Liberté, Egalité, Fraternité, c'est la République ... Courage, Effort et Solidarité, c'est la droite guidant le peuple pour redresser la France et construire l'Europe ! (30 avril 2016)
… de la déliquescence à la renaissance en 4 variations thématiques ...
… Gaucho-bien-pensance et déliquescence nationale, fausses valeurs mais vrais problèmes, faux-penseurs et « faiseurs » d’opinion nous égarent, idéologies et bons sentiments impuissants ou destructeurs face aux réalités du monde …
… La gauche à contresens, « arsouillage » et incurie. Le peuple doit choisir : « déliquescence » avec le PS ? effondrement ou explosion avec le FN ? Ni PS ni FN, c’est une droite forte qu’il faut à la France !
… Debout la droite ! une politique forte pour reconstruire une société du mérite et de l’effort, liberté et responsabilité contre libertarisme, égalité des chances contre égalitarisme, fraternité et solidarité contre angélisme et démagogie, écologie contre écologisme, autorité de l’Etat contre chienlit, cohésion nationale et cadrage immigration et islam.
… « L’Europe, c’est la France et l’Allemagne ! » avait dit De Gaulle. La France rétablie dans son rôle séculaire de puissance-pivot en Europe et l’Europe constituée en puissance mondiale de référence du 21è siècle.
Gaucho-bien-pensance et déliquescence
Gaucho-bien-pensance et déliquescence
Quel est le lien ? Il est direct entre nos intellectuels germanopratins d’après-guerre, nos dé-constructeurs pré- et post-soixante-huitards de Sartre à Foucault et la cohorte de nos faux-penseurs de Normale ou de nos écoles en Sciences Sociales bientôt relayés par les petit-bourgeois « révolutionnaires » de 68 et nos modernes bobo-écolo-humanistes qui cherchent à faire l’impossible synthèse du marxisme de leur jeunesse qu’ils ont beaucoup de mal à renier et l’écolo-droit-de-l’hommisme de nos « penseurs complexes » d’aujourd’hui ! Simone Weil les avait pourtant mis en garde contre les brillants échafaudages théoriques et les mondanités intellectuelles qui s’écroulent si facilement dès qu’on passe de la théorie à la réalité ! Sans aller jusqu’à dire comme Roland Barthes que les intellectuels n’ont servi à rien sinon à recycler les déchets des pensées dominantes des moments qui passent, on peut dire qu’ils ont contribué à l’épanouissement de toutes les « bourdieuseries » et poncifs intellectuels qui bloquent toute pensée et toute action qui sortiraient du cadre de la gaucho-bien-pensance généralisée qui nous sert aujourd’hui de doxa.
Les notions les plus simples ont été si attentivement analysées, re-découpées, re-synthétisées et ré-exprimées dans le nouveau langage seul autorisé par la nouvelle « idéologie », qu’elles en deviennent incompréhensibles et inutilisables par l’homo sapiens de base. La pensée sans action et l’action sans pensée sont devenues la règle et l’efficacité politique en pâtit à tel point que le pays par incurie ou par désordre mental de ses dirigeants, plonge dans une déliquescence économique, sociale et sociétale qui le met en péril face aux défis du nouveau monde qui émerge en ce 21è siècle.
Gaucho-bien-pensance et déliquescence
Sur France Inter le 23/04/16, Laurent Joffrin, journaleux de gauche, déclare : « Macron n’est pas progressiste quand il veut supprimer l’ISF ! ». Question : être progressiste implique-t-il qu’on soit économiquement idiot ?
Il fallait France Inter « du service public » et Laurent Joffrin « de Libération » pour nous rappeler que le Service public commet une forfaiture en politisant l’info à gauche et que la gauche pense faux en donnant la priorité au social contre l’économique. Marx lui-même nous avait mis en garde à cet égard même s’il partait de bases justes pour arriver à des conclusions fausses !
Quant au progressisme, ce n’est pas nécessairement ânonner les mantras de la « modernité » gaucho-bien-pensante comme ils le font Place de la République !
Gaucho-bien-pensance et déliquescence
Les gaucho-bobos-humanistes français, ces indignés à la « Podemos » de la Place de la République n’aiment personne, ni Finkielkraut ni la gauche, dure ou molle, ni la droite ! Incapables de refaire le « 68 » de leurs parents ou grands-parents, déjà beaucoup trop embourgeoisés à l’époque pour faire la révolution, ils reviennent à la bonne vieille auto-gestion généralisée modèle années 60 avec sur la scène de cette comédie humaine, de gentils bisounours qui veulent de l’économie collaborative et pas du salariat (exploitation !), de l’auto-construction des savoirs et pas de la formation (fascisme !), la fête multiculturelle et pas la guerre des civilisations (anti-xéno-islamo-phobie et anti-racisme !).
Allons, les enfants, revenez sur terre et réfléchissez avec Edgar Morin et vos intellectuels indignés sur le fait que pour instaurer une « civilisation de l’humanité » sur la surface de la terre, il faut au moins se débarrasser du marxisme et non en tenter l’improbable synthèse dans une « pensée si complexe » qu’elle en deviendrait trans-humaniste sinon extra-humaine à défaut d’être vide ! Simone Weil mettait en garde le « réformateur social » qui se heurte toujours à l’écueil des réalités lorsqu’il prétend sortir de son rêve pour passer à la pratique !
Gaucho-bien-pensance et déliquescence
Salauds de patrons ! Le 16 avril 2016, L. Ruquier, Y. Moix et leurs complices gaucho-bobo-humanistes de NuitDebout veulent « faire sa fête » à Pierre Gattaz, le patron du MEDEF donc le « Salaud des Salauds » ! Ils jouent les indignés à la Podemos suivant l’exemple de nos très bien-pensants faux-penseurs S. Hessel et E. Morin, les écrivains du Chemin de l’Espérance et inventeurs de la « civilisation de l’humanité » ! En fait, tous sur l’estrade comme en salle, crèvent de jalousie et font du médiocre égalitarisme à la française. Ils rêvent de couper toutes les têtes qui dépassent sans même se poser la question de savoir si par hasard, la tête des autres ne dépasserait pas la leur parce qu’elle vaut plus et mieux que la leur !
Hélas oui, amis bobos et gaucho-pensants, l’inégalité est dans la nature des choses aussi bien en intelligence, en sensibilité, en force physique, en volonté de faire, en capacité d’action, et enfin, en capacité de comprendre le monde ! … et cela crée des différences entre les hommes, les cultures et les civilisations. Tout ne se vaut pas ! Evitez de passer pour des « cons » en le niant !
Gaucho-bien-pensance et déliquescence
Oui, l’Europe est à ce jour, la civilisation la plus aboutie ! Non parce qu’elle peut s’honorer du siècle de Périclès au moment même où l’Inde enfantait le Bouddha et où la Chine donnait vie à Confucius et Lao Tseu. Ni non plus parce que le christianisme a repris l’idée du Dieu unique des Egyptiens d’Aton 15 siècles avant JC ou celui des hébreux avant que l’islam n’y vienne au 7è siècle de notre ère. Mais bien parce que la civilisation européenne a répandu dans le monde entier sa science et son savoir-faire technique mais aussi la démocratie, les droits de l’homme et les formes de gouvernement des sociétés qui vont avec.
Et même si quelques peuples, 60 ans après la « décolonisation », cherchent une sorte de revanche voire de vengeance, la plupart des sociétés et des pays du monde n’aspirent qu’à imiter la civilisation européenne dans sa réussite matérielle mais aussi dans son organisation politique, institutionnelle et sociale … et on peut compter que ceux qui sont actuellement dans l’esprit revanche ou vengeance, y viendront à mesure que leur niveau d’éducation et leur culture s’affineront et les pousseront dans le sens d’une pensée plus juste et plus équilibrée.
Oui, même si beaucoup de choses peuvent s’expliquer par un certain déterminisme social, il y a des hommes, des cultures et des civilisations supérieures à d’autres à un instant donné, d’autres peuvent être en devenir mais il est certain que tout ne se vaut pas à cet instant.
La gauche à contresens, « arsouillage » et incurie
La gauche à contresens, « arsouillage » et incurie
Emmanuel Macron, le ministre de l’économie, dit qu’il est de gauche et qu’il veut faire de la bonne économie. Bel oxymore ! Non, cher ami, on ne peut pas être « économiste et de gauche » à la fois ! C’est un non-sens, l’économie « est », elle n’est pas de gauche … en particulier la bonne économie !
La gauche pense « social d’abord ». Marx avait pourtant dit que l’économie commande même s’il s’était trompé sur la « paupérisation ». En effet, pas d’économie donc pas d’emploi et pas d’avantages sociaux. Le progrès s’arrête dans les faits mais le « progressisme » continue dans les rêves et les têtes folles !
La gauche depuis 100 ans, pratique l’économie vaudou de la dépense publique. Ce serait la réponse à tout or la dépense publique, hormis la planche à billets et l’inflation qui ruine le peuple, c’est plus d’impôt et l’impôt, c’est moins de consommation et moins d’épargne donc moins de production et moins d’investissement et par conséquent moins d’emploi … et au bout de la chaîne, l’économie s’arrête.
La gauche a du mal à le comprendre et son idéologie bloque chez elle pensée et action ! La gauche a parfois de bonnes intentions mais hélas, surtout des lubies et beaucoup de machiavélisme. Elle pense faux et agit à contresens.
La gauche à contresens, « arsouillage » et incurie
Autorité déliquescente d’un Etat à la dérive ! La gauche a perdu ses repères. Totalement dépassée par des évènements qu’elle ne contrôle plus, elle n’est plus capable de distinguer grand et petit délit, grand et petit voyou, grand et petit casseur, grand et petit jihad ! Elle oublie qu’elle a proclamé « l’état d’urgence » et fait de « l’égalitarisme » en mettant tous les trublions en garde à vue sans plus de façon, aussi bien les « veilleurs » (de droite) qui allument des bougies que les casseurs gauchistes qui foutent le feu aux voitures de police et aux magasins de la place de la République !
La police et la gendarmerie soignent leurs blessés tandis que la justice soigne ses humeurs bien-pensantes et s’obstine dans la « politique de l’excuse ». Les manifestations interdites sillonnent chacune de nos villes joyeusement et violemment ! Le gouvernement laisse faire, il a peur de mécontenter syndicalistes obtus, étudiants en goguette et bobos sous hachich. Vous avez dit « état d’urgence » ? On « réprimande » mais on ne punit pas le casseur arrêté pour la 10è fois sur cette même place où pérorent chaque soir les gaucho-bobos de NuitDebout ! On « excuse » le voyou de la diversité, précisément en raison sa «diversité », qu’il soit chef de trafic ou petit chouf ! On s’abstient de verbaliser une provocatrice s’affichant en voile intégral ! On laisse prêcher les imams qui sacralisent les comportements interdits par la loi et font l’apologie du désordre au nom de la religion ! Caillasser la police, brûler les voitures est devenu un jeu sociétal habituel et excusable sinon recommandable selon les nouveaux évangiles et les pratiques de la gaucho-pensance. Plus caractéristique encore d’une certaine lâcheté et d’un machiavélisme gouvernemental certain, on s’abstient de sanctionner les débordements d’une CGT qui se croit revenue aux grandes heures de la « révolution communiste contre l’Etat capitaliste et contre sa police à la solde des patrons » et on se fait complice de l’écoeurante attitude des pilotes d’Air France, de FO et autres syndicats de l’Education Nationale qui donnent la priorité au maintien des « avantages » de la bourgeoisie salariale des secteurs protégés public, privé et régimes spéciaux, aux dépens de l’emploi des chômeurs et des précaires et in fine, contre le progrès économique et social ! Vous avez dit « progressiste » ?
La police arrête et la justice relâche … pourtant notre poétesse et grande prêtresse de l’excuse sociale badintérienne n’est plus à la Justice mais la gauche « gouvernementale » veut éviter les problèmes avec ses minorités de la diversité, avec la voyoucratie et avec les casseurs gauchisants qui accompagnent les manifestations syndicales incontrôlées. Ce sont des électeurs potentiels pour 2017 …
La gauche exemplaire n’est plus conservatrice et réactionnaire, elle est devenue suicidaire ! C’est son affaire mais on ne peut tolérer qu’elle entraîne le pays dans sa déliquescence intellectuelle et morale et que les gouvernants qui s’en réclament, laissent faire par intérêt électoral dans le seul espoir de pouvoir passer par effraction le premier tour de la présidentielle en 2017 ! Des « arsouilles » avez-vous dit ? De l’escroquerie politique certainement !
La gauche à contresens, « arsouillage » et incurie
Les intermittents du spectacle menacent à nouveau de faire la grève des festivals … et de ruiner la culture française, du moins le croient-ils ! Comment y parviendraient-ils puisqu’ils sont au chômage et qu’a priori s’ils avaient du talent, ils n’y seraient pas ? Ils réclament tout simplement comme si c’était un droit, de se faire entretenir par ceux qui en ont ! Les « cultureux » et saltimbanques veulent tout simplement avoir la possibilité et la sécurité d’être entretenus ad vitam aeternam entre deux cachets !!! Qu’ils cherchent comme les autres, un second travail pour lequel ils seraient plus doués et qu’on aligne leur régime sur le régime de base.
Et on reparle des pilotes d’Air France qui rechignent encore à faire l’effort d’aligner peu ou prou leurs salaires et avantages sociaux, leur temps et leurs modalités de travail sur la norme internationale pour aider leur entreprise, actuellement dans une mauvaise passe en raison précisément d’un trop grand laxisme de gestion, à reprendre sa place en tête du transport aérien européen et mondial. Un scandale social dont apparemment ne rougissent pas ces imbéciles suicidaires, gangrenés par trop de facilité statutaire et de laxisme de la gestion étatique !
La CGT et les syndicats de l’Education Nationale et de la fonction publique, ces derniers pourtant non concernés, contestent la loi dite El Khomri mais tout autant Macron-Valls-Hollande. Leur lutte finale ? Défendre la bourgeoisie du salariat protégé quoi qu’il en coûte aux entreprises, à l’économie et donc à l’emploi et par conséquent aux non-protégés, aux chômeurs et aux précaires !
Intermittents, pilotes d’AF et syndicats du secteur protégé mènent le même combat pour la sclérose de l’économie et la conservation des privilèges de ceux qui en ont. Ils font monter le Front National et accélèrent le processus de déliquescence nationale où s’enfonce le pays.
La gauche à contresens, « arsouillage » et incurie
France Inter toujours bien ancré dans ses biais politiques gauchisants malgré son statut de « service public » de l’information, cherche à faire dire à Matthias Fekl, Secrétaire d’Etat au commerce extérieur, qu’il n’aime pas Macron ni Hollande, devenus les têtes de turcs de la gaucho-bien-pensance médiatique qui les encensait il n’y a pas si longtemps. Fekl ne succombe pas à la tentation mais finit néanmoins par avouer qu’il aime les « NuitDebout » de la Place de la République. Pour lui, la démocratie française est en crise et il faut changer de « République » ! Bref, la litanie de nos gaucho-bobo-humanistes façon Podemos qui se réfèrent à leurs gourous de la « civilisation de l’humanité » si chère à nos indignés S. Hessel et E. Morin et nous resservent les vieilleries d’auto-gestion et démocratie participative à la Rocard des années 60 réchauffées Royal.
Fekl nous fait plaisir cependant, en refusant de faire l’amalgame gauche-droite. Il dit que la gauche, c’est différent ! Oh que oui ! La gauche pense faux en niant le rôle moteur de l’individu dans la société et en ne se fiant à la suite de nos intellectuels marxisants d’après-guerre, qu’aux « bourdieuseries » du déterminisme social aujourd’hui accommodé à la sauce écolo-droit-de-l’hommiste de nos penseurs complexes de la précitée « civilisation de l’humanité »… et la boucle est bouclée sur le gaucho-boboïsme de nos manifestants de la République !
« L’action, ce sont des hommes au milieu des circonstances ! » disait de Gaulle. On le voit bien aujourd’hui et on en souffre car il nous manque les hommes quand les circonstances sont difficiles ! Ce n’est pas en effet, en changeant les institutions, ami Fekl et chers bobos, qu’on va résoudre le problème actuel de la France mais bien en changeant les hommes ! Ils sont malhonnêtes ou incapables, ce sont eux les responsables, pas la démocratie ni la République qu’ils abîment !
Debout la droite, une politique forte
Debout la droite, une politique forte
Ni la République ni la démocratie ne sont malades en France ! Ce sont les hommes politiques qui sont mauvais ! Il faut les changer, pas les institutions !
La gauche pense faux et fait de la mauvaise politique. Ses militants la désertent et ses électeurs partent au Front National. La gauche est malade, ce n’est pas la démocratie contrairement à ce que serinent quelques faux-penseurs de l’intelligentsia gauchisante, quelques pontifes de la gauche au pouvoir pour tenter une esquive politique et tous les gaucho-bobo-humanistes qui pérorent sur la Place de la République en voulant faire du « Podemos » à coup de VIè République et de scrutin à la proportionnelle pour jouer à la démocratie participative … lubies et vanités de ceux qui n’ont pas connu la IVè République et les rêveries auto-gestionnaires pré- et post-soixante-huitardes !
Les « mous » des deux camps, droite et gauche, chevauchent l’autre chimère, celle des « 2 français sur 3 » qu’on obtiendrait par une miraculeuse union nationale, un syncrétisme droite-gauche qui n’a été réalisé en France que pour affronter l’ennemi pendant la guerre de 14 et par le Général de Gaulle quand il a fondé la Vè République sur les décombres de la République précédente, celle de la politicaille et de l’absence d’Etat !
Non, Messieurs les « consensualistes centropètes », la gauche n’est pas la droite et si le Front National est monté si haut, c’est parce que la gauche s’est obstinée à faire de la politique à contresens depuis quarante ans et parce que la droite, en partie contaminée par la gaucho-bien-pensance et par manque de courage, a trop hésité à faire une politique de droite. La gauche et la droite ont ainsi laissé « leur peuple » respectif de gauche et de droite partir au FN qui s’est nourri depuis quarante ans de cette idée folle du « tout au centre » qu’il qualifie à juste titre « d’UMPS » dans ses slogans de propagande.
Le problème, Messieurs les bien-pensants de droite et de gauche, n’est pas le FN. Il est de traiter et résoudre les problèmes du peuple : compétitivité économique et emploi, sécurité, cohésion sociale et identité nationale ! Remettre la France sur ses rails économiques, sociaux et sociétaux. Il y faudra une politique forte. L’objectif est de reprendre au FN les électeurs qui s’y sont égarés. Pour cela, il ne faudra pas les tromper comme la gauche ne cesse de le faire avec le « Président-désastre » qu’elle a mis au pouvoir en 2012. Ni FN ni PS ! Le FN n’est pas bon mais la gauche est mauvaise et très nuisible au pays dans ses dérives actuelles intellectuelles et politiques !
Ce n’est pas en se laissant aller à faire du syncrétisme gaucho-centrisant mais à droite qu’il faut conduire le pays pour rendre à la France son rôle séculaire de puissance-pivot en Europe et sortir l’Europe de l’ornière où elle patauge. Il y faudra une droite forte et un homme de caractère pour réformer et faire face sans faiblir aux vents contraires. Ils ne sont pas nombreux et il n’y en a qu’un qui ait fait ses preuves à cet égard.
Debout la droite, une politique forte
La France n’a aucun besoin d’immigration ni économiquement ni démographiquement à la différence de quelques autres pays européens comme l’Allemagne. Il faut donc cadrer l’immigration en nature et en volume et aller vers « l’immigration zéro ».
Il est curieux que G. Marchais, le chef communiste, et le Général de Gaulle l’aient compris il y a déjà soixante ans alors que nos socialo-bien-pensants d’aujourd’hui en sont encore à ânonner leur mantra gaucho-humaniste et à invoquer la misère du monde. Seraient-ils rattrapés par une bouffée soudaine de charité chrétienne comme Angela Merkel ou de culpabilité post-coloniale comme nos intellectuels et faux-penseurs français ante- et post-68tards ?
Marchais ne voulait pas de migrants parce qu’ils « prenaient le travail de l’ouvrier français » et de Gaulle s’était résolu, à contrecœur, à laisser l’Algérie aller vers son destin pour éviter l’invasion humaine et culturelle qu’il faut néanmoins combattre aujourd’hui faute de l’avoir suffisamment cadrée pendant les quarante dernières années. La gauche non-communiste quant à elle, via le PS et ses courroies de transmission type SOS-Racisme, s’évertuait à faire de l’immigrationnisme actif par bien-pensance mais aussi par calcul politique tandis que certaines personnalités de la droite « centrisante » se laissaient contaminer sur ce point par le virus gaucho-pensant.
De Gaulle ajoutait : « Si des immigrés se plaignent de racisme, c’est que leur communauté n’apporte pas le bien. Si on apporte du bien quelque part, on est reçu à bras ouverts ! ». Voilà pour les accusations de racisme, de xénophobie et d’islamophobie ! La France et le peuple français n’étant pas demandeurs, c’est aux immigrés de s’adapter aux lois et coutumes de la République ! Pas l’inverse ! La France et le peuple français veulent bien accueillir leurs hôtes étrangers, étant bien entendu que nulle part, un hôte n’impose sa loi chez qui le reçoit ! Que nos candidats de droite y réfléchissent bien avant de parler devant le peuple !
Debout la droite, une politique forte
Immigration-islam et cohésion nationale, la règle du jeu doit être claire et respectée afin que les relations entre populations immigrées étrangères et populations indigènes françaises soient apaisées et facilitent ensuite l’assimilation de ceux qui voudraient devenir français.
La France définira qui elle accepte de recevoir et dans quelles conditions sachant qu’elle doit tendre vers une immigration « 0 » parce que sa priorité doit être d’intégrer correctement ceux qui sont déjà là et qu’elle a eu la faiblesse et l’imprudence d’accepter en trop grand nombre dans les années passées.
Une politique globale d’intégration éducative, économique, sociale et culturelle, véritable politique de développement local sera menée dans les quartiers et communes à forte population d’origine étrangère.
Une exigence absolue : le respect des lois et coutumes républicaines sur la base du principe « en France, vis comme un Français ! » afin de ne créer aucune source de tension avec la population indigène française. A cet égard, il sera nécessaire que les musulmans comprennent bien que les pratiques religieuses islamiques des pays d’origine ne sont pas transposables telles quelles de ce côté-ci de la Méditerranée. En France, on prie et on pratique la religion à la maison ou à l’église ou à la mosquée et non dans la sphère publique ni professionnelle. Il faudra aussi qu’ils comprennent que la laïcité implique que temporel et spirituel soient séparés et que la loi républicaine prévale sans discussion aucune sur la « chari’a » et les pratiques religieuses.
On attend donc que les autorités religieuses islamiques aident l’Etat, en l’occurrence le Ministère de l’Intérieur chargé des cultes, à bien faire comprendre ces contraintes à la communauté musulmane et à les faire respecter sans devoir recourir à la force. On en attend donc une parfaite et loyale collaboration ce qui sous-entend qu’elles abandonnent cette antique pratique de l’islam, la « taqiyya » qui, pour se protéger, autorise le musulman à dissimuler ou mentir à l’ennemi en particulier quand il s’agit d’un non-musulman. Les mêmes autorités religieuses devront en même temps s’attacher à adapter l’idjma’ aux conditions de vie de l’homme et de la femme musulmans du 21è siècle en reprenant l’effort d’ijtihad malheureusement interrompu pour des raisons d’ailleurs plus politiques que religieuses, figeant le dogme islamique sur les conditions et circonstances qui prévalaient vers l’an 1000 ! Cela aidera à l’intégration et au développement harmonieux d’un islam compatible avec les modes de vie et la culture des populations françaises et celles des autres pays d’accueil en attendant que la réforme de l’idjma’ puisse par la suite s’étendre aux pays du Dar el Islam lui-même.
A ces conditions, on pourra envisager l’intégration puis l’assimilation du demandeur, musulman ou non, sachant que le non-respect des conditions du pacte d’accueil engendrera des sanctions jusqu’à l’expulsion des étrangers ou l’enfermement des délinquants s’ils sont français et que les autorisations de séjour et a fortiori les naturalisations, ne seront plus automatiques mais soumises à un contrôle serré tenant compte du comportement du demandeur qu’il soit né ou non sur le sol français.
Debout la droite, une politique forte
Nathalie Kosciusko-Morizet, le 24 avril sur France Inter (encore !) abonde dans le sens de Cambadélis qui s’offusque du résultat des élections autrichiennes trop « populistes » à son goût. Curieux tout de même cette propension de NKM à réagir à gauche dès qu’il s’agit de parler de droite !!! Elle devrait pourtant avoir remarqué que la gauche pense faux et agissant systématiquement à contresens, ne cesse d’alimenter le FN en agitant ses fausses valeurs plutôt que de régler les vrais problèmes du peuple !
En effet, chère amie, le problème n’est pas le FN ou le populisme mais de répondre aux inquiétudes du peuple et de résoudre les difficultés auxquelles il doit faire face, emploi, sécurité, cohésion sociale et identité nationale. Pour cela, on devra conduire une politique forte et pas singer une valse-hésitation !
Inutile de le dire à Cambadélis, il ne comprendrait pas ! Et vous, Nathalie Kosciusko-Morizet, comprenez-vous ?
Debout la droite, une politique forte
Les « assassins » de l’islam, une vieille histoire ! Au nom de l’islam, le Vieux de la Montagne envoyait déjà ses « hecchachine » (tueurs drogués au hachich) pour éliminer les mauvais musulmans et autres mécréants de la vallée. C’était au moyen-âge au Proche-Orient. Hier encore, un Ben Laden illuminé voulait étendre son jihad fou au monde entier et aujourd’hui c’est Abu Bakr el Baghdadi qui assassine au nom de la « vraie religion » interprétée dans son sens le plus littéraliste et primaire !
Khalas, mes frères ! Laissez-moi interpréter ma religion et ne faites pas comme l’Eglise chrétienne du 15è siècle. Vous n’avez pas l’excuse d’avoir une église dont les siècles auraient pu scléroser le dogme. Chaque musulman est en relation directe avec Dieu. Il n’y a pas d’intermédiaire en islam sunnite. Comment se fait-il alors que l’idjma’ se soit figé il y a 10 siècles ? Il l’a été en raison des circonstances de l’époque et ces circonstances étaient politiques et relevaient beaucoup plus du pouvoir temporel que du spirituel ! Or ces circonstances ont changé depuis l’an 1000 … et depuis lors, les ‘ulémas et fuqaha se sont complus dans la sclérose de la pensée islamique et d’un idjma’ archaïque !
Reprenez donc l’ijtihad malencontreusement interrompu, adaptez l’idjma’ et laissez vos frères musulmans vivre leur religion au 21è siècle comme des hommes et des femmes du 21è siècle … ou alors votre religion disparaîtra par manque de pratiquants puis par disparition progressive des croyants eux-mêmes et vous aurez tout perdu, vous qui vous arrogez indûment le droit de dire que seul votre islam est le bon !
L’Europe, c’est la France et l’Allemagne
L’Europe, c’est la France et l’Allemagne !
Bruxelles ces jours-ci semble vouloir renoncer aux négociations TTIP, le Traité sur le commerce Transatlantique, qui ferait la part trop belle à nos amis américains ! L’Allemagne n’est pas très enthousiaste mais beaucoup d’européens reconnaissent que les Etats-Unis doivent encore faire un gros effort en matière tarifaire et non-tarifaire !
C’est un évènement car l’idiosyncrasie bruxelloise voulait jusqu’ici que les Directions Générales du Commerce et de la Concurrence ouvrent l’Europe à tous les vents du monde avec l’idée très technocratique que l’intérêt de l’Europe était que les entreprises européennes s’adaptent quitte à ce qu’elles en crèvent ! L’ouverture sacralisée et la concurrence érigée en dogme !
Que Bruxelles se fasse le cerbère de la concurrence à l’intérieur du marché commun, soit ! Mais l’intérêt supérieur de l’Europe est que nos DG bruxelloises se préoccupent en priorité de faciliter l’exportation des produits de nos entreprises et de les protéger de toute concurrence déloyale tout en facilitant au lieu de la bloquer, l’émergence de « champions européens » face à la concurrence mondiale ! Les américains ni les Chinois ne s’en privent ! MM. les Commissaires, faites donc votre travail en pensant juste au lieu de penser faux en croyant faire le bien !
L’UE de Bruxelles doit en la matière, se débarrasser de cette « bien-pensance institutionnelle » qui nuit au projet européen de la même manière que la Banque Centrale Européenne s’est affranchie au grand dam de l’Allemagne d’ailleurs mais avec l’appui de la France, de sa mission initiale exclusive de maintien de la valeur de la monnaie en élargissant ses champs d’intervention pour faciliter le cadrage et la croissance de l’économie européenne (un des résultats majeurs du « directoire » Sarkozy-Merkel pour résoudre les crises de la période 2008-2012).
L’Europe, c’est la France et l’Allemagne !
Manœuvres franco-anglaises en Cornouilles en cette fin de semaine des 22-23 avril 2016. Le corps expéditionnaire interarmées s’entraîne en application de l’accord de Lancaster House de 2010. L’armée européenne est en marche avec les anglais … hélas, beaucoup mieux qu’avec une Allemagne qui, encore bloquée mentalement par les traumatismes nationalistes et militaires de 39-45, a beaucoup de mal à prendre sa part d’une défense européenne active quel qu’en soit le front !
« Brexit » ou pas, voilà une raison supplémentaire de reprendre la construction de l’Europe-puissance, à partir des capitales souveraines et non de centres de décision artificiellement créés comme Bruxelles, Strasbourg ou Luxembourg dotés de quelques pouvoirs parcellaires bientôt figés dans un européisme dogmatique et bureaucratique sans élan et sans âme parce qu’ils manqueraient de légitimité nationale et démocratique.
L’Europe, c’est la France et l’Allemagne !
Qu’arrive-t-il à Angela Merkel ? Elle ouvre l’Europe aux « migrants de Daech » par excès de moralisme et par culpabilisation germanique post-guerre mondiale ou guerre froide, et de plus sans avertir quiconque et d’abord le gouvernement français !!! Elle ne culpabilisait pas beaucoup en revanche quand elle rechignait à venir en aide à la Grèce, à l’Irlande ou au Portugal par égocentrisme satisfait de son exemplarité en matière de gestion financière ni quand elle se refusait par dogmatisme monétariste à étendre le champ d’action de la BCE pour contrer les crises de 2009-12 !
Les pulsions rigoristes et morales et les erreurs stratégiques de l’Allemagne doivent être soigneusement cadrées par la France comme elles le furent du temps de Nicolas Sarkozy entre 2008 et 2012 de la même manière que les inconséquences et le laxisme de gestion de la France doivent l’être par l’Allemagne ! Dans cette optique, il faut un gouvernement fort à Paris autant qu’à Berlin. Ce n’est plus le cas aujourd’hui …. et l’Europe patauge lamentablement autant sur l’affaire ukrainienne avec ses ramifications russes que sur la problématique du Proche-Orient avec ses conséquences migratoires.
L’Europe, c’est la France et l’Allemagne !
La Turquie fait du chantage aux « migrants » ? Elle n’oserait pas si le couple franco-allemand était fort ! S’il imposait un contrôle aux frontières extérieures et renvoyait systématiquement, de gré ou de force, illégaux, passeurs et bateaux sur l’autre rive de la Méditerranée. S’il fournissait au HCR et aux pays riverains de la Syrie et de l’Irak l’aide qu’il faut pour entretenir les camps de « réfugiés » installés sur leur territoire.
Si enfin, la France de Hollande et l’Amérique d’Obama comprenaient quelque peu la problématique du Proche-Orient et du Sahel et faisaient ce qu’il faut avec leurs partenaires arabes pour éradiquer Daech sans provoquer de conflits ethniques ou religieux secondaires ou d’autres conflits de puissances au niveau régional. Hélas ! Hélas ! Hélas ! L’Amérique n’est pas assez présente et la France trop absente. La Russie a repris l’initiative en Syrie et l’Arabie Séoudite, l’Iran et la Turquie jouent leur partie traditionnelle de billard à trois bandes sans beaucoup se préoccuper d’une Europe et plus largement d’un Occident quasiment absent et inaudible !
Il est plus que temps que la France reprenne l’initiative sur le champ extra-européen et pour cela que la droite reprenne les rênes à Paris pour rétablir la France dans son rôle séculaire de puissance-pivot en Europe.