes structurelles enfin engagées, la France co-dirigeant avec l’Allemagne la re-construction de l’Europe sur la base d’une étroite entente franco-allemande et enfin pour la transmission du sceptre à François Fillon, désormais investi de la mission de redresser définitivement le pays après la catastrophe de la gauche hollandesque, de rétablir la France dans son rôle séculaire de puissance-pivot en Europe et de faire de celle-ci, la puissance mondiale de référence du 21è siècle.

 

Ce sera donc à François Fillon d’accomplir le destin de la France et de l’Europe.

 

 

 

 

 

 

 

20 Novembre, gaucho-pensance et déliquescence nationale, les media sont perdus ! (à reprendre éventuellement pour autre article ??!!)

 

Au soir du 20 Novembre avant le dépouillement du scrutin, les journalistes et les experts ne disent plus rien. Ils glosent sur les hypothèses et, échaudés par l’élection américaine, se demandent avec effroi si le peuple qui a beaucoup voté, l’aura fait dans le « populisme » ou dans la « bien-pensance politiquement correcte ».

 

Ah, cette gaucho-pensance dont les journaleux après des décennies de penser-faux de nos intellectuels dé-constructeurs ont essayé de faire la « morale du troupeau » dont parlait Nietzsche !

 

Cette gaucho-pensance devenue aussi pesante que la dictature communiste même si elle n’a pas encore installé de goulag, aussi terrorisante que le totalitarisme islamiste même si elle n’égorge pas encore ceux qui se refusent à la pratiquer. Gaucho-pensance qui veut que tout se vaille, cultures et civilisations, hommes, femmes, races, langues, musiques, arts etc … Gaucho-pensance qui confond liberté et libertarisme, égalité et égalitarisme, solidarité et bisounourserie, droits à tout ou à rien et droits de l’homme.

 

Cette gaucho-pensance qui nous conduit à vouloir privilégier l’intérêt des minorités contre l’intérêt du peuple tout entier ou l’intérêt supérieur de la nation, quand des juges au nom de leur bien-pensance supérieure en arrivent ignorer volontairement la règle de droit ou les procédures et à se comporter en justiciers pour punir le « méchant » qui ne pense pas comme eux ! Quand …

 

 

 

Juppé continue pour le 2è tour mais 1. Pas fiable sur immigration-islam, 2. N’a rien compris au FN qu’il faut réduire par politique forte au lieu de politique molle qui renforce l’argument UMPS et pousse les électeurs au FN … Juppé n’a décidément rien compris avec sa construction au centre !!!

 

 

 

 

 

15 Novembre, les medias en délire, s’en prennent à Fillon et Sarkozy au moment où Juppé faiblit !?

 

Encore dans l’excitation de « l’horreur trumpienne » où ils refusent de reconnaître la volonté du peuple, France Inter « du Service Public » toujours à la pointe du combat des media pour la « gaucho-bien-pensance », reproche à François Fillon d’avoir commis un crime de lèse-media pour les avoir critiqués sur une des sottes affirmations ou réflexions hors de propos dont ils sont coutumiers et dénigre Nicolas Sarkozy du seul fait qu’il ait osé dire que la « vraie gangrène de notre société » était « la pensée unique » !

 

Tous nos media en effet, à part deux ou trois titres de la presse papier et une ou deux chaines de radio ou télévision, se font en effet, les « faiseurs d’opinion » de la masse boboïsante qu’ils cherchent à abrutir du même élixir gaucho-pensant dont ils se sont intoxiqués eux-mêmes en croyant faire œuvre intellectuelle majeure à la suite de nos faux-penseurs d’après-guerre auxquels ont succédé les dé-constructeurs soixante-huitards et aujourd’hui nos penseurs « complexes » gaucho-écolo-droit de l’hommistes qui continuent de se lamenter sur l’erreur marxienne fondamentale !!!

 

Fausses valeurs et vrais problèmes ! Les media se refusent toujours à « aller au peuple » car les problèmes du peuple sont trop simples donc « vulgaires » et ils ne comprennent pas que leurs fausses valeurs qu’ils qualifient de modernes ou progressistes, ne sont pas la réponse à ces problèmes. Ils créent ainsi de nouveaux problèmes en bloquant toute tentative de solution qui serait contraire au catéchisme qu’ils répandent … la pensée unique gaucho-bien-pensante dont Fillon ni Sarkozy ne sont évidemment les parangons !

 

Comment ne pas faire la distinction entre une espèce en voie de disparition, le journaliste qui traite l’information et le journaleux qui la cache ou la déforme dès qu’elle ne va pas dans le sens de ses préférences ou lubies intellectuelles, politiques, sociales ou culturelles et se sert de son micro pour faire de l’activisme politique, évidemment gaucho-bien-pensant ? Il n’y a déjà plus de « journalistes » dans le « Service public » qui faillit ainsi à sa mission d’information neutre et objective. Quant aux « journaleux », ils peuplent l’immense majorité des medias qui restent et se répandent dans la pensée unique.

 

Comment enfin ne pas faire remarquer la coïncidence des « attaques » anti-Fillon et anti-Sarkozy de nos journaleux bien-pensants et de celles d’Alain Juppé contre les mêmes au moment précis où de dessine une inversion des courbes des sondages en faveur des premiers au détriment du dernier ?

 

Les journaleux français à l’instar des media américains vis-à-vis de D. Trump, seraient-ils définitivement et exclusivement devenus les propagandistes de la gaucho-bien-pensance de l’intelligentsia bobo contre la « vérité du peuple » ? Quant à la notion d’intelligentsia que semble affectionner notre élite politico-médiatique dans sa version la plus courante c'est-à-dire la gaucho-pensante, il y a longtemps déjà qu’on sait que les « intellectuels n’ont pas nécessairement l’intelligence du monde » !

 

 

 

 

 

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13 Novembre, où va Alain Juppé ? Durant cette fin de semaine, au moment où nous pensions à nos soldats morts pour la France et à nos compatriotes assassinés par les dégénérés de l’islamisme, Juppé, sans doute piqué au vif par François Fillon qui monte dans les sondages à ses dépens, psalmodie de plus en plus fort les mantras bien-pensants d’une dangereuse islamophilie et attaque Fillon en reprenant les poncifs anti-sarkozystes les plus élimés !

 

Alain Juppé déclare sur France 3 le 13 Novembre : « Oui, je me sens proche des Frères Musulmans » … !!!! Inconscience et méconnaissance absolue de la problématique immigration-islam ou volonté suicidaire pour la France ?

 

Il confirme ainsi qu’il tient pour négligeable le poids économique, social, sociétal et culturel que représente l’immigration dont les 200.000 individus que la France reçoit chaque année, seraient parfaitement absorbables dans l’optique d’une identité très bisounours et parfaitement heureuse à terme comme il le proclame ! Il ne précise pas toutefois si ce sont les immigrés qui devront faire l’effort de s’intégrer dans les conditions définies par l’Etat ou si la France et la société française qui ne sont aucunement demandeurs d’une immigration dont ils n’ont aucun besoin, devront au contraire faire l’effort de s’y adapter telle qu’elle est ! Sachant qu’Alain Juppé sans doute contaminé par le catéchisme différentialiste voire relativiste de la gaucho-pensance, rejette toute idée d’assimilation qu’il juge contraire aux « droits de l’homme », il est vraisemblable qu’il pense à la seconde hypothèse !

 

Sa déclaration de confraternité faite aux « Ikhwan al Muslimine » nous conforte dans ce doute puisque les Frères Musulmans depuis les années 30, sont l’organisation de combat des idéologues et politiciens islamistes qui veulent faire reprendre à l’Oumma le combat théologique et physique de la conquête du monde sur la base de l’interprétation des textes sacrés telle qu’elle avait été figée au Xè siècle ! Les « Frères » au cours des 8 ou 9 décennies passées, se sont contentés de prôner et tenter d’imposer avec plus ou moins de succès l’islam rigoriste de la chari’a dans les seuls pays du Dar el Islam à commencer par l’Egypte. Mais à mesure que la puissance occidentale déclinait après les indépendances et que le socialisme arabe des débuts s’affaiblissait, les idéologues des Frères se sont aventurés depuis deux ou trois décennies, à prêcher puis tenter de mettre en œuvre un islam de conquête, un jihad offensif, hors des pays d’islam en s’appuyant sur les masses immigrées des pays d’accueil. Les armes de ce jihad selon son intensité, sont la « taqiyya » d’une part, c'est-à-dire le mensonge autorisé à l’origine pour se défendre contre l’ennemi mais bientôt érigé en moyen de combat et de tromperie à l’égard de tous les kouffars de la terre et le jihad offensif d’autre part, à savoir la guerre jusqu’à la conversion forcée, la soumission contre paiement de l’impôt de dhimmitude ou la tuerie en cas de refus des deux premières solutions ou en cas d’hérésie ou apostasie.

 

On comprend donc que cette déclaration d’amour d’Alain Juppé pour les membres de cette si sympathique organisation puisse être jugée choquante et même tout à fait contradictoire avec l’intérêt de la communauté musulmane de France et bien entendu avec tout ce qui fait la civilisation française et européenne, d’origine judéo-chrétienne et de culture grecque et latine comme le rappelait le Général de Gaulle.

 

Oui, Alain Juppé n’a pas pris comme il convenait la dimension du problème « immigration-islam » et cette carence le rend dangereux par les remous voire la chienlit que de tels propos peuvent encourager dans la population musulmane et les justes inquiétudes que cela peut entraîner dans la population française de souche ou assimilée, le tout conduisant alors à un délitement du lien social, à la rupture de la cohésion nationale et au désordre public sinon à la guerre civile. On sait très bien que l’islam dérive facilement en islamisme et une fois parvenu à ce stade, ne s’arrête que lorsqu’on l’arrête par la force ! On peut aimer, respecter et accepter l’islam à condition qu’il respecte « l’autre » et pour s’en assurer, il convient de lui fixer un cadre qui est celui de la République et de la civilisation française hors duquel l’islam ne serait plus acceptable ni accepté !

 

Et le même jour, 13 Novembre, Alain Juppé attaque directement François Fillon en l’accusant de n’avoir rien fait de 2008 à 2012 !

 

L’attaque vise autant Nicolas Sarkozy que F. Fillon et ce poncif éculé dans la bouche de l’ex-Ministre des AE de Nicolas Sarkozy a quelque chose d’irréel dans la mesure où on entend plutôt cette critique insignifiante tant elle est contraire à la vérité, dans la bouche des quelques dizaines de milliers de crétins de la droite et du centre qui ont refusé de voter Sarkozy en 2012 et ont ainsi aidé la gauche à prendre le pouvoir pour nous conduire au désastre.

 

Ils n’ont rien fait ? Qui donc alors a pris les mesures nécessaires avec le Gouvernement allemand pour surmonter les crises de 2008-2012 et nous éviter la crise plus grave encore qui aurait suivi l’éclatement de l’Europe ? Qui donc a fait face à la rue avec ses centaines de milliers de manifestants pour mettre en oeuvre la réforme des retraites, réforme qui a permis de rétablir l’équilibre du système français de protection sociale et seule réforme positive de grande ampleur dans ce domaine depuis de Gaulle,? Qui donc a initié les autres réformes structurelles de réduction de la fonction publique, de transfert des charges sociales sur la TVA, de diminution de l’ISF pour relancer l’investissement national, de détaxation les heures supplémentaires pour redonner du pouvoir d’achat sans peser sur les entreprises, d’instauration du service minimum dans les transports ? etc …

 

Ils l’ont fait en même temps qu’ils ont du faire face aux restrictions et obligations du traitement de la crise. La France s’en est sortie avec beaucoup de mal et sa guérison définitive dépendait de la poursuite et de l’élargissement des réformes structurelles que le « Président de rencontre » qui s’est installé à l’Elysée en 2012 s’est empressé de supprimer, annuler, diluer ou reporter tout en engageant des dépenses inconsidérées et des mesures à contresens par déni des réalités et incompétence puis par incurie et intérêt électoral dans les dernières années du mandat Hollande.

 

Alain Juppé donc les accuse de n’avoir rien fait alors que lui-même participait au gouvernement et connaissait parfaitement ce pourquoi ce gouvernement bataillait. C’est donc une manœuvre électorale malhonnête de même que ses compromissions avec des gens comme F. Bayrou qui, à de nombreuses reprises, a déjà trahi la droite ou JC. Lagarde dont les députés centristes qu’il vient de négocier avec Juppé au cas où ce dernier serait élu, ne se sont jamais montrés très fiables quand il s’agissait de prendre des décisions difficiles du temps de l’UDF comme du temps de la droite molle ex-UMP.

 

Alain Juppé prend ainsi le risque de ne pas être capable s’il était élu, de faire voter les mesures drastiques de cadrage immigration-islam ou de réforme économique et sociale qui sont indispensables au redressement de la France et met ainsi cette dernière à la merci d’une prise de pouvoir par le Front National en cas d’échec du quinquennat. Son chiraquisme revendiqué avec son cursus d’immobilisme patent, ne plaide pas non plus pour une réelle et profonde volonté de réforme ni pour une capacité reconnue de tenir tête aux mécontentements populaires que ne manqueront pas de s’élever contre les réformes !

 

Cher Alain Juppé, la France après le désastre « hollandesque », ne peut se permettre l’échec d’un quinquennat « droite molle » ! Le prochain quinquennat doit être celui du redressement du pays et du rétablissement de la France dans son rôle séculaire de puissance-pivot en Europe. Il y faut une politique forte et un gouvernement solide.

 

 

 

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10 Novembre, Alain Juppé veut « réconcilier les deux France » ! Quelle idée, il n’y a qu’une France !

 

Juppé n’aime pas Trump parce qu’il le trouve vulgaire. La belle affaire ! Beaucoup n’aimaient pas Sarkozy mais se repentent amèrement aujourd’hui d’avoir voté contre lui en 2012 et d’avoir ainsi contribué à l’accélération du processus de déliquescence nationale commencé avec Mitterand et continué avec le chiraquisme, version molle, dont l’immobilisme et le laisser-aller ouvraient largement les portes qui conduisaient nos électeurs exaspérés vers le faux graal du FN. Nicolas Sarkozy après avoir maîtrisé la violente tempête de la crise européenne, voulait assurer cette rupture et avait commencé d’opérer le redressement économique, social et sociétal du pays quand un « Président de rencontre » élu par accident est venu tout remettre en cause et par son incurie maladive a rendu béantes les portes du FN où s’engouffrent maintenant les « déçus » de la gauche !

 

Non cher Alain Juppé, la gauche ce n’est pas la France ni même une des « deux France ». Elle vient encore une fois de prouver qu’elle n’était pas capable d’en prendre les rênes. Et la France, ce n’est pas le centre non plus. Ce n’est pas au centre qu’il faut chercher nos électeurs ! Ils sont à droite et en particulier au Front National à qui il faut les reprendre parce qu’ils y sont allés par exaspération de l’incapacité de la droite molle et de ses alliés centristes, à se débarrasser de cette gaucho-bien-pensance dont ces derniers se sont eux-mêmes laissé contaminer.

 

Seule une droite forte est aujourd’hui capable de rétablir l’ordre dans les « quartiers sensibles » en opérant l’indispensable cadrage de l’immigration et de la pratique islamique et de faire face à la rue pour réformer le droit du travail et l’ensemble du secteur public pour que l’économie et l’Etat fonctionnent à nouveau de façon efficace et créent des emplois pour le peuple.

 

Prendre de telles décisions et en imposer l’exécution exigera du nouveau Président même si le peuple aura validé son programme par son vote, un immense courage politique et une volonté sans faille aussi bien à l’égard des « décideurs » (parlementaires, élus locaux, fonction publique, chefs d’entreprise) que de ceux à qui les décisions s’appliqueront (salariés du privé et du public, syndicats et corporations professionnelles diverses, travailleurs indépendants, chômeurs, etc…).

 

Le Président et son Gouvernement ne devront donc dépendre que d’eux-mêmes et en aucune manière de partenaires politiques dont la fiabilité et l’esprit de décision ont beaucoup laissé à désirer dans le passé de Lecanuet à Lagarde en passant par Stasi, Bayrou et autres « chefs » de l’UDF dont sont issus la plupart de ceux de la droite molle ex-UMP, du Modem et maintenant de l’UDI. C’est pourquoi il est d’une part indécent et assez malhonnête politiquement d’aller à gauche « draguer » des électeurs qu’on rebaptise « déçus de la gauche » pour gagner quelques points à la primaire de droite et d’autre part, dangereux de passer des accords formels ou informels concernant les législatives avec des François Bayrou ou des JC. Lagarde pour gagner les votes du centre sans même s’assurer qu’ils joueront le jeu de la solidarité à droite à la primaire et en prenant le risque qu’une fois arrivés au pouvoir avec vous, ils se fassent tirer l’oreille pour voter et soutenir les décisions qu’il faudra prendre pour redresser effectivement le pays, les plus importantes étant à coup sûr les plus difficiles et donc les plus sujettes à hésitation, dilution, procrastination ou même rejet de leur part.

 

Cher Alain Juppé, souffrez donc que nous jugions votre attitude incorrecte politiquement vis-à-vis de la droite, aléatoire pour le succès des réformes qui risquent d’être ajournées, diluées voire annulées par manque de cohérence et de volonté dans votre majorité gouvernementale, et donc dangereuse pour la France qui risque ainsi d’échouer dans son redressement et en cas d’insuccès du mandat, d’ouvrir au FN les portes du pouvoir en 2022 … ou même avant si le peuple exaspéré en venait à se soulever contre un pouvoir qui, une fois encore, ne tiendrait pas ses promesses.

 

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9 Novembre, Trump Président des Etats-Unis ! Et alors ? Le monde n’arrêtera pas de tourner mais le peuple a parlé et les bobos sont effrayés !

 

Les journaleux et journaleuses, experts, « pseudo-intellectuels », humoreux et humoreuses des radio et télés sont en émoi et même en révolte contre cette abomination intellectuelle et l’injustice faite à la bien-pensance régnante. Ils pleurent sur leur joujou cassé de la gaucho-pensance et se joignent au chœur des pleureuses américaines désespérées de la déroute du « liberal thinking » ! La bourse s’est « effondrée » et le soir même a repris ce qu’elle avait perdu. Donald Trump a gentiment salué Hillary Clinton et Barack Obama. Tous ont appelé à la concorde et au rassemblement national et on commence à préparer la transition. Le monde continue de tourner !

 

Croyez-vous que cela les remettra sur la voie de la sagesse ? Allons donc, ils continueront de penser faux car ils ont la vérité ! Gaucho-pensance et intégrisme islamiste sont les deux maladies les plus répandues et les plus dangereuses de ce début du 21è siècle car Dieu est avec eux et leur volonté est évidemment celle de Dieu. Il ne peut en être autrement dans leur primarité pensante et le relativisme, c’est pour les autres qui sont nécessairement fachos pour les gaucho-pensants et kouffars pour les islamistes. La seule différence est que la gaucho-pensance conduit à la déliquescence progressive de la pensée et de l’action individuelle, collective ou nationale dans tous les pays qui en sont atteints tandis que l’intégrisme islamiste conduit au meurtre théocratique des mauvais musulmans et des masses d’infidèles qui restent à soumettre. Ils se rejoignent hélas, dans le résultat final qui est la régression et dilution de l’humain par l’excès et le désordre « humanistes » et « droit-de l’hommistes » chez les premiers et l’encagement de l’individu et en particulier de la femme, par la sclérose de la société chez les seconds.

 

 

 

Comment en sortir ? Sortir de la gaucho-pensance, en allant au peuple qui a de vrais problèmes à régler mais n’aime pas qu’on lui oppose de fausses valeurs pour les esquiver ou même les nier. Sortir de l’islamisme, en imposant à l’immigration et à l’islam, un cadre de vie républicaine et démocratique auquel ils devront se plier comme s’y sont pliés avant eux, les autres immigrés et les autres religions (voir textes « immigration-islam » sur ce même site)

 

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