L'islam de France commence à bouger ... Al hamdu liLLah ! (27 Septembre 2014)
Les musulmans de France condamnent le djihadisme, rejettent l'islamisme et se revendiquent citoyens français ... C'est la voie ! Continuons ensemble !
Vendredi 26 Septembre après la prière, le Recteur de la Mosquée de Paris avait appelé les fidèles et l’ensemble des français à se rassembler pour rendre hommage à Hervé Gourdel, « assassiné » en Kabylie par les fous de Dieu algériens. Ces derniers d’ailleurs ne sont ni à Dieu ni à l’Algérie ! C’est bien ce qu’ont manifesté les participants en France autour de la mosquée de Paris comme ceux d’Algérie.
Tous ont affirmé que ces assassins n’avaient aucun droit de se réclamer de l’islam, que l’Islam « prêche la paix et non la guerre » et qu’il interdit de tuer son prochain car « tuer son prochain, c’est tuer toute l’humanité ».
Tous ont donc condamné le crime et la barbarie jihadiste, confirmant ainsi ce qui avait été proclamé dans l’Appel du 8 Septembre 2014 à propos des atrocités commises par les fous de Daech sur les chrétiens, les chiites et les autres minorités d’Irak et de Syrie.
Cet Appel et les manifestations condamnant la barbarie et ceux qui la promeuvent faussement « au nom de l’islam », sont un grand pas en avant puisque le silence a été brisé et que l’Islam de France manifeste son désaccord avec les « fous » qui ne sont plus à Dieu mais au Diable.
Un orateur invité, Valérie Pécresse, est allé plus loin à cette occasion, dans la problématique de l’Islam de France. Elle a déclaré : « Il n’y a pas ici des musulmans, des juifs ou des chrétiens, il y a des citoyens français au sein de la République Française » ! Et tout le monde a applaudi.
Cela implique que les musulmans de France et leurs autorités religieuses en tant que citoyens français, respectent les lois et coutumes de la République sans tenter de faire prévaloir sur celles-ci tel ou tel « commandement de Dieu » ou telle ou telle prescription de la « chari’a » ou telle ou telle pratique de la tradition religieuse qui contreviendrait aux lois ou aux pratiques générales et aux comportements habituels de la population française au risque de créer des mécontentements voire des conflits générateurs de désordre.
Voilà qui nécessitera une confirmation sans ambiguïté de la part des autorités religieuses de l’islam de France et une mise en pratique sereine de la part des français de confession musulmane.
Un processus de clarification progressive devra donc être mis en œuvre dont le but sera évidemment de modeler le profil du citoyen français sans interférence des paramètres d’ordre religieux. Le « religieux » doit en effet rester dans la sphère du privé en raison du caractère fondamentalement laïque de la République française même s’il est entendu que la civilisation française et, au-delà, la culture européenne reposent historiquement sur leurs racines judéo-chrétiennes, donc antérieures à l’émergence de l’islam même si les trois religions ont des racines et une histoire communes depuis longtemps !
A cet égard, il conviendra d’éclaircir à mesure qu’ils surviendront, les points ou questionnements du genre de ceux mentionnés ci-après qui avaient d’ailleurs fait l’objet d’un article publié sur facebook.com/eurocooperation le 9 Octobre 2013.
Deux faits récents ont en effet, attiré notre attention. Tarek Oubrou (Recteur de la mosquée de Bordeaux, membre de l'UOIF, et récemment décoré par François Hollande !) aurait déclaré dans Libération du 23 Mars 2012: "il faut que l'histoire de France soit réécrite à la lumière de la présence musulmane aujourd'hui" !
Un autre éminent musulman, Youssef Seddik, que le Figaro du 25 Janvier qualifiait de philosophe et anthropologue, déclare quant à lui que "les français ont intérêt à pacifier les choses" lorsque la journaliste lui demande de commenter un sondage indiquant que trois français sur quatre expriment leur désapprobation et beaucoup leur exaspération à l'égard de certaines pratiques de ses coreligionnaires.
On ne peut évidemment accepter de telles réponses à contresens des réalités du pays, des besoins voire des nécessités d’intégration de l’immigration en France comme dans le reste de l’Europe et des intérêts à court comme à long terme des immigrés eux-mêmes. On espère donc qu’il s’agit là de simples maladresses d’expression car nous avons été depuis trop longtemps abreuvés de la part de trop d’intellectuels musulmans, de trop de « jésuiteries » ou de raisonnements spécieux dérivant sans doute d’une abusive taqiya quant à ces problèmes d’adaptation de l’islam à la civilisation européenne et d’intégration des musulmans à ce contexte !
En ce qui concerne la réflexion de Tareq Oubrou qui prônait la révision de l'histoire de France à la "lumière de l'islam", rappelons-lui que la civilisation islamique a eu sa grandeur entre les 7è et 12èsiècles mais que la civilisation européenne a largement pris le dessus à partir de la Renaissance et que c’est elle et non l’islam qui a éclairé la voie du monde moderne, notre monde ! Il est donc bien évident que les musulmans présents sur le sol français et plus largement sur le territoire européen n'ont pas à demander la "révision de l'histoire de la France ou de l'Europe" mais bien à faire l’effort de s'intégrer du mieux possible dans cette civilisation qu'ils aspirent à faire leur, et sans avoir la prétention de vouloir la changer ... et s'ils ne le veulent pas, ils sont libres d’aller vivre dans d'autres pays où ils pourraient pratiquer leur religion comme ils l’entendent au risque d’une profonde régression obscurantiste de la civilisation musulmane !
Quant à l’idée bienvenue de « pacification des choses » proférée par notre second gourou, ce sont d’abord les excités de l'islam qu'il faut calmer pour ne pas ruiner les efforts des immigrants musulmans qui veulent s’intégrer et éviter d'indisposer les français et les autres européens jusqu'à risquer de les braquer dangereusement contre l'islam
On parle suffisamment du risque d’islamophobie pour conseiller aux intellectuels, ‘ulémas ou pasteurs musulmans d’éviter de l’alimenter par des propos aussi provocants qu’incongrus qu’on espère relever seulement d’une regrettable maladresse d’expression !
En effet, on ne met pas l’Islam en cause quand on demande que chacun respecte la loi et les coutumes de notre pays … cela s’applique à tous y compris naturellement les musulmans, français ou étrangers !
Voilà une évidence qu’il faut malheureusement rappeler de plus en plus souvent ! La religion relève de la sphère privée et il est inconvenant de tenter d’en imposer les signes extérieurs trop visibles et dérangeants à ses concitoyens sans même parler de vouloir leur imposer sa foi, ses pratiques religieuses ou ses coutumes par la force ou la pression morale ou sociale.
Cela paraissait réunir le consensus des participants aux différentes manifestations qui viennent d’avoir lieu mais il est important que cela soit clairement établi et affirmé par tous les ‘ulémas et responsables religieux, prêché par chaque imam et pratiqué par chaque musulman … et ceci sans restriction mentale ou faux semblant.
Il semble que nous soyons sur la bonne voie. Continuons et élargissons ensemble le chemin !
On trouvera ci-dessous le rappel d’un article publié le 16 Octobre 2013 qui récapitulait les raisons pour lesquelles il était du devoir et de l’intérêt des musulmans et d’abord des autorités religieuses islamiques de s’élever systématiquement, avec force et conviction contre les excès de l’intégrisme et du littéralisme, les dérives de l’islamisme et bien évidemment les folies du jihadisme.
Bien-pensance et penser faux : que les musulmans et l'islam corrigent leurs islamistes pour revenir dans l'histoire !
Parce que ce que les français et les européens des autres pays d'Europe sont exaspérés par les habitudes de vie hors normes, les récriminations et exigences ou plus grave encore, les incivilités et comportements délictueux de certains immigrés et de trop de leurs enfants de première ou deuxième génération qui n'ont pas su ou voulu s'intégrer à leur société d'accueil ni faire l'effort d'en respecter les codes, les coutumes et la culture à défaut de les adopter sans réserve comme ils auraient dû, … pour éviter que l’islamophobie ne gagne dans les pays d’immigration !
Parce que l'islam est systématiquement "instrumentalisé" par les islamistes de tous les intégrismes et radicalismes comme un moyen de dresser les musulmans contre le monde moderne au motif que ce monde moderne serait une créature diabolique de cet "Occident" que dans leur paranoïa et leurs frustrations existentielles, ils assimilent aux "Croisés kuffar", … pour éviter le retour généralisé aux archaïsmes du 7è siècle dans les pays du Dar el Islam !
Parce que l'islam ainsi manipulé par les régressifs islamistes, vient semer le désordre dans le processus d'intégration des immigrés et d'abord des immigrés musulmans qui sont majoritaires en France et en Europe, puisque la propagande islamiste cherche à renforcer le communautarisme à base religieuse pour mieux infiltrer les sociétés qu'elle a l'obsession d'islamiser dans sa folie du "jihad offensif", … pour éviter la désintégration sociale et la guerre civile dans les pays d’accueil !
Pour éviter donc que le monde musulman et plus spécifiquement le monde arabe, ne ratent encore une fois, après les « révolutions du socialisme arabe » des années 50 et les « printemps arabes » de 2011, leur entrée dans la civilisation moderne alors que tous les peuples et les nations du monde s'y préparent ou y sont déjà entrés,
Pour éviter donc que le péril monte dans les pays d'immigration au point que les populations d'origine pourraient bientôt en venir à la violence pour chasser ou anéantir les éléments exogènes qui détruiraient leur cohésion sociale et nationale, à défaut d'accepter la déliquescence de leurs valeurs séculaires et de disparaître en tant que société et civilisation en perdant leur identité propre,
Parce que la France et plus largement l'Europe n'ont aucunement besoin de l'immigration massive de tous les miséreux du monde attirés par leur richesse, leurs avantages sociaux et leur libéralisme bonasse et qu'elles doivent au contraire, limiter et contrôler sévèrement l'immigration pour rendre possible le processus d'intégration des immigrés déjà installés jusqu'à l'éventuelle naturalisation de ceux d'entre eux qui auront fait l'effort de s'assimiler,
Parce que les immigrés sont les "demandeurs" et que c'est à eux de faire l'effort de s'adapter aux valeurs, modes de vie, coutumes et lois des populations des pays d’accueil ... et non l'inverse !
Pour éviter donc la fitna intellectuelle entre les différentes interprétations des textes ou des traditions islamiques, pour éviter les guerres civiles et conflits récurrents dans les pays musulmans entre les "modernes" qui voudraient évoluer avec le monde et les "anciens" qui voudraient retourner à l'ordre du 7è siècle, pour éviter enfin dans les pays d'accueil, le rejet des immigrés par les nationaux exaspérés par le comportement de certains de ceux-là poussés dans la mauvaise voie par les faux prêcheurs,
… il devient urgent que les musulmans et d'abord les autorités religieuses tant des pays du Dar el Islam que des pays d'accueil, les 'ulémas et les imams, manifestent clairement et systématiquement leur condamnation absolue de toute dérive islamiste dans les propos de chacun, les prêches des imams déviants et les théories ou interprétations de tel ou tel "docteur" ou "penseur" religieux qui ne recueilleraient pas le consensus de la communauté.
Le salut en effet, ne peut venir que de l'ijtihad, un effort d'adaptation au monde moderne des musulmans eux-mêmes et de leurs théoriciens religieux. Le choix pour eux est maintenant entre la régression de la civilisation islamique ou lui permettre au contraire de devenir un acteur à part entière du développement intellectuel et matériel du monde nouveau.
Nous ne sommes plus au temps de la Jahiliyya et aucun musulman d'aujourd'hui n'a au fond de lui-même, le désir profond de revenir aux conditions de vie ni à l'état des premiers musulmans même s'ils étaient "compagnons du Prophète" sauf à se remémorer le souvenir glorieux des grandes conquêtes arabes de l'époque. Le monde change et chacun sait bien aujourd'hui que ce ne sont pas les lubies et les paranoïas de quelques zélateurs obtus et souvent incultes du retour en arrière qui l'empêcheront d'avancer !
C’est le souhait de l’immense majorité des musulmans installés dans les pays occidentaux qui souhaitent vivre en harmonie avec leurs concitoyens et voisins. De là, l’urgence que les penseurs et chefs religieux fassent barrage à l’islamisme c'est-à-dire à l’intégrisme sous toute ses formes, pour éviter l’exacerbation des tensions sociales et des réactions extrémistes voire racistes ou xénophobes dans ces pays.
Dans le monde arabo-musulman à l’inverse, ce point de vue est celui d’une trop faible minorité de la population, sans doute mieux éduquée et plus ouverte, car les masses populaires restent encore très sensibles à la propagande et au prosélytisme islamistes qui, mettant en avant leurs "oeuvres sociales", s’appuient sur la misère des peuples et il faut le dire clairement, sur l’incurie, la corruption ou l’incompétence des élites locales.
Ce combat contre les déviances doctrinales et les dérives criminelles de l’islamisme doit commencer par la condamnation systématique et publique de ces déviances et dérives. L’abstention des autorités religieuses et même des simples fidèles à cet égard, est ressentie et doit donc être considérée comme un acquiescement voire une complicité avec les prêches et les actes des islamistes et ce n’est plus tolérable dans la société moderne.
L’inaction complice et partant la duplicité, des chefs et penseurs religieux doivent donc être sévèrement condamnées comme potentiellement responsables des débordements ou troubles internes ou internationaux qui pourraient résulter de leur aveuglement.
Disons-leur nettement qu'ils cessent de se retrancher derrière le grossier prétexte que l’islam et ses pratiques ne pourraient être adaptés au motif que les « commandements » du Coran seraient intouchables parce qu’incréés c'est à dire considérés comme la "parole de Dieu" et par une extension abusive, les règles de la chari’a !
Tout cela est faux ! Rien ne nous oblige à privilégier les versets qui prêchent la guerre aux dépens de ceux qui prêchent la paix, entre les musulmans mais aussi entre les hommes en général, musulmans ou non. Par ailleurs, les docteurs de la loi connaissent fort bien les versets du Coran qui ouvrent des « dispenses » ou des « dérogations ». Ils savent bien aussi que le droit musulman permet de hiérarchiser les obligations coraniques et donc de les adapter en fonction du contexte et de l’environnement dans lequel doit vivre le « fidèle ». Pourquoi se refusent-ils par exemple, à prendre en considération les versets du Coran qui ouvrent la voie à une séparation du civil et du religieux (« laissez aux commerçants ce qu’ils savent mieux faire ») à l’instar des paroles du Christ qui préconisait de « rendre à César ce qui est à César et à Dieu ce qui est à Dieu » ? Est-ce par « islamisme » obtus ou par peur d’affaiblir une identité culturelle dont ils croient faussement que la religion est le principal pilier ? … Cela s’applique évidemment aux pays extérieurs au Dar el Islam (évitons ici de parler du Dar el Harb, le pays de la guerre !) c'est-à-dire les pays non musulmans (où aucun musulman n’aurait selon le droit canon, le droit de s’installer !) et où les musulmans ont le devoir de respecter les contraintes de vie locales et les lois des pays d’accueil, ce que confirment d'ailleurs toutes les grandes autorités religieuses du monde musulman en commençant par celles du Caire et de Jérusalem.
Du côté des pays d'accueil que nous soyons nationaux ou non-nationaux de religion chrétienne, musulmane, juive, bouddhiste ou autre, ne nous laissons pas tromper ici par le raisonnement spécieux développé par certains sophistes de l’islam qui voudrait qu'un musulman puisse mentir à un "mécréant", le voler voire le tuer et ne commettre là qu'un péché véniel voire même plaire à Dieu en cas de jihad déclaré ! Tout cela est faux et relève d'une « taqiyah » primaire qu'aucune casuistique religieuse de l'islam ne saurait justifier ! ... et de toute façon, il s'agirait d'une folie que seule l'ignorance et le démon des hommes pourraient attribuer à Dieu ! Ne nous laissons pas endormir par les « jésuiteries » de socio-théologiens qui, comme Tariq Ramadan, prêchent auprès du public européen, la tolérance et le respect de la loi du pays d’accueil mais affirment aussi qu’il faut « comprendre », donc « excuser » pour mieux « accepter » et pourquoi pas « justifier » et imposer ensuite ces fameuses pratiques au nom d’une tradition qui n’a le plus souvent rien à voir avec la « sunna ».
Restons également conscients et les musulmans le savent bien, que l'islamisme, l’islam politique radicalisé, est violent comme il l'a démontré à plusieurs reprises au cours de l'histoire et qu'il continuera d'avancer obsessionnellement en prenant le temps de pénétrer au fond le tissu social en profitant de l'incurie et de la mal-gouvernance des élites locales dans les pays en développement, et de la faiblesse, du laisser-faire « bien-pensant » et de la culpabilisation post-coloniale de nos gouvernants dans les pays d'accueil.
Il faudra donc l'arrêter éventuellement par la force si on le laissait aller trop loin. Il est dès lors vital pour éviter cela, de ne pas céder aux tentatives des islamistes d’imposer dans la sphère publique, des pratiques ou des coutumes dérivées d’une chari’a qui varie d’ailleurs selon les différentes écoles, interprétations ou pratiques locales de l’Islam.
L’Islam doit évoluer, les ‘ulémas théoriser cette évolution, les imams la prêcher,… et les musulmans par exemple, prier chez eux lorsqu’il n’y a plus de place à la mosquée, manger halal chez eux mais ne pas l'imposer aux autres, s'habiller comme on s'habille en Europe, accepter la mixité à la piscine ou à l'école, bref accepter les bases de la vie dans nos sociétés européennes et encore, s’imprégner du fait que les femmes puissent vivre, penser et agir dans la société sans avoir besoin de chaperon mâle autoproclamé ni d’un cadre spécifique règlementant l’exercice de leurs droits … abandonner enfin, le concept du « dar el Islam » et la « dhimmitude » sans parler de la « chasse aux chrétiens » qu’on pratique dans beaucoup trop d’endroits du monde !
La démocratie exige que chacun puisse penser, s’exprimer, se comporter, s’habiller, s’alimenter et agir comme il l’entend à condition de ne pas attenter aux bonnes mœurs ni à l’ordre public et ceci, sans distinction de race, de sexe, de religion, de nationalité, etc … Elle oblige chacun à limiter cette liberté où commence celles des autres c'est-à-dire à ne pas prétendre infliger aux autres ses pratiques propres, religieuses, familiales ou sociales dans la sphère publique et encore moins exiger des autres qu’ils les adoptent ! Elle implique par ailleurs, un système de gouvernement issu d’une majorité qui respecte les droits des minorités et remette son pouvoir régulièrement en jeu à l’occasion d’élections au suffrage universel.
Si l’islam s’astreint à respecter ces principes de vie en société, il pourra devenir compatible avec la démocratie ! L’islamisme ne l’est pas !
En attendant, l'urgence est de maîtriser les flux d’immigration en fonction des besoins exacts de nos économies européennes et de notre capacité d'accueil face à la misère du monde. Et pour cela, de réduire voire de supprimer la folle incitation à une immigration massive que constituent à la fois la générosité excessive de nos avantages sociaux et le laxisme irresponsable de nos processus de naturalisation.
Toutes les religions ont connu des poussées de fièvre intégristes. Elles s'en sont guéries !
Il est temps maintenant que l'islam le fasse pour que les musulmans et la civilisation islamique puissent revenir dans l'histoire.