L'action, ce sont des hommes au milieu des circonstances ! (Charles de Gaulle)

"Gaucho-bien-pensance" et "bobo-libéral-progressisme" ont fabriqué le "bobo-gaucho-pensant progressiste" des "gauche molle" et "droite molle" ! Ils ont corrompu les générations X, Y et Z et enfanté la déliquescence nationale ! (20 Octobre 2017)

... les éradiquer pour redresser la France et la rétablir dans son rôle de puissance-pivot de l’Europe devient une mission de salut national .....

Le 7 Octobre, sur une radio du « service public », RFI, France-Inter ou France Culture, un jeune « intellectuel branché » manifestement adepte de la « bourdieuserie » de la reproduction des élites, parle abondamment d’une innovation salvatrice qu’il appelle les « conférences gesticulantes » dont le but est d’assurer désormais le succès et le développement des « combats militants » … il s’agissait en l’occurrence, d’une « gesticulation » sur l’aide aux « migrants !

Les soixante-huitards de la génération X croyaient faire la révolution en invoquant ou mieux, en suivant le Che sans aller cependant « hasta la muerte » !!! Nos petits-bourgeois actuels, les Y et les Z, n’ont pas cette prétention, ils veulent seulement « militer » pour que tout soit beau, bon et gentil. Le bobo d’aujourd’hui est « bisounours », il n’est plus « révolutionnaire » ! Il est devenu écolo-fasciste ou facho-droit de l’hommiste !

La gaucho-pensance un peu brutale d’autrefois est en effet, devenue cette « gaucho-bien-pensance » qui remplace la force physique par l’intellectualisation des bons sentiments puis leur catéchisation en pensée unique et obligatoire. On ne se préoccupe plus de liberté et d’égalité mais de libertarisme et d’égalitarisme. Le bobo-libéral-progressiste d’aujourd’hui n’a plus à conquérir de haute lutte ses droits et ses libertés. Le pouvoir idéologisé et militant lui attribue désormais d’autorité des « droits à … » et des « libertés de … » sans qu’il l’ait demandé ni même désiré ! L’humain de base n’a plus à penser, le pouvoir bien-pensant le fait pour lui et il serait mal vu de sortir du moule, mal vu par ledit pouvoir bien sûr mais surtout par la communauté des moutons bien-pensants qui se sentent insécures hors des sentiers de la pensée unique.

L’accessoire prend le pas sur l’essentiel et le fantasmatique sur le réel. Notre civilisation se dilue ainsi peu à peu dans une culture mondialisante et uniformisée, certes centrée sur la civilisation européenne qui a apporté au monde le bonheur technique et la jouissance infinie des droits de l’homme, mais largement mâtinée de sous-cultures de banlieues du nouveau et du tiers-monde qui ont perdu tout rapport avec leurs cultures d’origine pour générer cette soupe culturelle métissée qu’on peut qualifier de culture « pizza- kebab-noodles-coca-hamburger » … Elle est en parfaite symbiose avec cette nouvelle intelligence artificielle transhumaniste qui se développe en parallèle en écartant soigneusement tout sentiment et toute passion incontrôlés mais où tout se résout par les normes mondialisées de pensée et de comportement d’un humain désormais largement uniformisé et numérisé.

Progrès ou ramollissement et démission du genre humain ? En attendant ce transhumain infaillible, le bobo d’aujourd’hui, ce bisounours autoritaire et allumé, fait plutôt pencher la balance vers l’idée d’un ramollissement et d’une « médiocrisation » de notre humanité que vers un progrès quelconque sans même parler de transcendance. Le passage de la gaucho-bien-pensance au bobo-libéral-progressisme n’a pas redressé la longue et terrible pente de la déliquescence où notre « homme moderne » a commencé de rouler depuis la guerre mais l’a au contraire, solidement installé dans le confort, la facilité et la médiocrité de notre société de petits-bourgeois enrichis et sécurisés, et cependant récriminateurs, jaloux et incapables de s’élever sur les hauteurs tels que Ernst Jünger en avait eu la prémonition dès après la guerre.

Le monde a beaucoup souffert de l’erreur intellectuelle du marxisme et des horreurs criminelles du communisme appliqué et de ses avatars fasciste, national-socialiste ou tiers-mondisant qui ont dévasté le siècle passé. Laissons au 21è siècle une chance de survivre et d’exister, en le libérant des engeances de la « gaucho-bien-pensance » et du « bobo-libéral-progressisme » dont les fausses valeurs qu’elles veulent ériger en normes de l’homme nouveau, moderne et progressiste, conduisent lentement mais sûrement la civilisation occidentale, la française et l’européenne, la nôtre, sur le chemin de la déliquescence ! Cette civilisation a été bâtie sur des valeurs séculaires et même millénaires. Seraient-elles devenues en quatre ou cinq décennies, obsolètes et ringardes ? Ridicule et consternant de bêtise !

La gaucho-bien-pensance est née des œuvres maléfiques de nos faux-penseurs d’après-guerre dont le cerveau était plus encombré par l’idéologie dominante, la marxienne lutte des classes, que par une pensée originale ou le simple bon sens jugé archaïque. Au lieu de reconnaître leur erreur, ils ont préféré biaiser et tenter l’improbable synthèse de l’erreur marxiste avec le christianisme social et plus tard, avec l’écolo-droit de l’hommisme tout en entreprenant une dé-construction systématique et folle des valeurs sur lesquelles s’était développée notre civilisation au cours des siècles. Une pensée complexe ? Non, une « non-pensée » dont les élucubrations sont à rechercher dans les écrits, faits et gestes d’intellectuels aussi purs que peu dignes de foi à la façon d’un JP. Sartre et autres compagnons de route du communisme, des dé-constructeurs de la bande de la Rue d’Ulm ou encore des socio-penseurs de nos diverses écoles en sciences sociales. A force de vouloir bien-penser sur les détails, ils ont fini par penser faux sur l’essentiel et ont corrompu les jeunesses de nos générations X, Y et Z donnant raison à Simone Weil qui les avait pourtant mis en garde depuis quelque temps déjà, sur le danger de naviguer toutes voiles dehors dans les brouillards de leurs théories au risque de s’écraser sur l’écueil des réalités ! Ils ont sombré dans l’oubli mais leurs divagations par le biais des modes intellectuelles et de l’appétence imbécile pour le modernisme à tout prix, ont néanmoins réussi à empoisonner l’esprit public et les cerveaux les plus fragiles, ceux de la masse naissant à la culture.

Le « bobo-libéral-progressisme » a pris la relève quand une partie de la droite, cette droite amollie qu’on trouve au « centre », s’est laissé contaminer par le bien-pensisme gauchisant. Elle s’est en effet, amollie dans les années Chirac après la fausse rébellion de ce dernier contre le « centrisme » giscardien au point qu’une fois arrivé à la Présidence, il a commis l’erreur de vouloir construire la droite au centre, erreur que nous payons aujourd’hui avec d’un côté un FN largement nourri des électeurs de droite déçus voire exaspérés par la mollesse de cette fausse droite qui, mis à part le quinquennat de Nicolas Sarkozy, hésite depuis plus trente ans à prendre les décisions qui restaureraient la France dans son rôle européen et mondial, et de l’autre, un nouveau Président, Emmanuel Macron, apparemment incapable de sortir du cadre libéral-gaucho-pensant qui lui a été légué par le précédent Président et qui, n’ayant l’expérience que des couloirs ministériels et ne « sentant » ni la France ni le peuple français, confirme de jour en jour qu’il n’est capable de penser l’économie qu’en termes de finance internationale et la société française que par le biais du multiculturalisme, les deux mamelles selon lui de ce « progressisme » dont il se réclame ! Des lubies de jeune bobo moderniste qui « se cherche sans se trouver » mais qui ne sauraient compte tenu du monde tel qu’il est, servir de ligne directrice au rétablissement de la France et à la promotion de l’Europe dans le concert des nations du 21è siècle.

Gaucho-bien-pensance et bobo-libéral-progressisme sont donc devenus les moteurs de la déliquescence française et en même temps, la combinaison perdante pour le redressement du pays et son retour à la tête de l’Europe puisqu’on ne peut penser en reprendre les rênes sans avoir redressé la France ! C’est dans ce sens-là qu’il faut agir et non pas agiter de façon enfantine quelques hochets institutionnels européens comme vient de le faire Emmanuel Macron croyant comme Hollande avant lui, que parler d’Europe suffirait à rendre sa crédibilité à la France ! Non, pour redresser la France la parole ne suffit pas, il faut agir mais l’action est incompatible avec cette gaucho-bien-pensance et ce bobo-libéral-progressisme qui sont les causes premières de notre immobilisme depuis trente ans et responsables de l’aggravation continue de la déliquescence économique, sociale, sociétale et culturelle qui délite la France face aux défis que nous lance le reste du monde. Le « bobo-gaucho-pensant progressiste », synthèse de ces deux dérives de la pensée, est prolixe du verbe mais handicapé de l’action !

Comment en effet, demander à notre moderne bobo-gaucho-pensant progressiste de prendre les mesures fortes de redressement qui s’imposent ? Jamais il n’osera aller au fond contre des habitudes, des normes, des dogmes voire des oukases intellectuels ou moraux dont la transgression fait désormais figure de crime contre la démocratie, d’atteinte aux libertés, de déni des droits ou d’injustice sociale et pourquoi pas, de « crime contre l’humanité » puisqu’avec lui, on est dans l’emphase de la bisounourserie bêtasse et dans l’irréalité absolue ? Il « pense » le monde dans la facilité et non dans l’effort !

Comment en effet, exiger de lui qu'il rétablisse la compétitivité de l’économie française et relance l’emploi puisque cela passe par la réduction drastique des excès de la « sacro-sanctifiée » dépense publique qui pèse sur les entreprises et l’investissement, les particuliers et la consommation et in fine, sur la production et l’emploi ? Comment le faire sans remettre en cause les statuts dépassés, les avantages indus ainsi que les missions inutiles et les façons de travailler inefficaces du secteur public ? Comment dès lors oserait-il bousculer les syndicats qui s’érigent en « défenseurs du service public » mais qui, en raison des lâchetés gouvernementales récurrentes depuis des décennies, ont pris la détestable habitude de confondre l’intérêt du service avec leurs intérêts propres ? Le service public appartient à la Nation et non à ses employés ni aux syndicats qui prétendent les représenter. La Nation en délègue l’organisation et la gestion au gouvernement sous le contrôle du Parlement qui, seuls, ont en charge l’intérêt du service et au-delà l’intérêt supérieur du pays. C’est au Gouvernement d’agir mais un gouvernement bobo-bien-pensant même progressiste aura-t-il le courage de le faire ? On peut à cet égard, s’inquiéter du calme étrange de la galaxie syndicale du secteur public qui pourrait être le signe désastreux qu’un « accommodement raisonnable » aurait été trouvé entre elle et le couple Macron-Philippe : la « loi Travail » pour le secteur privé (même a minima minimorum pour faire semblant !) en échange du « statu quo » dans le secteur public alors que la réforme du secteur public est « la mère de toutes les réformes » pour rétablir la compétitivité de l’économie française ! Ce serait la pérennisation de l’immobilisme hollandesque et l’indication claire qu’on ne saurait compter sur le bobo-progressisme macronien pour aller à l’essentiel et redresser le pays !

Tout cela va contre les dogmes et fausses valeurs de la bobo-gaucho-pensance progressiste qui règne sur les esprits mais les « aboulise » et les paralyse !

Comment demander à un bobo-gaucho-pensant progressiste d’expliquer au peuple que la justice sociale qu’il s’agisse de niveau de richesse ou de sécurité des revenus, passe d’abord par la facilité de trouver un emploi dans une économie flexible qui s’adapte facilement aux évolutions du monde ? Expliquer encore que l’idée de justice sociale doit valoir pour tous et non pour les seuls protégés syndicalisés du secteur public ou du « privé encadré » dont les avantages « acquis » souvent excessifs au regard du commun des autres travailleurs et en particulier leur quasi-sécurité de l’emploi, dissuadent l’embauche aux dépens de ceux qui précisément cherchent un emploi et continueront de végéter dans des emplois précaires ? Expliquer enfin que la justice sociale passe aussi par la participation capital-travail et l’instauration d’un système de solidarité active face aux aléas du travail et de la vie en général mais que cela ne peut marcher que si la confiance règne entre les acteurs du jeu économique et que soient en conséquence accordées entre eux des règles du jeu compatibles avec un développement économique dynamique et une utilisation raisonnée et rationnelle des potentialités du capital et des capacités de travail ? Expliquer en conséquence qu’il est juste que les « riches » contribuent à la sécurité sociale de tous mais qu’un excès de taxation entraîne inéluctablement des effets pervers sur l’investissement et l’emploi car la « chasse aux riches » ne crée que des pauvres !?

Tout cela va contre les dogmes et fausses valeurs de la bobo-gaucho-pensance progressiste qui règne sur les esprits mais les « aboulise » et les paralyse ! !

A l’Education Nationale, on n’en est plus heureusement à la gaucho-dé-construction systématique de l’école comme la pratiquait le trio diabolique Peillon-Hamon-Najat VB à la suite d’une longue lignée de dé-constructeurs ou complices mais le nouveau pouvoir bobo-progressiste ira-t-il jusqu’à expurger définitivement l’école de tous les miasmes et métastases du pédagogisme soixante-huitard ? Le voudra-t-il et si oui ira-t-il jusqu'au bout si les tempêtes se levaient sur le monde enseignant et la jeunesse enseignée de l'école à l'université ? Le bobo-progressiste comprendra-t-il ce que le gaucho-pensant se refusait à admettre, qu’éduquer un enfant n’est pas le laisser divaguer au gré de ses envies et de ses caprices en espérant qu’il « invente » son propre savoir et « s’auto-construise » mais bien lui apprendre d’abord à lire, écrire et compter puis « l’instruire » des principes et réalités de sa civilisation et du monde qui l’entoure afin de lui donner les outils et les connaissances de base avec lesquels il deviendra capable de réfléchir et d’agir pour construire ensuite lui-même son avenir ? La tâche sera encore plus rude mais d'importance vitale pour l'avenir du pays, dans les quartiers où l'école et l'instruction qui y sera donnée, seront les facteurs premiers de l'intégration puis de l'assimilation correctes des enfants de l'immigration ! Il serait criminel pour la nation dans son ensemble et pour les "jeunes de la diversité" comme les appelle la bobo-gaucho-pensance, de ne pas reconstruire au plus vite l'école sur ces bases.

Tout cela va contre les dogmes et fausses valeurs de la bobo-gaucho-pensance progressiste qui règne sur les esprits mais les « aboulise » et les paralyse !

Comment penser qu’un bobo-gaucho-pensant progressiste osera prendre les mesures nécessaires pour assurer la sécurité du pays, l’ordre public et l’autorité de l’Etat alors qu’elles vont par nature contre toutes les fausses valeurs de la bisounourserie du bien-pensisme ? Il lui faudra décider de recadrer la justice en commençant par un durcissement sérieux de la politique pénale comme de la politique pénitentiaire et un recadrage sévère de cette partie politisée du corps judiciaire qui jette le doute sur l’équité et la neutralité des décisions de justice. La question du droit syndical dans la justice se pose aussi, comme dans la police et l’Armée, autres fonctions publiques majeures de souveraineté, car on ne peut plus tolérer les dérives du type de celles du Syndicat de la Magistrature ou de l’enseignement insidieusement orienté de l’Ecole Nationale de la Magistrature. Cela dure depuis déjà beaucoup trop longtemps ! Notre bobo-gaucho-pensant progressiste aura-t-il le courage d’aller contre ses convictions mêmes ? Aura-t-il même conscience de la nécessité et de l’urgence d’agir pour faire prévaloir l’intérêt supérieur du pays ?

Tout cela va contre les dogmes et fausses valeurs de la bobo-gaucho-bien-pensance progressiste qui règne sur les esprits mais les « aboulise » et les paralyse !

Comment lui demander encore de concevoir et mettre en œuvre un cadrage sévère du problème « immigration-islam » pour assurer la paix publique et la cohésion nationale alors qu’il aura dès l’enfance été nourri au lait de la bisounourserie sociale et sociétale du vivre ensemble et de la culpabilité coloniale voire esclavagiste comme la stigmatisait il y a peu, l’imprudent et délirant Emmanuel Macron, alors candidat aussi inconscient qu’indigne à la fonction présidentielle ? Comment exiger de lui qu’il fasse ce qu’il faut pour limiter l’immigration à ce dont la France a besoin et à ce qu’elle peut effectivement intégrer ou assimiler correctement, comment le convaincre que ce n’est pas de la xénophobie mais doit être fait dans l’intérêt de tous, les immigrés comme les « indigènes français de souche » ? Qu’exiger des immigrés qu’ils s’astreignent à respecter les lois et les mœurs de la République et du peuple français en s’abstenant de vouloir imposer les leurs, n’est pas du racisme ? Qu’exiger que la religion musulmane ne soit pratiquée et prêchée à l’image des autres religions, que dans la sphère privée et pas en public, n’est pas de l’islamophobie ? Que limiter l’acquisition de la nationalité française à ceux qui pourront justifier d’un parcours d’intégration exemplaire et d’une volonté claire de devenir « français d’abord » avant toute autre allégeance ethnique, nationale ou religieuse, est une prérogative inaliénable du pays d’accueil ? Que le respect des principes de Démocratie, de Droits de l’homme, de liberté de pensée et d’expression, d’égalité des individus et des sexes ne sont pas « négociables » ? Que toute dérive par rapport au cadre ainsi fixé doit être impitoyablement sanctionnée civilement ou pénalement avec renvoi immédiat au pays des délinquants ou réfractaires étrangers et déchéance de nationalité pour les bi-nationaux ? Et enfin, que tous ces points sont des impératifs nationaux de cohésion sociale et de sécurité publique qu’il faut absolument faire respecter par tous de gré ou de force si nécessaire ? Il ne saurait exister en effet, « d’accommodements raisonnables » avec l’islamisme ni aucun de ceux qui en sont les porte-parole comme l’avaient très imprudemment préconisé quelques dirigeants dangereusement légers de cette droite molle trop profondément contaminée par la bobo-gaucho-pensance progressiste ! Il ne saurait non plus exister d’identité heureuse pour une nation et un peuple civilisé sans éradication préalable de toute dérive islamiste ! L’islam en effet, ne s’arrête que lorsqu’on l’arrête et il convient de le faire avant qu’il ne vire à l’islamisme qui le conduirait ensuite inéluctablement au jihadisme violent ! De cela, il se confirme de plus en plus chaque jour que la bobo-pensance progressiste macronienne n’ait aucune conscience claire et on ne perçoit dans le discours officiel aucune volonté précise de mettre en œuvre le cadrage « immigration-islam » qui s’impose pour assurer la paix publique et la sécurité de tous ! Le silence règne, les intentions sont floues et l’inaction du pouvoir à cet égard est lourde à supporter pour le peuple français qui sent venir l’orage ! L’élimination du terrorisme et le maintien de la paix publique impliquent d’éradiquer l’islamisme et donc de cadrer fermement les manifestations de l’islam en France et dans tous les pays d’accueil à charge pour les musulmans du Dar el Islam par l’intermédiaire de leurs autorités religieuses et de leurs structures étatiques, de remettre de l’ordre dans le monde musulman jusqu'à « réformer » l’islam pour l'adapter au 21è siècle, in cha’Allah ! 

Tout cela va contre les dogmes et fausses valeurs de la bobo-gaucho-bien-pensance progressiste qui règne sur les esprits mais les « aboulise » et les paralyse !

Et puisque cela va aussi contre sa pensée voire ses convictions vraies ou simulées, comment le même bobo-gaucho-pensant progressiste pourrait-il effectivement et efficacement faire comprendre aux minorités ethniques, religieuses, sexuelles ou sociales diverses qu’elles ne seront que plus respectées si elles respectent elles-mêmes la majorité de la population française qui est de race blanche, de civilisation grecque et latine et de culture chrétienne depuis 2000 ans comme le rappelait à l’occasion le Général de Gaulle ? Pourquoi donc la bobo-gaucho-pensance s’obstine-t-elle à vouloir montrer ces minorités, les célébrer bruyamment et les pousser en avant comme si elles devaient être la norme ou l’image du progrès humain face aux « arriérés » de la majorité ? Non, ces minorités ne sont pas la norme et elles ne sont pas non plus toujours l’illustration d’un quelconque progrès humain ! Elles sont acceptées par la majorité qui les respecte dans le cadre de la loi républicaine et par solidarité nationale mais ladite majorité est souvent excédée voire exaspérée par l’exhibitionnisme des minorités qu’elle accueille en son sein. Il faut que ces dernières le comprennent et aussi bien sûr, les associations bien-pensantes de « défense des minorités » avant que l’exaspération ne dégénère en hostilité et récrimination voire en rejet définitif. C’est l’intérêt de tous, minorités et majorité, et de la nation dans son ensemble.

Tout cela va contre les dogmes et fausses valeurs de la bobo-gaucho-bien-pensance progressiste qui règne sur les esprits mais les « aboulise » et les paralyse !

Autre dure épreuve en perspective pour notre bobo-gaucho-pensant au pouvoir : recadrer les medias publics dans leur mission d’information politiquement neutre et rappeler à tous les journalistes y compris ceux du secteur privé, qu’il existe une déontologie de l’information et qu’ils ne sont chargés ni d’investigation policière ni d’action publique à peine de se voir requalifiés en « journaleux » ! Les admonester et les « recadrer », serait en effet une attaque directe (bienvenue certes mais une agression caractérisée !) contre la gaucho-bobo-bien-pensance progressiste dont lesdits journaleux ont été nourris dans leurs écoles respectives de journalisme sinon allaités dès leur naissance par les tirades de leurs parents des diverses générations 68 et qu’ils se sont fait un devoir, une mission quasi-religieuse, de répandre dans le bon peuple qui les écoute ou les regarde et qui, malheureusement s’imprègne peu à peu de leurs messages biaisés jusqu’à penser-faux ou raisonner-creux avec eux.

Tout cela va contre les dogmes et fausses valeurs de la bobo-gaucho-bien-pensance progressiste qui règne sur les esprits mais les « aboulise » et paralyse !

Sur tous ces points, les changements et les réformes à mener vont directement contre la gaucho-bien-pensance et le bobo-libéral-progressisme qui se sont infiltrés dans notre intimité intellectuelle, culturelle et sociétale depuis la « décennie soixante-huitarde » et règnent maintenant sur la France et les démocraties occidentales, sur leurs medias et sur une large partie contaminée de leur sphère politique. C’est le fléau de ce début du 21è siècle comme le marxisme avait été l’engeance du siècle précédent !

Ne pouvant espérer qu’elles se réforment elles-mêmes ou que la bêtise humaine disparaisse par enchantement, il faut donc les éradiquer et se dégager du carcan de cette superficialité intellectuelle et morale hors du temps et des réalités, pour prendre les décisions utiles et fortes de redressement du pays et rétablir la France dans son rôle séculaire de puissance-pivot en Europe, évitant de la sorte que notre civilisation ne disparaisse bientôt de la scène mondiale.

Eradiquer la bobo-gaucho-bien-pensance progressiste devient donc la mission de la droite de retour au pouvoir, une mission salvatrice de la dernière chance !

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