L'action, ce sont des hommes au milieu des circonstances ! (Charles de Gaulle)

Fausses valeurs et déliquescence nationale … la France en péril de dissolution par sa gauche ! (29 juin 2016)

Debout la droite … « remonter sur les hauteurs … des hommes au milieu des circonstances ! » (Ch. De Gaulle)

 

 

Le petit-bourgeois abusé par ses faux-penseurs et ses faiseurs d’opinion …

Ils l’ont « shooté » à la bien-pensance de masse devenue le catéchisme de nos peuples convenablement enrichis par le progrès technique et socialement bien protégés des aléas de la vie.

Ils lui ont inculqué ce que Nietzsche appelait déjà une « morale de troupeau » dans laquelle un égotisme libertaire exacerbé ne parvient pas masquer la conformité de pensée, la médiocrité des comportements, la superficialité des lubies passagères, la peur du risque, la jalousie de la réussite et l’inaptitude aux grandes choses. Notre « bourgeois-bohème », notre bobo épris de modernité, a fait d’une honnête fonction publique et d’un salariat bien sécurisés, l’« horizon indépassable » de son avenir et de celui de ses enfants ! Ses penseurs l’ont anesthésié en lui faisant avaler cette bouillie intellectuelle qu’ils ont concoctée à partir d’un fonds de sauce de bons sentiments très chrétiens pimenté des poncifs marxisants qu’ils n’avaient cessé de radoter jusqu’à ce que leur erreur leur éclate à la figure et que, tels une harde affolée, ils refluent vers la nouvelle religion des droits de l’homme et de l’écologisme sans même avoir pris la mesure du changement des rapports de puissance dans le monde actuel.

Comme l’affirmait Roland Barthes, « ils n’ont servi à rien sauf à recycler les déchets de leurs constructions ou mondanités intellectuelles » de Sartre à Sollers, Lévy et autres esprits légers mais définitifs en passant par Althusser ou Foucault (« la révolution est-elle bien nécessaire ? ») et ces brillants universitaires (dé-)constructivistes de la rue d’Ulm et de nos Ecoles de Sciences Sociales, si prolixes en « bourdieuseries » diverses ! Ils ont néanmoins réussi à entraîner dans leur erreur et leur insignifiance nos grandes figures de l’humanitarisme moderne et du commentaire médiatique consensualisé et par leur intermédiaire, des générations de jeunes gens à qui ils ont appris à penser faux en les égarant dans le confortable totalitarisme de notre bien-pensance de masse !

Revenons sur terre comme nous y incitait Simone Weil pour éviter de nous fracasser sur l’écueil des réalités et cessons de poursuivre ces chimères ou de nous bloquer sur des idéologies dépassées.

-         La civilisation européenne a bouleversé l’ordre du monde … le monde entier à commencer par l’Amérique, s’est approprié ou est en passe de s’approprier ses outils intellectuels, techniques et institutionnels et le progrès de l’homme doit de ce fait, être repensé dans un espace désormais clos qui cherche un nouvel équilibre dans ses relations de force ou de coopération entre peuples et civilisations. Si l’Europe est mère des idées de progrès, de démocratie ainsi que des « Lumières », elle doit en effet, s’apprêter à les défendre dans le monde mais aussi chez elle, dans la mesure où d’autres peuples ne les auront pas encore bien ni définitivement assimilées.

-         L’après-guerre a fini par accoucher d’une « société de petit-bourgeois convenablement repus et largement protégés mais insatisfaits et insatiables ».

-         … et dans notre démocratie sociale en froid avec l’idée de grandeur, les acteurs politiques et sociaux vont à la facilité ! Ils flattent plus la gloutonnerie, le conservatisme et l’aversion au risque de leur « clientèle » qu’ils ne lui prêchent la nécessité de l’effort. On en a l’illustration flagrante dans les mouvements sociaux de ces derniers mois. Pilotés par les plus archaïques de nos syndicats d’inspiration stalinienne, la CGT, ou trotskiste, FO, ils poussent leurs ouailles dans la rue pour « rejeter », au besoin par la violence et par la « casse », toute adaptation de ce modèle social français qui, datant de l’après-guerre, a dérivé vers une protection désormais injustifiable des seuls nantis de la bourgeoisie du salariat public ou para-public de l’économie du siècle dernier et ceci aux dépens des travailleurs de l’économie d’aujourd’hui dont les protections et garanties sociales sont minimales et pour certains, inexistantes. Leur seul objectif est de conserver « leurs avantages acquis » à coup de subventions publiques quitte à perpétuer des services inutiles qui ne remplissent plus leur mission ou même à faire « crever » leur entreprise … Et ils osent parler de « défense du service public » et de « démocratie sociale » ! Ils trompent le peuple car la France doit changer avec le monde ou elle disparaîtra de la scène.

-         Nos intellectuels hélas, n’ont pas nécessairement l’intelligence du monde. Du penser-faux à la bien-pensance de masse, ils ont de façon très imbécile et irresponsable, initié un processus de dé-construction délibérée des valeurs traditionnelles sans être capable de re-construire quelque chose de viable à la place. Ils n’ont fait comme le regrettait Roland Barthes, que « recycler les déchets des poncifs de la société du moment » ! Mais en justifiant cette erreur intellectuelle par les bons sentiments et les grandes intentions tout en cherchant à excuser ainsi leur criminelle complicité avec les horreurs du marxisme appliqué, ils ont obtenu un plein succès dans l’amollissement du caractère et l’abrutissement de l’intelligence et par suite, dans le processus de déliquescence en cours au sein de notre société de petit-bourgeois égotistes et peureux.

-         Le retour sur terre va être rude … laissons-les à leur « morale de troupeau » et remontons sur les hauteurs pour faire face aux défis du monde nouveau. Le français, l’homme européen n’est plus le seul modèle et les autres peuples cherchent à l’égaler ou le dépasser voire même une revanche sur des siècles de domination intellectuelle et matérielle. Il doit réagir car la bataille du 21è siècle sera sans beaucoup de pitié face aux puissances et civilisations émergentes ou ré-émergentes !

-         Que se trompent les penseurs, économistes, sociologues, philosophes, hommes de bien ou mondains … Errare humanum est ! Mais c’est le diable quand les journalistes s’en mêlent car alors, c’est le peuple tout entier qu’on égare en prenant l’accessoire pour l’essentiel et en ânonnant les poncifs de cette « totalitarisante » bien-pensance qu’ils qualifient « d’opinion » ! Les journalistes deviennent des logorrheux nuisibles quand le ridicule les prend de se croire un fumeux « Quatrième Pouvoir »  et pire encore, quand le « Service public de l’information » commet une forfaiture en s’acharnant à faire de l’activisme socio-politique en biaisant l’information qui n’irait pas dans le sens des lubies gaucho-pensantes de ses « journaleux ». Tous n’en mourront pas mais il est temps de corriger leur dérive, de France Inter et France-Culture les plus en pointe dans l’activisme gaucho-bien-pensant, jusqu’à Arte sans oublier France 3, la « 2 » ou les chaînes parlementaires ! La catégorie la plus détestable et la plus dangereuse reste cependant le journaleux-justicier qui prétend réformer le monde et les gens au nom de « principes moraux » qu’il s’arroge le droit de définir lui-même, et ceci surtout quand il s’acoquine avec son homologue, le juge-justicier, qui reste obtusément bloqué sur la règle de droit si ce n’est sur des options politiques incompatibles avec sa fonction, quand bien même l’intérêt supérieur du pays exigerait qu’on agisse en dehors de ladite règle ! Chacun ne peut évidemment que penser à son niveau même s’il ne s’y tient pas !  

-         Différents niveaux de pensée : intérêt du peuple et intérêt particulier, justice et politique, règle de droit et intérêt supérieur de la nation, etc… Il y a des niveaux supérieurs de pensée et d’action que les niveaux inférieurs ont du mal à percevoir. Au sommet est le pouvoir politique qui, seul, est en charge de l’intérêt supérieur de la nation et donc seul habilité à décider pour le bien de l’ensemble du peuple français sans considération des intérêts particuliers contraires qu’ils soient économiques, financiers, sociaux ou sociétaux et qu’ils se manifestent par syndicats, groupes et groupuscules ou associations diverses interposés ! Encore faut-il que le peuple fasse le bon choix quand il élit celui qui va le guider ! Depuis 2012 le pouvoir socialiste ne pense pas au niveau qui convient et agit à contresens de l’intérêt supérieur du pays. Il est à la limite de la forfaiture en pratiquant systématiquement l’aboulie, le mensonge et l’escroquerie politique dans le seul but de ne pas mécontenter ses « clientèles » pour se perpétuer au pouvoir !

-         La droite contaminée par la bien-pensance et le penser faux !… qu’elle guérisse ses complexes et reprenne le commandement des mains inertes d’une gauche qui mériterait la Haute Cour pour sa lâcheté devant l’action et sa gloutonnerie de pouvoir, toujours insatiable malgré ses échecs récurrents … il faut aussi en finir avec les restes d’un gauchisme révolutionnaire fossilisé et les rêveries de ces mouvements dits de la société civile ou de démocratie directe et participative façon « podemos-gaucho-bobo » qui ne font que revisiter les vieilles lunes auto-gestionnaires d’autrefois ! C’est la mission de la droite que de nous en débarrasser mais il y faudra une droite forte qui n’écoute pas ceux qui en son sein, ont encore peur de désobéir à la dictature de cette bien-pensance de masse nourrie par la gauche intellectuelle française depuis la guerre.

 

Fausses valeurs et vrais problèmes

Le peuple a des valeurs que la « bien-pensance » dédaigne et des problèmes où le « penser faux » de ses élites le mène au désastre !

Un exemple assez typique pour illustrer notre propos ! Suite à sa très « modeuse » indignation sur les misères du monde, Stéphane Hessel, conscient qu’il ne suffisait pas de crier ses bons sentiments, a embrigadé Edgar Morin dans l’écriture d’un petit ouvrage rapide qu’ils ont baptisé « Le chemin de l’espérance ». Le chemin est sinueux et la pensée la plus simple y devient naturellement « complexe ». Ils y décrivent les perspectives d’une fort sympathique « civilisation de l’humanité » de la même manière que les socio-économistes « onusiens » parlent de prendre la mesure du « bonheur national brut » et d’autres penseurs de mener plus modestement une « politique de l’individu » ou du « mieux vivre » !

C’est beau, c’est généreux … c’est magique mais comme le rappelait Simone Weil, les penseurs aiment à voguer toutes voiles dehors dans le vent de leurs idées mais ils doivent bien vite revenir sur terre lorsqu’ils prétendent passer de la théorie à l’action, sous peine de se fracasser sur l’écueil des réalités de ce monde !

Oui, l’homme d’action doit agir en fonction des circonstances comme le recommandait le Général de Gaulle et il n’est pas interdit aux « intellectuels » d’avoir l’intelligence du monde. Ils éviteront ainsi de se laisser aller à des constructions de l’esprit et projets inutiles ou même comiques lorsqu’ils s’avèrent simplement farfelus mais qui peuvent avoir des conséquences dramatiques lorsqu’ils en arrivent à broyer l’humanité dans l’engrenage d’une idéologie fausse voire meurtrière qui chercherait à démontrer sa vérité contre la réalité.

Une société se construit avec les siècles mais elle s’effondre d’un souffle si, prise dans les tourbillons de l’évolution du monde, elle néglige de préserver sa cohésion interne et perd sa capacité de résister aux agressions externes en se laissant aller au mirage de fausses valeurs qu’elle s’inventerait par contresens intellectuel, refus des réalités et réflexe de troupeau.

A confondre liberté et libertarisme, égalité et égalitarisme, fraternité et bisounourserie, laïcité et laïcisme, les valeurs perdent toute signification et le peuple se perd. Chacun pense alors et dit n’importe quoi, persuadé de posséder une parcelle de vérité. Les « élites » politico-médiatiques dès lors, ont le champ libre pour imposer le totalitarisme de leur pensée unique et la société se délite peu à peu … jusqu’au jour où la réaction s’impose avec le retour aux réalités du monde. Faisons donc en sorte que ce retour soit voulu et ne nous soit pas imposé par le monde extérieur !

Au-delà des mots qu’on érige trop facilement en grands principes, il est des mesures de salut public que l’homme d’état doit savoir prendre lorsque la situation le commande, même contre l’avis des clercs et les criailleries des bien-pensants … et si c’est le cas, le peuple approuve !

-         Maîtriser la nature et le flux de l’immigration n’est pas immoral ni indigne mais nécessaire et juste pour mieux aider les immigrés, à s’intégrer à la société qui les accueille. Sache « Ah Khoya », mon frère immigré et peut être musulman, que la France n’a aucun besoin d’immigration ni démographiquement ni économiquement. C’est toi le demandeur, c’est donc à toi de faire l’effort de t’adapter et tu n’es aucunement fondé à exiger l’inverse ! Il faut que ce soit clair car ce que la gauche bien-pensante appelle racisme, xénophobie ou islamophobie n’est que la réaction normale d’une population indigène aux comportements inadéquats et aux excès de quelques groupes immigrés mal intégrés. Cette population indigène, française et européenne, a une culture ancienne qu’elle ne veut pas troquer contre une mélasse indéfinissable de sous-cultures de banlieues des pays d’origine sans rapport véritable avec leurs cultures originelles, cette « culture pizza-kebab-coca-hamburger-noodles » qui tend à sévir partout !

-         On ne met pas l’islam en cause quand on demande que chacun respecte la loi et les coutumes de notre pays … cela s’applique à tous, y compris naturellement aux musulmans français comme étrangers ! Marhaba bik, bienvenue à toi mon frère musulman … mais sache que la France est peuplée « d’indigènes français » qui ont leurs habitudes, leur façon de vivre, leur culture et leur religion. Il faudra donc y adapter les tiennes et les vivre comme ils vivent les leurs c'est-à-dire en séparant le spirituel et le temporel, la sphère privée où se pratique la religion et la sphère publique où prévalent la loi et les coutumes « indigènes » françaises !  Un cadre sera défini auquel il faudra que tu te soumettes en tant que français et musulman et a fortiori en tant qu’immigré musulman. Il définira ce qui est faisable ou pas faisable dans le contexte français et européen afin de garantir dans l’immédiat, la cohésion nationale et la paix sociale. Il incitera par ailleurs, les autorités religieuses islamiques à engager derechef une réflexion approfondie sur la « réforme » de l’idjma, en quelque sorte reprendre le processus d’ijtihad abandonné depuis trop longtemps, pour adapter les prescriptions islamiques à la vie individuelle et collective du 21è siècle en commençant par la France et par l’Europe.La mise en œuvre de ce cadre de vie commun et cette « Réforme » de l’islam à la façon celles qu’ont faites il y a déjà longtemps les autres « religions du Livre », sont capitales pour l’avenir du monde et vitales pour la survie et le développement de l’islam dans le monde moderne.Si tu ne veux pas rentrer dans ce cadre ou pire encore, si tu cherches à y imposer ta vision culturelle et religieuse du monde, cela créera des problèmes tels avec les populations indigènes et les autorités françaises qu’il faudra que tu ailles toi-même chercher ailleurs la félicité que tu cherches ou pire, tu seras chassé du pays si tu es étranger ou mis en prison si tu es français.

-         Punir un délinquant n’est pas non plus une « indignité » quelles que soient les « excuses » qu’on puisse lui trouver … on ne devient pas nécessairement un voyou du seul fait qu’on soit « jeune », pauvre, immigré ou chômeur ! La culture de « l’excuse sociale » badintérienne et les lubies taubiriennes de rédemption des voyous par la non-exécution des peines, c’est fini ! On ne peut plus tolérer que la justice par son laxisme technique ou philosophique, sabote l’autorité et le travail de la police. Par ailleurs, un recadrage s’impose pour enrayer le mouvement vers une politisation inadmissible et croissante de ladite justice.Celle-ci en effet, souffre depuis quelques décennies, d’une fâcheuse propension de la part d’une partie non négligeable du corps judiciaire à l’expression inconsidérée de positions politiques de nature à jeter doute et suspicion sur la sérénité et l’impartialité des décisions de justice que ce dernier pourrait prendre. Le problème de la « désyndicalisation » de la justice se pose en corollaire comme d’ailleurs dans toutes les fonctions de souveraineté de l’Etat.

-         L’école et l’éducation vont à vau l’eau,elles sont pourtant les outils premiers du progrès économique et social, de la cohésion nationale et de l’intégration des enfants des populations immigrées … encore faudrait-il que les parents éduquent et que les enseignants enseignent sans devoir institutionnellement, sacrifier aux « bourdieuseries » de l’Education Nationale ! Rétablir la discipline et l’autorité des maîtres, débarrasser le Ministère des lubies éducatives (post-)soixante-huitardes, recadrer les syndicats dans leur seule mission de défense des salariés et rétablir l’autorité du Ministre, voilà les priorités ! L’objectif premier est d’instruire les enfants en les portant au plus haut niveau possible d’excellence par leur travail, de leur inculquer le sens de la responsabilité et de l’effort et enfin, d’aider les enfants de l’immigration à s’intégrer puis s’assimiler dans la culture nationale. Il n’est pas de les laisser végéter dans une médiocrité égale pour tous en espérant vainement qu’ils « auto-construisent » leurs propres savoirs, confondant chahut et expression de soi-même, désordre mental et créativité ou pire, baisse de niveau et « égalitarisation » des chances !!! On manque ainsi de leur donner les points de repère intellectuels, comportementaux et culturels qui leur permettraient d’organiser et maîtriser leur vie future … et l’école française dérive ainsi depuis près de 50 ans !

-         Au delà de l’Education Nationale, l’ineffectivité du secteur public dans son ensemble n’est pas un problème de moyens mais de définition des missions et d’efficacité dans l’utilisation de ces moyens …. La Cour des Comptes du très socialiste Didier Migaud ne cesse de le prêcher mais Hollande et son gouvernement ont si peur de mécontenter leur clientèle du secteur public et les syndicats qui en vivent, qu’ils ont tout simplement décidé de ne rien faire ! Allergie à la réforme, conservatisme syndical et obsession de relance par la dépense publique ! La gauche à contresens encore une fois ! La réforme du secteur public dans la France déliquescente d’aujourd’hui est pourtant, la condition première de l’enclenchement du « cercle vertueux » d’une économie compétitive : amélioration coût/efficacité du service public et réduction de la dépense publique, allègement subséquent des charges et des impôts permettant la relance de la consommation et des investissements et partant, de la production et de l’emploi ! La gauche, ses « économistes » et ses courroies de transmission syndicales et associatives ont du mal à le comprendre et surtout à le mettre en œuvre. Ce sera donc le premier objectif de la droite dès 2017 avec pour corollaires, la flexibilisation des statuts du secteur public et leur alignement progressif sur le secteur privé sauf, en partie, pour les principales fonctions de souveraineté et le recadrage du droit de grève et des possibilités de syndicalisation dans les fonctions économiques vitales pour la nation et les fonctions étatiques de souveraineté et d’autorité.

-         Le sociétal contre le social … quand l’accessoire noie l’essentiel ! Cyniques, les socialistes au pouvoir tentent d’amuser le peuple ! Incompétents, ils papillonnent au lieu d’aller au but ! Pendant ce temps, les problèmes s’aggravent et le peuple, déçu ou exaspéré, va au front National …

-         Bien-pensance et penser faux … « verts-bobos » et « verts-fachos », l’écologisme contre l’écologie … jusqu’au blocage de l’innovation et de l’économie par excès de « précaution » et par « régulationnisme » idéologique obsessionnel qui vient s’ajouter à celui de Bruxelles !!!

-          Des riches et des pauvres, l’inégalité est dans la nature des choses …Hélas ! nos sociétés modernes ont engendré le « petit-bourgeois normalisé » chez qui triomphe l’égalitarisme des médiocres qu’entretiennent dans leur obtuse inconscience, nos élites gaucho-pensantes dont les coupeurs et coupeuses de têtes s’acharnent à faire fuir le capital et à sa suite, les revenus, les salaires et l’investissement futur !!! Les riches paieront avant de passer à l’échafaud et quand il ne restera plus que les pauvres, on partagera égalitairement la pénurie comme on le faisait si bien en Union soviétique ! Il est vrai que le Président lui-même avait bêtement clamé sa détestation des riches en mentant effrontément au peuple. Il ne s’agit hélas, plus de bêtise mais bien d’escroquerie politique lorsqu’on se refuse sciemment et par calcul électoral, à prendre les mesures que commande l’intérêt supérieur du pays.

 

La gauche prise au piège de ses inconséquences

… de fausses valeurs en vrais problèmes, elle s’égare, s’inhibe et se bloque à contresens des réalités du monde !

En 1936, la gauche a préféré « faire du social » plutôt que mettre la France au travail pour préparer la guerre quand l’ennemi menaçait ! Après la guerre et malgré les redressements gaulliens des «Républiques» de 1945 puis de 1958, elle a continué d’agir à contresens en mettant le pays à la retraite dès 60 ans en 1981 et aux 35 heures en 1997. Et encore en 2012, au lieu de réformer le pays pour renforcer ses bases de redéploiement économique après la crise, elle a choisi la facilité d’un égalitarisme imbécile prétendant faire le bonheur des « minorités récriminantes » ethniques ou syndicales aux dépens de celui de la majorité du peuple … et le « peuple » est parti au Front National !

Cynique, la gauche préfère sacrifier le « social » du peuple tout entier au « sociétal » des clientèles particulières que Terra Nova, le « bobo-club du nouveau socialisme », lui a recommandé de choyer pour arriver au pouvoir. Toujours à contre-sens, elle subventionne de faux emplois et se répand en assistanat généralisé tout en ruinant les entreprises et les épargnants qui pourraient précisément les financer. Par le biais de ses organisations-relais, elle encourage une immigration de masse dont le pays n’a aucun besoin et qui de plus, rechigne à s’intégrer, détruisant ainsi le lien social et la cohésion nationale qu’une école publique et une justice à la dérive ne parviennent plus à sauvegarder. Elle s’avère incapable de réformer un secteur public tentaculaire et impotent qui ne remplit plus ses missions faute de satisfaire à ses fonctions et dont le coût et la sclérose bureaucratique pèsent si lourd sur l’économie nationale, qu’ils l’empêchent de regagner le niveau de compétitivité qui lui permettrait d’affronter les défis du 21è siècle.

Elle divague de fausses valeurs qu’elle s’invente en vrais problèmes que son idiosyncrasie l’empêche d’appréhender et plus encore de régler. Pour le bien de la France et pour faire l’Europe, il faut briser l’engrenage de l’échec et renvoyer la gauche à son inconsistance. C’est devenu une question vitale au milieu des bouleversements du monde actuel et des défis que la France aura à relever pour continuer d’exister en tant que puissance dans le 21è siècle.

-         Bien-pensance et penser faux : gauche, droite et niveaux de pensée …La gauche pense faux car elle s’obstine à penser en termes d’idéologie. Qu’elle laisse les intellectuels échafauder leurs constructions intellectuelles et batailler pour tenter d’en faire l’explication du monde ! Mais qu’elle cesse d’élaborer ses politiques en fonction des schémas de pensée et lubies dont elle s’entiche. Qu’elle réfléchisse à ce qu’écrivait le Général de Gaulle : « L’action, ce sont des hommes au milieu des circonstances ! ». C’est le principe même de toute politique qui permet de limiter les erreurs au seul facteur humain (un bon chef ou un mauvais chef !) et d’assurer en conséquence les meilleures chances de prise en compte de la réalité des choses et la meilleure garantie de ne pas guider le peuple à contresens de l’évolution du monde.  

-         Où en est la France après un quinquennat d’errance politique et d’erreur économique ? Malédiction du socialisme français, la compétitivité s’effondre ! De la tromperie mitterandienne à la procrastination hollandesque en passant par l’erreur jospinienne, les socialistes ont épuisé leur « crédit bêtises » ! En 2016, quatre ans après la regrettable arrivée des socialistes au pouvoir, le pouvoir n’a toujours pas pris les mesures d’après-crise qui auraient permis le redressement du pays et la France patauge dans la médiocrité économique, soumise au surplus à des risques financiers qui pourraient devenir mortels, spectatrice impuissante du délitement de la cohésion nationale et souffrant d’une chienlit sociale et sociétale aigue par manque d’autorité de l’Etat … elle suit lentement le chemin de la déliquescence nationale par incurie de ceux qui la gouvernent !

-         Il manque un chef et une politique !La catastrophe n’est pas encore là mais elle peut survenir à tout moment car le monde change à grande allure et ne nous attend pas. Il faut réformer … vite ! Trois priorités : l’emploi avec des entreprises compétitives grâce à l’allègement des charges et des impôts suite à une réduction drastique de la dépense publique rendue possible par une réforme au fond du secteur public, un cadrage strict de l’immigration et de l’islam pour satisfaire aux impératifs de cohésion sociale et d’identité nationale, le rétablissement de l’autorité de l’Etat par la refondation de l’Education Nationale, le recadrage de la politique pénale et de l’administration de la justice et enfin, la réglementation du droit de grève et du droit syndical pour en empêcher les abus en particulier dans le secteur public, les activités socio-économiques stratégiques et d’abord dans les fonctions de souveraineté.

-         Que fait la gauche pour réarmer la France face aux défis du monde nouveau ?Elle étale ses bons sentiments et abuse le peuple avec quelques gadgets sociétaux qui pouvaient attendre ou quelques projets de réforme (« les Pactes » !) bien vite mis au placard ou dénaturés sur opposition syndicale ou social-gauchiste ! Mais les mesures de salut public dont le pays a besoin, rien ! Le Gouvernement hollandesque a peur et procrastine !

-         La « gauche » veut ignorer les priorités, elles exigent des actes plus que des discours … générosité, « droits à tout et n’importe quoi », bons sentiments, c’est plus facile à « vendre » au peuple ! La gauche se refuse à déplaire à ses clientèles terra-noviennes (secteur public, immigration, public écolo-gaucho-bobo) or c’est là précisément que sont les priorités de réforme donc pas de réformes, la France s’enlise et le Front National s’envole !!!

-         Et voilà que quelques économistes de gauche (un oxymore ! l’économie « est » mais elle n’est pas de gauche !) se font les complices de cette non-politique en hurlant à l’austérité alors qu’on est encore à mille lieues d’une gestion simplement acceptable et en ânonnant le mantra de la relance par la dépense publique … désolant archaïsme conceptuel !

-         … tandis que régulièrement, retentissent dans le ciel élyséen, les coups de tonnerre des rapports successifs de la Cour des Comptes : elle définit le cap que François Hollande a peur de fixer aux français et « d’imposer » aux syndicats, à ses militants et à ses diverses « clientèles » ! Un énorme gâchis qui accélère le processus de déliquescence nationale !

-         La révélation faite au PS : le Prophète branche le Saint-Esprit sur les Apôtres en Janvier 2013 ! Soudain, Hollande annonce en conférence de presse qu’il devient « social-démocrate » pour les uns, « social-traître » pour les autres ! La gauche française a toujours 50 ans de retard car Hollande n’est pas de taille à convaincre le PS de faire son Bad-Godesberg !

-         En fin de compte, Monsieur Hollande, vous nous faites honte et l’obscénité du peuple français qui s’est lâchement et volontairement laissé abuser par votre litanie mensongère parce qu’il avait peur qu’on le force à bouger, ne saurait vous servir d’excuse ! Ni, plus méprisable encore, le troupeau des « pleureuses médiatiques » qui vous reprochent maintenant de vous enliser après s’être excitées et pâmées à faire votre propagande électorale en 2012 !

Non Monsieur Hollande, vous n’avez aucune excuse et vous mériteriez cent fois la Haute Cour si les motifs d’incurie par incompétence mais surtout d’incurie délibérée dans le seul but de ne pas handicaper vos chances de passer le premier tour de 2017, étaient des motifs reconnus devant cette instance. Cette préférence donnée à votre intérêt électoral aux dépens de l’intérêt supérieur du pays est une escroquerie politique, une trahison. De François Mitterand, on pouvait s’y attendre car il portait assez haut le qualificatif « d’arsouille » dont l’affublait De Gaulle mais de vous, François Hollande, on avait du mal à l’augurer avec votre bonne tête d’honnête fonctionnaire de la Cour des Comptes … vous n’en avez donc eu que plus de facilité à tromper le peuple par vos menteries malpropres ! Oui, la Honte !

 

« L’Europe se fera par la France et l’Allemagne ! »

L’Europe a enfanté le monde moderne, il est logique et justifié qu’elle devienne la puissance mondiale de référence au 21è siècle : « L’Europe, c’est la France et l’Allemagne … ! » avait dit de Gaulle.

Avec ses forces et ses faiblesses, ses qualités et ses défauts, l’Europe a transmis au monde à commencer par l’Amérique, ses connaissances et ses savoir-faire scientifiques, techniques, institutionnels, politiques et culturels. C’est à partir de ces atouts et après les avoir assimilés et développés que les peuples et les nations ou les pôles de puissance qui s’ébauchent, pourront faire face aux défis du 21è siècle. Il est donc légitime de vouloir faire de l’Europe la puissance de référence de ce monde nouveau … voilà le but !

La France a une ambition pour elle-même et pour l’Europe que les autres n’ont pas. L’Angleterre ou l’Allemagne en effet, se contenteraient assez aisément de devenir quelque « Grande Suisse » prospère et bien gérée sous la protection des Etats-Unis. L’Angleterre toute à sa nostalgie de l’Empire, vient de décider par référendum (procédé si peu britannique !) de quitter l’Union Européenne et de se replier sur elle-même. So what ? Elle n’a jamais vraiment fait partie du projet européen et de toute manière, l’Europe n’existe pas en tant qu’Europe politique et encore moins en tant qu’Europe-puissance ! L’Europe reste à construire et l’Angleterre y reviendra dès que la France et l’Allemagne en auront établi les fondations ! L’Allemagne quant à elle, a besoin du cadrage français qui lui aurait permis par exemple, d’éviter les erreurs majeures de l’abandon du nucléaire allemand en 2013 et de la folle ouverture à l’immigration en 2015. Elle serait tout à fait prête à revenir au bon vieux Deutsch-Mark si la France continuait à lui faire défaut comme elle le fait depuis 2012 quitte à faire éclater Euro et Europe comme cela aurait pu se produire entre 2008 et 2012 si Nicolas Sarkozy et Angela Merkel n’avaient su faire face à la situation grâce au « directoire franco-allemand » qu’ils ont su établir pour conduire l’Europe dans la tourmente.

La France, elle, continue de nourrir une autre ambition car elle a conscience que l’Europe lui est nécessaire pour transcender la puissance française. Pas de France sans l’Europe mais pas d’Europe non plus sans la France ! La France cependant, n’y suffira pas si elle reste seule. C’est donc avec l’Allemagne qu’elle fera l’Europe car l’Angleterre, toute à ses regrets de puissance du 19è siècle, semble persister à vouloir passer son tour au 21ème.

Que l’Europe soit ou qu’elle disparaisse dans les tourbillons du monde, la France en sera donc le premier acteur ou le premier responsable ! Voilà le chemin ! Il faut oser l’Europe ! Le seul préalable est de rétablir la France dans son rôle séculaire de puissance-pivot en Europe.

 

-         Cessons de fantasmer sur les rapports passés de l’Europe et du monde L’esclavage c’est fini sauf dans quelques pays arabo-musulmans arc-boutés sur leur tradition et leur sunna moyenâgeuses ! La « colonie » aussi, c’est fini ! Le colonisateur a beaucoup apporté à tous les pays qu’il a colonisés. Il les a certes dominés pendant quelque temps mais il les a instruits, soignés et développés économiquement et il leur a aussi laissé un peu voire beaucoup de sa culture et de son humanité. Assez donc de culpabilisation et de repentance bêtasses et injustifiées ! Libérons plutôt nos énergies pour une cause qui vaille, le développement du monde, au lieu de nous confire dans cette « morale de troupeau » faite d’excès libertaristes, de lubies égalitaristes et de « bisounourserie » sociale et sociétale, qui lamine notre intelligence et bloque notre action face aux défis du monde du 21è siècle …

-         Faire de l’Europe la puissance de référence du monde nouveau ? C’est l’ambition de la France pour l’Europe ce qui implique de lever auparavant, le « préalable français ».La gauche ayant définitivement démontré son inconscience du problème et son incapacité à le résoudre,la droite doit reprendre d’urgence les rênes du pays pour redresser la France et la rétablir dans son rôle séculaire de « puissance-pivot » en Europe, une puissance sans laquelle rien ne peut s’y faire … et cela depuis le Royaume des Francs !

-         L’Europe se fera par la France et l’Allemagne ou ne se fera pas L’accord franco-allemand de fin 2011 et le Traité de Stabilité, Coopération et Gouvernance de Mars 2012 ont fixé le cap et la réalité s’impose … La France et l’Allemagne doivent reconstituer le « directoire franco-allemand » qui de 2008 à 2012, avait permis de sauver l’Europe et de faire plus de progrès en 5 ans dans la coordination de nos politiques nationales que pendant les 50 ans de palinodies bruxelloises qui avaient précédé ! A 10, 12, 20 ou 30, le Conseil européen ou celui des ministres de l’Union restent incapables de prendre et encore plus de mettre en oeuvre les décisions stratégiques majeures ! L’Europe ne pourra pas se faire autour du « machin de Bruxelles », c’est autour de Paris et Berlin qu’elle se fera.

-         Où en est l’Europe ? La France a perdu l’initiative et l’Europe patauge alors que le monde avance … et en 2016, l’Europe continue de s’enliser car la France est toujours absente par défaut de son « Piètre-Président » ! Celui-ci après avoir perdu toute crédibilité aux yeux de nos partenaires européens par ses prétentieuses rodomontades de début de mandat et son incurie ultérieure dans les réformes, a été aussi incapable de bloquer Angela Merkel dans sa folie « immigrationiste », que de faire face à V. Poutine et à la Commission dans l’affaire ukrainienne ou encore de maîtriser avec B. Obama, la problématique euro-proche-orientale et l’élimination de Daech, tous deux s’avérant aussi mous et indécis dans l’action, l’un que l’autre !

« L’action, ce sont des hommes au milieu des circonstances ! ». Jamais la maxime du Général de Gaulle n’a paru aussi évidente mais aussi désespérément lointaine … encore un an avant 2017 !!! Dieu que c’est long pour chacun de nous et plus encore pour la France, après quatre années perdues par des gouvernants abouliques parce qu’ils ont peur et ne sont pas à la hauteur des défis du monde actuel !

La droite doit reprendre la tête du pays en renvoyant la gauche à son insignifiance politique et en reprenant ses électeurs égarés au FN. Il y faudra une politique forte et un Chef d’Etat de caractère et d’expérience, un Chef d’Etat qui ait prouvé sa capacité à faire face à la rue et aux forces du conservatisme politique et social, pour réformer le pays et rétablir la France dans son rôle séculaire de puissance-pivot en Europe, le but ultime étant de faire de celle-ci, sous l’impulsion franco-allemande, la puissance mondiale de référence du 21è siècle.

 

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