… et si nos juges ne faisaient plus de politique ? Faudra-t-il les "cadrer" eux aussi ? (1er Juillet 2014)
En ce mardi 1er Juillet, en relançant les procédures contre Nicolas Sarkozy, les juges recommencent à se mêler de choses qu’ils n’ont pas le niveau ni les moyens de juger !
Ils participent ainsi à l’entreprise de déstabilisation si ardemment souhaitée (préparée ?) par ceux qui, à gauche, à l’Elysée comme au gouvernement ou dans les milieux judiciaires, considèrent Sarkozy comme le danger majeur, celui qui leur ferait perdre places et pouvoir … Et ces juges n’aiment pas Nicolas Sarkozy ! Il voulait en effet, les supprimer ou du moins les réformer et les recadrer ! De plus, ils penchent fortement du côté du Syndicat de la Magistrature, organisation clairement orientée à gauche qui a récemment contribué par ses agissements politiciens et notamment par ce scandale d’Etat encore impuni, le « Mur des Cons », à jeter le discrédit sur les décisions de justice que ses membres pouvaient rendre !
Cela n’ira sans doute pas très loin parce qu’ils n’ont probablement pas plus « d’indices graves et concordants » à faire valoir dans cette nouvelle affaire que dans celles où ils voulaient impliquer Nicolas Sarkozy auparavant mais aussi parce que les faits reprochés portent sur des éléments qui n’ont d’importance que pour ceux des « accusateurs » qui voudraient absolument compromettre Nicolas Sarkozy même au prix de mensonges, d’exagérations, d’écoutes injustifiées sinon illégales et par pur esprit de vengeance ou de détestation politicienne !
Et si cela s’avérait exact, il deviendrait urgent d’assainir notre corps judiciaire en se débarrassant des éléments politisés qui abîment notre justice et de mieux cadrer notre politique judiciaire et la façon dont nos juges la mettent en œuvre.
Cette politisation de la justice voire même le seul soupçon qu’elle puisse être politisée du fait des inclinations ou professions de foi avérées de certains juges et de certaines de leurs organisations, doivent être éradiqués pour éviter qu’elle ne dérive tout bonnement vers une justice politique.
Avec ces mises en cause répétées pour ne pas dire acharnées de Nicolas Sarkozy, il s’agit bien de politique et de l’avenir de la France, sujets qui bien évidemment, dépassent les compétences de nos juges et se situent hors du champ de la justice de tous les jours. Le caractère d’autorité morale et institutionnelle naturelle que revêtent les décisions de justice, même les plus banales, amène certains juges peu enclins à la modestie, à la prudence ou au recul intellectuel, à confondre l’autorité de la justice et la leur propre. Et pour peu que la politique les touche, ils finissent par se croire capables de tout appréhender de ce bas monde et s’arrogent imprudemment le pouvoir de tout corriger … au nom de la loi et du droit tel qu’ils veulent bien l’interpréter !
Vanitas vanitatum … car le droit et encore moins l’interprétation qu’ils en font, ne sont évidemment d’essence divine et il est des situations, des faits ou des problèmes qui ne ressortent pas de ce droit mais de la politique voire de la survie des peuples ou des nations et qui sont de ce fait, au-dessus du banal corpus du droit qu’ils sont chargés d’appliquer quotidiennement .
Ceux des juges qui manquent de la hauteur de vue ou tout simplement du recul nécessaire en matière de jugement, en arrivent alors bien vite à se comporter comme des « justiciers » et deviennent aussi stupides que ces journalistes insatisfaits ou paranoïaques qui s’évertuent à dénicher voire à inventer « scandales ou affaires » pour « se payer tel ou tel grand » qu’ils n’ont jamais pu être … au nom de la pureté morale, de la divine transparence de l’information voire même, disent-ils, pour le bien du peuple ou de la société ! Ridicule de prétention et dangereux pour la démocratie !
Il y a en effet, différents niveaux de problèmes et différents niveaux de pensée et d’action ! Les juges ni les journalistes n’ont pour mission de traiter les niveaux supérieurs. Ils doivent laisser cela aux politiques qui en sont responsables face au peuple, et non tenter de se substituer au peuple pour « juger les politiques » ou tenter de les abattre.
On trouvera ci-dessous le rappel d’un article du 16 Mars 2014 qui faisait le point sur les manœuvres politiciennes de notre très malhonnête gauche (« La gauche et les arsouilles …. ») ... et trois autres articles traitant de notre justice fragilisée par le totalitarisme bien-pensant de ladite gauche, peuvent être consultéss sur http://facebook.com/eurocooperation :
- L’un du 4 Février 2014 qui rappelait que la justice, ce n’est ni le laxisme ni le gouvernement des juges ! (« Laxisme judiciaire ou gouvernement des juges ; ne pas confondre avec justice ! »)
- Le second du 2 Juillet 2013 qui mettait en garde contre les dérives d’une justice mal « cadrée » et de media qui débordent de leur mission d’information ! (« Bien-pensance et penser faux : politisation de la justice et journalisme déviant, la gauche dans ses œuvres ! »)
- Le troisième du 6 Avril 2013 qui explicitait la nécessaire remise en place des juges et des journalistes par rapport au politique en fonction de la nature et du niveau de leur mission (« Bien-pensance et penser faux : justiciers, justice et action politique … différents niveaux de pensée !)
La "gauche et les arsouilles" ! le peuple ne pense plus à gauche et elle s'affole ! (16 mars 2014 )
"Ah oui, l'arsouille" : c'est le qualificatif dont le général De Gaulle avait affublé Mitterand alors qu'un de ses interlocuteurs lui contait une des dernières acrobaties politiques de ce dernier, dans le style attentat de l'Observatoire, stade Charléty ou autre turlupinade ...
Pourquoi en effet, ce comportement oxymorique d'une gauche qui ne cesse de prêcher "sa" morale à tous mais se comporte chaque jour en véritable "arsouille"?
Son côté petit-bourgeois l'empêche sans doute de penser, de voir et de faire "grand". Elle est donc très attentive à ce que personne d'autre ne le fasse à sa place et si quelqu'un s'y risque, elle sort toute sa batterie de poncifs bien-pensants hérités de ce brouet culturel christo-marxiste banalisé et médiocrement soixante-huitardisé qui la pousse à proférer des incongruités sur la "république en danger", "les heures sombres de ladite république", le "fascisme", le "racisme", "l'injustice des inégalités", "les droits de tous et de toutes à tout et n'importe quoi", etc ...
Mais ce gauchisme insatisfait, boboïsant et bisounours pour les siens, devient agressif avec ceux qui ne pensent pas bien, ceux qui renvoient les insatisfaits à leurs responsabilités propres, qui pensent que tout n'est pas nécessairement la faute des autres ou le dû d'une société désormais axée sur la facilité sociale et la permissivité sociétale. Bref, ceux qui pensent que notre société de "gosses de riches" doit se secouer pour faire face aux défis économiques, sociaux, sociologiques et culturels du monde nouveau, aux milliards d'individus qui nous guettent depuis leurs bidonvilles miséreux du tiers-monde et dont il faudra être capable de cadrer les flux, les pulsions et les ambitions qui risquent bien vite de nous déborder puis de nous engloutir si nous ne réagissons pas à temps !
Alors, la gauche est partagée entre ceux qui se laissent encore abuser (de bonne foi ou par facilité) par les lubies et bons sentiments où elle se noie et les arsouilles, les malhonnêtes qui mentent et qui combinent pour tromper les premiers !
Hollande a ainsi été élu sur un mensonge et ses comparses, complices ou concurrents défaits sont allés à la soupe, contents de "parvenir" mais inconscients qu'ils étaient de la bataille qu'il fallait mener.
Las, n'étant pas taillés pour la bataille de France, ils se contentent de petites vengeances et de "coups" destinés à empêcher de "revenir" ceux qui, précisément, pourraient la mener !
Hollande donc procrastine pour éviter de prendre les décisions qui mécontenteraient définitivement son électorat et lui feraient perdre toute chance de maintenir sa médiocrité au pouvoir en 2017. Ayrault gère la "discorde au gouvernement" tout en cherchant à la répandre "chez l'ennemi". Peillon, Valls, Taubira ou Montebourg amusent le peuple avec des coups de menton ou des faux-semblants de réformes dont personne ne veut vraiment mais qui permettent à ce pouvoir débile de masquer son incapacité d'agir pour donner la priorité à son unique préoccupation : ne pas mécontenter ses clientèles électorales du secteur protégé, de la fonction publique et du secteur para-public syndicalisé, des français de la diversité récente et des minorités homo-écolo-bobos. Terra Nova leur a montré la voie du "socialisme moderne" et ils s'en satisfont !
Le grand, le beau, le noble but de ces petites arsouilles est de garder le pouvoir et les places !
Mais au-delà de ce "socialisme du ventre", grouillent les "arsouilles" activistes, les fantassins d'une idéologie sectaire qui fait passer sa bien-pensance sociétale et ses idées fausses sur l'économie avant l'essentiel, les besoins des hommes de ce pays, l'avenir de la France elle-même et la construction d'une Europe capable de faire face aux défis du monde nouveau !
C'est la gauche à contre-sens des réalités du monde avec ses fachos de la bien-pensance socialiste comme il y a ceux de la bien-pensance environnementale (les excités anti-OGM, anti-nucléaire, et autres anti-... !), ceux de l'islam intégriste qui égorgent ou convertissent de force au nom de leur dieu, ceux des crimes de masse des divers communismes ou autrefois, les bûchers de l'Inquisition ! Tous prétendent imposer aux autres, leurs lubies ou leur folie interprétative et ceci pour le bien du peuple ... et si besoin contre le peuple !
Nous y sommes avec Madame Taubira et le Syndicat de la Magistrature qui affiche ses préférences partisanes au risque de faire douter de l'impartialité de la justice ou Monsieur Peillon avec ses "pédagogistes" post-soixante-huitards qui ont déjà ruiné l'école de la république ou Madame Vallaud-Belkacem avec ses féministes et ses obsessions de genre homo-familiales (ou ses prostituées dont elle tarit la clientèle en voulant la punir !) ou encore Monsieur Valls qui veut "nationaliser" les immigrés pour les aider à mieux s'intégrer au lieu de faire l'inverse.
Inconséquence et contresens socialistes dans la pensée comme dans l'action !!!!
Et encore au-delà de ce sectarisme fascisant qui cherche à "conditionner" les français, grenouillent les "arsouilles" qui cherchent à abattre l'ennemi politique. Ce sont les forces spéciales, les "snipers" du socialisme !
On les voit derrière les coups montés contre l'entourage et contre celui d'entre les "ennemis" qui est le plus dangereux pour eux, Nicolas Sarkozy. Une première vague de coups de main avait piteusement échoué entre le printemps et l'automne 2013 ("affaires" Bettencourt, Tapie, Karachi, Kadhafi). On cherche donc à les relancer ou à en trouver d'autres en balayant tous azimuts grâce aux agendas de l'ex-Président que la Cour de Cassation ne veut pas rendre malgré le "non-lieu Bettencourt" et en y ajoutant la mise sur écoute (à vie ?!!) de Nicolas Sarkozy ... (au cas où ! car les juges n'ont aucun indice grave et concordant autre que le fait qu'il connaisse un magistrat proche de la CC, qui justifierait qu'ils requièrent une telle mesure !!!), mise sur écoute étendue bien évidemment à ceux avec qui il communiquait y compris ses avocats ce qui a déclenché un tollé des barreaux et des juristes de toute la France !
Ajoutons-y la disparition ou divulgation de documents de l'ancien Président qui n'ont toujours pas été archivés et qui ont donc été fouillés à l'Elysée sans autorisation judiciaire, les mensonges de Madame Taubira (Ministre de la Justice !) prétendant ignorer les écoutes ordonnées par les juges, la réflexion incroyable du Président Hollande ("je le surveille, je sais tout ce qu'il fait" !), et enfin l'acharnement de certains juges dont on peut craindre qu'ils ne soient mus par un désir de vengeance à l'encontre de l'ancien Président qui les avait quelque peu secoués et/ou par des motifs politiques ou des biais idéologiques aussi peu avouables plutôt que par leur haute idée d'une justice impartiale, égale pour tous et rendue dans l'intérêt du peuple et de la nation ! Et on revient ici au scandale du "Mur des Cons" du Syndicat de la Magistrature pour lequel la Présidente dudit syndicat vient d'être mise en examen, affaire d'Etat qui a jeté le discrédit sur la justice française puisqu'on ne peut plus désormais jurer que nos juges ne soient pas sensibles jusque dans leurs jugements, à des dérives idéologiques ou politiques gauchisantes inacceptables.
Le seul fait qu'un soupçon puisse exister d'une probable manipulation de l'Elysée, du Ministère de l'Intérieur ou du Ministère de la Justice pour lancer les juges aux trousses d'un homme dont ils ont peur et que ceux-ci s'octroient des pouvoirs d'investigation inhabituellement étendus alors qu'aucun péril en la demeure ne le justifie ni qu'ils aient apparemment en mains des "indices graves et concordants", est en soi un "scandale d'Etat" !
Au sommet de l'Etat, on a peur du retour de Nicolas Sarkozy. Aux échelons inférieurs du gouvernement et du Parti on a peur de perdre sa place et la gauche panique en constatant la désaffection qui la frappe car le peuple ne suit plus ayant été outrageusement trompé sur les points essentiels, l'économique et le social, et mené en bateau sur les points accessoires, les lubies sociétales du nouveau socialisme. Cette peur a créé un environnement si délétère que les activistes de la bien-pensance se sont transformés en agressifs "gardiens du temple" quitte pour certains, en particulier les journalistes et les juges, à utiliser sciemment ou inconsciemment les moyens de leur fonction qui est d'intérêt public voire de service public, pour un combat politique douteux et éminemment condamnable en toute déontologie et en bonne démocratie.
Notre justice dérive donc vers la pratique dangereuse d'une justice idéologisée à laquelle notre bien-pensance de masse ne trouve rien à redire tant les esprits en sont imprégnés ! Le pas n'est pas encore franchi d'une justice politique mais pour l'éviter, il est urgent de remettre de l'ordre dans l'organisation de notre justice en redonnant vigueur aux principes fondamentaux du droit quitte à envisager si nécessaire, les réformes constitutionnelles adéquates : devoir de réserve et abstention politique des juges, remise en cause du droit de se syndiquer et du droit de grève des magistrats qui leur avait été imprudemment octroyés il y a quelques décennies dans la foulée des délires soixante-huitards au risque de compromettre les principes de neutralité, d'impartialité et continuité du service public de justice.
On devrait d'ailleurs rappeler ces bons principes aux journalistes du service public de l'information qui se comportent beaucoup trop souvent en véritables "petits flics" de la bien-pensance ce qui est inadmissible dans le service public et devrait être sévèrement sanctionné.
Voir quelques articles sur le thème des "juges-justiciers" et des "journalistes-justiciers" (http://facebook.com/eurocooperation) qui se croient investis d'une "mission" à la manière des pires intégristes ou se prennent pour les "croisés des principes républicains" tels qu'ils s'octroient le droit de les interpréter et de les imposer à tous les "mécréants" ! Dans ce rôle douteux, on peut ranger les "Zorros" de Mediapart, la plupart des journalistes de France Inter et des journaleux de Canal +, beaucoup d'émissions politiquement très orientées d'Arte, France 2 et FR3 ... et parmi les juges, ceux qu'on peut raisonnablement soupçonner d'avoir délibérément et massivement engagé le fer contre Nicolas Sarkozy, son entourage et quelques responsables de l'UMP dans la seule intention de nuire c-à-d sans avoir en mains plus "d'indices graves et concordants" que pour les prétendues "affaires" qui se sont promptement dégonflées en 2013 après avoir fait la une des journaux grâce aux fuites organisées !
Qui est alors le plus turpitudineux ? Celui qu'on cherche à traîner dans la boue et qui bénéficie d'un non-lieu ? le juge ou le journaliste qui se prête à ce jeu dégradant au mépris de l'honneur de son métier ? ou encore les arsouilles politiciennes qui, par derrière, montent ces coups pour tenter de démolir un adversaire qu'elles ont peur de combattre loyalement ? Ce sont eux qui attentent aux principes républicains dont nous bassine cette gauche bien-pensante !
Rétablir la République mise à mal par la gauche française, De Gaulle et la droite l'ont déjà fait deux fois en soixante ans : il n'est pas besoin pour cela de changer de "république" ! Il faut seulement changer de Président et de gouvernement pour que la France remonte sur les hauteurs au lieu de s'abîmer dans la médiocrité et les basses eaux !