Rentrée 2017 : La France enlisée dans la mollocratie bobo-centriste ... Macron et Philippe s'agitent, tout bouge et rien ne change ! (9 Septembre 2017)
La droite molle a échoué, refaire "LA DROITE" ! Laurent Wauquiez en mission pour la France ... Eradiquer la bobo-gaucho-pensance …
Côté Gouvernement, le couple Macron-Philippe essaie de ne pas s’embourber dans son « melting pot » politico-communicationnel où les couacs s’accumulent « en même temps » que le flou persiste sur « la vision ».
On ne la perçoit pas très bien en effet, dans le désordre de toutes ces mesures de bricolage budgétaire et annonces d’importance diverse et à la cohérence très relative, au plan intérieur comme en politique extérieure.
L’inénarrable Bayrou est parti avec ses Modem, Ferrand aussi avec ses turpitudes, c’est la pagaille chez les marcheurs droite-gauche de l’Assemblée et un député macronien fracasse le crâne d’un député socialiste tandis que Mme le Ministre chargée de la « loi Travail » risque d’être bientôt mise en examen dans l’affaire du voyage à Las Vegas d’Emmanuel Macron lorsqu’il était Ministre ! Du coup plus personne ne parle de « moraliser la vie publique » !!! Le ridicule ne tue plus en France mais les sondages sont sur la mauvaise pente !
Sur la loi Travail, on ne sait toujours pas très clairement où on en est des « accommodements raisonnables » avec les syndicats ni si on aboutira à quelque chose d’effectif au bout du parcours sans bien se rendre compte que ladite loi Travail n’est qu’une bien petite partie du programme des réformes à mener. L’essentiel en effet, tient dans la réforme du secteur public dans son ensemble afin de purger sévèrement la dépense publique et libérer la dynamique de l’économie et de l’emploi. L’annonce d’une « réforme profonde à la SNCF » signifie-t-elle une réelle volonté de poursuivre et amplifier les réformes Woerth-Sarkozy de 2011-12 sur les retraites et statuts des régimes spéciaux ce qui serait un grand pas en avant ? Ou tient-elle de l’esbrouffe sur quelques détails dans le cadre de la mise en concurrence européenne des chemins de fer et de la « digitalisation/ubérisation » de leur gestion à l’image de la « loi Macron » avortée de 2016 ? Pour l’instant, on traite l’accessoire par bidouillage budgétaire et raclage de fonds de tiroirs d’une très « hollandesque » manière pour essayer très petitement de rester dans les clous du 3% bruxellois ! Les sondages continuent de baisser.
L’autre priorité française est un « cadrage strict de l’immigration et de la pratique de l’islam » afin de garantir la cohésion nationale et la paix publique sur le long terme en assurant l’intégration satisfaisante des immigrés et de leurs enfants et leur assimilation effective avant tout octroi de la nationalité française. A cet égard, la crédibilité du couple Macron-Philippe est nulle dans la mesure où leur boboïsme générationnel penche pour un multiculturalisme ou un mondialisme culturel relevant plus des pulsions de la « gaucho-bien-pensance droit de l’hommiste et repentante » des socialistes et gauchistes divers que d’une réflexion approfondie sur le sujet de l’identité nationale et de la sécurité publique. Parler de lutte contre le terrorisme ne suffit pas, il faut aussi l’empêcher d’advenir et donc bien cadrer la « diversité » afin de réussir son intégration puis son éventuelle assimilation et francisation. L’opinion et donc les sondages n’ont pas encore pris la mesure de cette carence majeure de nos gouvernants actuels. Cela risque d’être difficile pour le « macronisme » dans les mois à venir !
A l’international, notre « Kennedy français » jouit d’une première impression positive de par sa jeunesse et pour avoir soulagé la conscience internationale bien-pensante de ses fantasmes d’une accession au pouvoir du « populisme » en France ! Il a serré comme il fallait la main de Donald Trump et fait des risettes convenables à Angela Merkel en attendant les élections allemandes mais côté russe, Proche-Orient et Bruxelles, on ne voit pas bien la stratégie de rétablissement de la France dans son rôle séculaire de puissance-pivot de l’Europe tant que les problèmes intérieurs français ne seront pas maîtrisés. Combien de temps cette lune de miel durera-t-elle ? Cela dépendra de l’effectivité du traitement que le nouveau Président appliquera aux problèmes pendants du pays pour le redresser. La lune de miel internationale risque d’être courte.
L’image projetée et la com’ politique ne suffisent pas, il faut agir or « l’action, ce sont des hommes au milieu des circonstances » disait le Général de Gaulle. Certes, les circonstances sont là, il est urgent et vital de redresser la France pour qu’elle ne disparaisse pas de la scène mondiale et que son peuple puisse faire face aux défis du 21è siècle mais … avons-nous les hommes ?
Du côté de la droite, c’est la grande lessive dans laquelle les diviseurs, les lâcheurs et les traîtres des derniers mois se sont noyés et où quelques-uns cherchent encore à surnager. La reconstruction se fera autour d’une ligne forte capable de ramener à droite les électeurs qui l’ont quittée, exaspérés par son aboulie et ses insuffisances dans l’action. Laurent Wauquiez est le porte-drapeau de cette droite forte et donc candidat à la Présidence du nouveau parti.
Les ex-(ir)responsables de droite qui sont déjà allés à la soupe, sont en train de dire et faire en tant que ministres, le contraire de ce qu’ils préconisaient pendant la campagne. Ceux qui souhaitent y aller mais n’y ont pas encore été conviés, songent à se regrouper hors droite sans pour cela se faire nécessairement « marcheurs ». Ils réitèrent ainsi les comédies ou farces politiques du genre UDF autrefois ou plus récemment UDI ou Modem avec leurs litanies et lubies de « ni droite-ni gauche tout au centre » ou encore « deux Français sur trois », « majorités d’idées », ou « démocratie participative et société civile ». Alain Juppé avait bien essayé d’en guérir la droite en créant l’UMP dans une vaine tentative d’intégration de ces fantaisies centrisantes. Grave erreur ! Elles n’étaient pas assimilables et leurs métastases ont hélas, très vite amolli et débilité la droite qui au lieu de « fixer » les centristes n’a fait que faire fuir au Front National ses électeurs exaspérés par sa pusillanimité, son aboulie et sa peur d’agir. L’UMP devenait ainsi peu à peu l’UMPS chérie du Front National qui montait, montait, montait s’alimentant sans grande difficulté au réservoir des électeurs de droite insatisfaits … !
Après les désastreux épisodes d’une primaire à droite qui n’avait pour but que d’éliminer le candidat légitime, Nicolas Sarkozy, puis d’une homérique bataille présidentielle de premier tour où quelques indécis et mous de droite ont pris peur et lâché François Fillon lui faisant perdre les deux ou trois points qui l’auraient conduit à la Présidence au second tour, l’horizon s’éclaircit enfin avec la candidature de Laurent Wauquiez à la Présidence du Parti, qui permettra de distinguer clairement qui est de droite de qui fait semblant d’en être !
Malgré les quelques candidatures de témoignage qui ne manqueront pas de se manifester par désir de « servir », par orgueil ou par volonté de diviser pour nuire, Laurent Wauquiez a les plus fortes chances de devenir Président des Républicains.
Faisons le tri dans le « peuple de droite ». On peut légitimement considérer que n’en font plus partie les « soupeurs » de la droite molle déjà passés à la table macronienne comme nos trois ministres à commencer par le Premier, ni les « candidats-soupeurs » façon Solère ou Riester qui sont en train de monter leur petit groupe « collabo-constructif » pour mieux se faire remarquer du pouvoir en place au cas où … ! S’ils y revenaient un jour, ils y seraient naturellement les bienvenus. On n’exigerait pas nécessairement d’eux qu’ils aillent à genoux à Canossa mais on leur demanderait de faire clairement la démonstration qu’ils en auraient fini avec cette détestable manie du « ptêt ben qu’oui, ptêt ben qu’non », propre au centrisme et à la « droite molle » et si communément pratiquée par eux sans même parler des errements d’un François Bayrou saisi par le démon des aller-retours politiques selon la direction du vent à la manière d’un Edgar Faure ! Ce n’est donc pas « au centre » qu’on re-construira la droite comme Alain Juppé s’obstinait hélas, à le répéter il y a encore quelques mois malgré l’échec de l’UMP à cet égard.
Il y a heureusement à droite, des gens sérieux comme Valérie Pécresse ou Xavier Bertrand qui n’ont pas vraiment trahi. Ils ont cependant beaucoup navigué d’un bord à l’autre de la droite et n’ont pas vraiment joué franc jeu avec le candidat Fillon avant le premier tour de la présidentielle ou avec le parti LR lors des législatives. Leur hésitation dès lors, a semé le trouble et l’incertitude dans l’électorat et lourdement contribué à la défaite alors que leur fermeté face à l’adversaire aurait pu compenser aux yeux des électeurs, la trahison des hésitants, des mous et des peureux à la présidentielle et celle des « soupeurs » et « constructifs » aux législatives. Xavier Bertrand comme Valérie Pécresse doivent maintenant cesser leurs jérémiades à propos de la droite forte à qui ils reprochent de « courir après le Front National ». Leur comportement est d’autant plus stupide qu’ils savent fort bien que le FN est né et a grandi de l’exaspération d’un électorat de droite mécontent d’une droite molle qui dans les vingt dernières années mis à part le quinquennat Sarkozy, n’arrivait pas à se décider ni agir fermement sur les deux priorités du redressement national, la réforme socio-économique et donc la reprise de l’emploi d’une part, le cadrage de l’immigration et de l’islam et donc la cohésion nationale et la sécurité publique d’autre part. Vouloir une droite forte qui résolve effectivement les problèmes du peuple et fasse respecter l’ordre républicain plutôt que de sacrifier aux fausses valeurs de la « bobo-gaucho-bien-pensance » n’est donc pas courir après le FN mais bien le seul moyen de le réduire en reprenant au FN nos électeurs qui s’y sont égarés.
Que Valérie Pécresse, Xavier Bertrand et Alain Juppé, cessent de parler de « droitisation » et de « lignes rouges » ! Ces mises en garde adressées à Laurent Wauquiez sont ridicules et injustifiées. Elles ne font que traduire leur erreur de jugement et leur enfermement, conscient ou non, dans une stratégie à contresens qui donne la préférence aux lubies et fausses valeurs de cette « bobo-gaucho-bien-pensance » qui mine la droite depuis des décennies et a conduit le pays à la déliquescence politique, sociale, économique culturelle et sociétale que nous constatons aujourd’hui tout en faisant le bonheur du Front National.
Il ne s’agit pas de « droitiser » pour le plaisir, une droite molle qui refuserait obstinément de se laisser soigner mais de relever le défi du redressement du pays et pour cela de re-construire une droite qui n’ait pas honte d’être ce qu’elle doit être ni peur de prendre au nom de la France et pour le bien du peuple français, les mesures fortes qui s’imposeront même contre les intérêts particuliers coalisés ou les vents contraires de la bien-pensance généralisée. « L’action, ce sont des hommes au milieu des circonstances » disait de Gaulle. Il est des moments où les circonstances exigent qu’on soit fort et parfois brutal ce qui n’empêche pas qu’on puisse être juste au bout du compte puisqu’il s’agit de l’intérêt supérieur du pays ! Nous y sommes et il y a urgence !
Si Valérie Pécresse, Xavier Bertrand et Alain Juppé croient vraiment que leur stratégie est la bonne et veulent une droite « bien-pensante sous tous rapports » plus proche des idées, scrupules ou fantasmes du centre voire de la gauche que d’une droite forte et agissante, qu’ils prennent leurs responsabilités et se portent candidats à la Présidence du nouveau Parti en gestation !
C’est donc au rassemblement qu’il faut appeler pour le choix du futur Président des Républicains.
Cette séquence est inaugurée avec beaucoup d’à-propos et de bon sens par le ralliement de Virginie Calmels à Laurent Wauquiez. Elle jouit d’une expérience concrète, complète et réussie de gestion et direction d’entreprise et n’est donc pas suspecte d’engouement politique inconsidéré « en même temps » (comme ils disent à LREM !) qu’elle n’a rien à craindre des éventuelles leçons sur la « société civile » des pions de toutes provenances, rameutés par le tandem Macron-Ferrand dans cette formation sans consistance où des mouvements browniens désordonnés prennent rapidement le dessus ! Mais surtout, elle vient de la « juppéosphère » apportant concrètement la preuve que cette dernière n’est pas composée que de « soupeurs » ou de mous. Virginie Calmels en effet, vient de confirmer qu’elle rejette absolument l’idée d’une compatibilité quelconque avec la Macro-sphère dans la mesure où le programme de Macron (au cas où il y en aurait un !) n’a rien de commun avec celui d’Alain Juppé ou de la droite en général que ce soit sur les problèmes de compétitivité économique et d’emploi ou sur la problématique immigration-islam et cohésion nationale. C’est un point positif majeur pour le rassemblement de droite qu’on souhaite autour de Laurent Wauquiez.
Il est évident en effet, que la nouvelle droite doit être forte. Elle ne pourra d’ailleurs être forte que si elle est unie autour de son chef. Chapelles, mouvements ou courants ne sont pas dans la tradition de la droite et ne font qu’encourager le bal des ego et la chienlit !
L’unité du parti et sa cohésion seront assurées et doivent être garanties par le rassemblement autour d’une ligne clairement approuvée et respectée par tous ainsi que Valérie Pécresse le rappelait récemment étant entendu que tous ceux qui auront rejoint le parti, se conformeront strictement à la ligne définie et n’iront pas étaler leurs états d’âme voire leurs hésitations, divergences, scrupules, caprices ou susceptibilités sur les ondes ou les plateaux de télévision. Chacun naturellement peut avoir ses préférences et ses amitiés voire ses détestations ou ses colères mais tout cela s’exprime et ne doit s’exprimer que dans l’enceinte du parti et non à l’extérieur.
Sur quelles bases alors définir cette fameuse « ligne du parti » que son Chef, ses cadres et ses militants seront chargés de mettre en oeuvre pour servir la France ?
L’objectif premier sera le redressement du pays dans le but de rétablir la France au plus tôt dans son rôle séculaire de puissance-pivot en Europe et, à terme, faire de celle-ci la puissance mondiale de référence du 21è siècle.
Le redressement comportera deux priorités vitales pour l’avenir du pays. La première est la réforme de l’Etat et de l’ensemble du secteur public pour réduire drastiquement la dépense publique et par suite les charges et les impôts qui pèsent sur les entreprises et les particuliers et bloquent la dynamique économique et l’emploi. La deuxième est le cadrage de l’immigration et des pratiques de l’islam pour sauvegarder et garantir la cohésion nationale, la sécurité publique et l’identité française.
L’approche sera fondée sur l’unité et la discipline du Parti. Une discipline à laquelle chacun doit s’astreindre au sein du Parti. La parole y est libre à l’intérieur mais on ne s’exprime à l’extérieur que si on y a été commis par le Parti ou en conformité avec les options du Parti. Ceux qui ne seraient pas ou plus en accord avec ses options, devront le quitter ou seront expulsés. On ne laissera pas s’installer le doute, la zizanie ou la chienlit ! La droite en a trop souffert. Elle en a même perdu le pouvoir !!!
A ces conditions, la droite redeviendra la droite, et capable de répondre aux aspirations du peuple français et aux nécessités de la grandeur de la France.
Qui sinon Laurent Wauquiez, pour prendre la direction du Parti ?
Le seul depuis des années à être resté droit et n’avoir pas faibli sur le champ des dernières batailles.
Il avait très exactement défini l’enjeu européen en déclarant lors des élections européennes de 2014, que « l’Europe c’était la France et l’Allemagne » et qu’elle se ferait à Paris et à Berlin mais pas à Bruxelles ainsi que de Gaulle l’avait affirmé il y a déjà longtemps.
Il a toujours été partisan d’une droite forte et sociale qui ait le courage de décider et prendre les mesures qui répondent aux aspirations, aux besoins et aux intérêts du peuple français tout entier et donc à l’intérêt supérieur du pays quitte à aller contre les intérêts catégoriels ou particuliers quels qu’ils soient et à bousculer les fausses valeurs de la gaucho-bien-pensance qui ont miné l’exercice du pouvoir depuis les années 68 et auxquelles la droite elle-même s’est laissé prendre peu à peu par trop de faiblesse et de laisser-aller dans la facilité.
Il n’a pas louvoyé aux frontières des partis ni de idées et encore moins des idéologies. Il n’a pas « balancé » d’un candidat à l’autre pour tenter de mieux se placer ni pendant la campagne des primaires de droite ni celles des présidentielles puis des législatives alors que d’autres n’hésitaient pas à aller de Sarkozy en Juppé ou Fillon voire à lâcher Fillon pour y revenir avant de se déclarer pour Macron et « souper » enfin à la table de son Gouvernement !
Il a toujours appliqué lors des différentes élections, le principe du « NI FN-NI PS » et n’a jamais accepté la lâcheté du « Front Républicain » qui fournissait au FN l’argument imparable de l’UMPS pour décrédibiliser l’UMP aux yeux de l’électorat de droite alors que d’autres n’hésitaient pas à faire appel au PS voire à s’aplatir devant la gauche en quémandant ses voix pour se faire élire comme ce fut malheureusement le cas dans trop de régions lors des élections de 2015 !
Il a été le seul en effet, avec Bruno Retailleau, à faire reculer le Front National aux dernières élections Régionales du fait même de sa « fermeté à droite ». L’électorat lui a reconnu sans hésitation sa constance et sa « crédibilité de droite » en confirmant largement sa légitimité sans avoir besoin de recourir aux subtilités tactiques, aux alliances contre nature et aux dissimulations politiciennes.
Il est par ailleurs et pour ces mêmes raisons, le candidat le plus apprécié des militants et sympathisants du Parti qui ne veulent plus revivre les aventures dramatiques et hélas, grotesques et humiliantes, que leur ont fait vivre les responsables d’une droite trop molle depuis les années Chirac, à l’exception notable du quinquennat Sarkozy où la France et l’Europe ont pu surmonter avec succès une crise sans précédent. Une droite sans âme amollie par trop de compromissions au centre, de calculs politiciens et de pusillanimité bien-pensante, incapable d’inverser la pente du délitement national initiée par les errements mitterandesques des années 80 et précipitée par les cinq années de confusion, d’aboulie et de corruption intellectuelle et politique du quinquennat Hollande sans grand espoir que le nouveau pouvoir en place ait la volonté ni la force de faire face aux périls faute d’une claire conscience de la gravité des problèmes.
LAURENT WAUQUIEZ DONC POUR LA DIRECTION DU PARTI PUISQU’IL FAUDRA BIEN UN JOUR PROCHAIN PRENDRE LES RÊNES ET REDRESSER LE PAYS !