Les irréfléchis, les crétins, les diviseurs, les lâcheurs, les traîtres et les mous ! Ils ont « pensé » à leur niveau mais pas à la hauteur de la France ! (2 Mai 2017)
… et maintenant, ils doivent choisir entre la déliquescence ou la ruine !
Les « irréfléchis » sont ceux dont je parlais déjà il y a quelques mois ! Les incurables qui ont voté pour cette gauche qui s’entête depuis Mitterand à penser faux et agir à contresens qu’elle soit « vraie » ou « fausse », « dure » ou « molle » ! Au même niveau de non-pensée politique, on trouve les excités de « droite » qui par pure démagogie électorale et pour profiter des tentations suicidaires du peuple français, ont cloné leur programme sur celui de Mélenchon pour tromper le peuple et arriver « enfin au pouvoir » par ce biais ! Ces « irréfléchis » devront donc choisir dimanche prochain entre la ruine immédiate du pays avec le Front National ou l’accélération de la déliquescence nationale avec l’internationaliste du fric et du multiculturalisme qui croit avoir trouvé le Graal, cette utopique majorité du centre qui n’a jamais existé dans notre pays qu’en tant que marigouillis dans lequel s’amollissait doucement la France et se délitaient peu à peu les Républiques !
Les « crétins », j’en parlais aussi hélas il y a quelque temps ! ... ceux qui « n’aimaient pas » Fillon comme d’autres en 2012 « n’aimaient pas » Sarkozy comme s’il fallait « aimer » Sarkozy ou Fillon pour choisir le futur Président ! C’était la France qu’il fallait aimer et à l’intérêt supérieur du pays qu’il fallait penser afin de ne pas les plonger dans le chaos et la déréliction ! Oui, d’irrécupérables « crétins » !
Il y a aussi les « diviseurs » et d’abord ceux qui ont obligé le candidat légitime, l’ancien Président revenu courageusement à la tête d’un Parti de droite qui dérivait, à se soumettre à une primaire bien inutile et parfaitement nuisible à la droite et à la France. Les uns poussés par leur vanité et « pour témoigner » (quoi ?), les autres, quelques jeunes ambitieux et ambitieuses trop pressés, pour se faire connaître et le dernier parce que c’était sa « dernière chance » avant la retraite ! Pire encore, d’autres « diviseurs » se sont présentés ou ont prétendu se présenter contre le candidat élu de la primaire, gonflés de leur prétention ridicule au concours de la « véritable gaullianité » ! Ils ont tout simplement oublié que le gaullisme vise d’abord l’intérêt supérieur du pays et non les ego ou ambitions personnelles et que les gaullistes « chassent toujours en meute » ! Des gaullistes ? Non, des pantins qui singeaient la grandeur ! L’attitude de ces « diviseurs » est impardonnable. Ils ont contribué à l’élimination du seul candidat réellement désireux et capable de redresser le pays. Ils ont fait prendre le risque maximum à la France compte tenu de l’état de déliquescence actuel du pays. Des naufrageurs !
Quant aux « lâcheurs » et aux « traîtres », il y a ceux qui ont douté au milieu de la tempête, ceux qui ont lâché le gouvernail et quitté le navire en croyant qu’il coulait, ceux qui ont failli le faire et sont revenus piteux et sans gloire … pire encore, sans reprendre la campagne de leur chef avec l’énergie et le dévouement absolus qu’ils auraient du montrer pour se faire pardonner en faisant gagner le candidat de la droite. Ces « lâcheurs » et ces « traîtres », je ne les nommerai pas de peur d’en oublier ! Ils (elles) se reconnaîtront !
Ils sont tous de cette droite qui n’est plus la droite à force d’avoir molli au cours des trente dernières années au lieu, puisque la gauche se refusait à le faire, de réformer le pays au fond dans son économie, dans son administration et dans sa structure sociale et sociétale, laissant monter le mécontentement puis l’exaspération populaires et à leur suite le Front National et l’extrême gauche. Cette droite molle contaminée par la gaucho-bien-pensance qui a submergé le pays à la suite des élucubrations de nos dé-constructeurs d’après-guerre puis de nos libertaires égalitaristes soixante-huitards synthétisant leurs lubies dans la nouvelle pensée unique aux dimensions chrétienne sociale, marxiste et écolo-droit de l’hommiste !
Cette droite molle qui dérive vers le centre et handicapée précisément par la « non-pensée » et les pudibonderies centristes, n’a pas le courage d’affronter les priorités de laFrance à savoir une politique forte de redressement économique et de retour à l’emploi, une politique forte de cadrage strict de l’immigration et de l’islam et enfin, une politique forte de rétablissement de l’autorité de l’Etat.
Les lâcheurs, les traîtres et les mous ont ainsi réussi l’exploit de faire douter le peuple de la nécessité et de l’urgence d’une politique forte et ont conforté les candidats de la démagogie, ceux qui lui promettaient les recettes éculées de la dépense publique et de la démagogie sociale depuis le Front National jusqu’à l’extrême gauche mélenchonienne en passant par la démagogie du « renouveau » et de « l’immobilisme progressiste » macroniens qui prétend faire au centre ce que ce dernier n’a jamais été capable de faire faute de volonté et de majorité. Seules les périodes de grande crise nationale ont permis d’atteindre un minimum consensuel et encore s’agissait-il de consensus de droite, pendant la première guerre mondiale ou lors de la mort des deux précédentes Républiques … mais avec des chefs qui étaient des chefs et non des hurluberlus qui confondent com’ et politique ! Macron ni Bayrou en effet, ne sont Clémenceau ou Poincaréni De Gaulle, Debré ou Pompidou. Ils s’apprêtent tout bonnement à faire perdre cinq années de plus à la France sur le chemin de la déliquescence en faisant monter les extrêmes … jusqu’à l’explosion finale ?
La seule échappatoire à cette catastrophe désormais programmée, est de faire gagner la droite aux législatives puisqu’aucune gauche vraie ou fausse, dure ou molle, ne voudra ni ne pourra réformer le pays au fond … la droite évidemment mais une droite forte !
C’est par cette seule voie qu’on réduira les extrêmes à ce qu’ils devraient être, c'est-à-dire des groupes de « contestation naturelle » à 10 % d’électeurs, en s’attaquant avec le peuple et pour le peuple, aux vrais problèmes du peuple au lieu de s’abîmer dans les fausses valeurs que cherche à imposer la gaucho-bien-pensance bobo-germanopratine !
C’est par cette voie qu’on en finira avec ces récriminations stupides sur la démocratie française, les institutions françaises et le « mal » français ! Non, la démocratie ni les institutions ne sont malades, ce sont les hommes qui les peuplent qui sont mauvais, en particulier les « faux-penseurs » qui perdent la notion de l’essentiel et embrouillent le peuple dans l’accessoire, les politiciens qui se préoccupent plus de leur avenir électoral que de celui de la France, les media qui battent les tambours de la gaucho-pensance au lieu d’informer le peuple de la réalité des choses !
Vous tous, diviseurs, lâcheurs, traîtres ou demi-traîtres de la droite molle et du centre, vous n’avez pas seulement trahi Fillon comme vous aviez trahi Sarkozy en 2012, c’est la France que vous avez trahi encore une fois !
… êtes-vous définitivement crétins et suicidaires ? Préférez-vous crever de déliquescence douce et vous laisser dominer et absorber par le reste d’un monde envahissant en pleine effervescence brownienne ? C’est ce que vous propose ce jeune internationaliste du fric mondialisé et du multiculturalisme communautarisé pour lequel ont voté nos bobos décérébrés et hypnotisés comme ils se seraient jetés à la mer suite aux prêches d’un gourou de passage qui leur chanterait le bonheur universel du « melting pot » mondial et « en même temps » de la diversité, l’oxymore culturel et intellectuel « assumé » comme il aime à le répéter à ceux qui ne comprennent rien à sa logorrhée mais l’écoutent béatement comme un oracle !!!
Reprenez-vous et faites gagner la droite aux législatives. Dernière chance de forcer le destin et l’obliger quel que soit le résultat de ces désastreuses élections, à redresser le pays pour rétablir la France dans son rôle séculaire de puissance-pivot en Europe, une Europe qui va à vau-l’eau en l’absence de la France mais qu’il faut aider à tout prix à garder son rang de puissance mondiale de référence du 21è siècle …