L'action, ce sont des hommes au milieu des circonstances ! (Charles de Gaulle)

Le combat pour la France, c’est LES REPUBLICAINS avec Wauquiez, une DROITE GAULLIENNE, une droite forte, juste et solidaire … (2 juin 2019)

Sur la pente Juppé, les egos affolés rejouent la droite la plus bête du monde !!! ..............

De présidentielles 2017 en européennes 2019, la droite s’amollit encore ! La « juppéite » de la droite au centre a contaminé les derniers notables et on entend des Gérard Larcher, Valérie Pécresse, Xavier Bertrand et quelques autres personnalités ou élus s’affoler et clamer qu’ils n’aiment pas Laurent Wauquiez. On les savait jaloux depuis longtemps mais pourquoi cette hâte soudaine, ce complot contre le Chef ? Veulent-ils simplement courir plus vite pour rejoindre leurs petits camarades de la droite molle qui sont déjà à la soupe que leur mettent sous le nez, les marmitons d’Emmanuel Macron ?

Ils veulent prendre la place du Chef bien sûr … mais sans qu’il y ait de Chef  !!! Seront-ils capables d’en prendre un jour les responsabilités ? Auront-ils le courage et la force de faire ce qu’il faut pour redresser la France ? Ils veulent la « cheffitude » et « en même temps » le confort de la « droite au centre » qui depuis trente ans a démontré son inanité et conduit la droite et donc la France à l’échec absolu de 2017 quand elle s’est glissée chez Macron pour y rejoindre la gauche molle.

Depuis quelques jours fleurissent des slogans (« Rassemblement dans la diversité » ou « Rassemblement de la droite et du centre ») et des propositions du même acabit, des « Conventions » locales, départementales, régionales avec un couronnement national qui font furieusement penser aux logorrhées sans consistance, sans fin et sans lendemain du « Grand Débat » macronien. Et tout cela, disent-ils, « pour refonder les idées de la droite » ! Contresens dans la pensée, contresens dans la stratégie puisque cela signifierait tout bêtement, revenir à cette funeste idée de « la droite au centre » qui a ruiné la droite et empêché le redressement du pays au cours des dernières années par son éloignement des préoccupations du peuple de France et son incapacité d’agir.

Refonder la droite en effet, quelle idée incongrue aujourd’hui ! La reconstruction de LR n’a-t-elle pas été engagée par l’équipe du Président Wauquiez depuis la fin 2017, en récusant précisément le concept perdant de « droite molle au centre » auquel ses adversaires, de façon étrange, voudraient tant revenir pour celui de « droite forte, gaullienne, sociale et solidaire auquel la droite n’aurait en effet, jamais dû cesser de se référer ? Une pensée politique et un programme d’action couvrant les trois grandes priorités nationales (économie-emploi/pouvoir d’achat, immigration-islam/cohésion nationale, autorité de l’Etat/sécurité publique) ainsi qu’une ligne forte ont été redéfinis dans l’idée d’une droite-pivot autour de laquelle s’agrègeront les différentes forces ou sensibilités les plus proches, à l’opposé donc de cette idée oxymorique d’une « droite au centre » qui dans les années passées n’a abouti qu’à la dé-construction du Parti laissant ainsi le pays s’engager après la catastrophe hollandesque, dans cette aventure macronienne d’hybridation au centre des gauche et droite molles, cette vieille lubie qui n’a jamais abouti en France qu’à l’incapacité d’agir et in fine, au désordre dans le pays.

LE PARTI LR PAR NATURE, N’A DONC PAS VOCATION A DEVENIR UN SUPPLETIF D’EN MARCHE NI UN APPENDICE DU RN MAIS UNE DROITE GAULLIENNE, FORTE, SOCIALE ET SOLIDAIRE, une droite à laquelle pourront se raccrocher tous ceux qui sauteront du navire quand le système Macron/LaREM sombrera !!! Une droite qui sera le recours et le pilier du regroupement pour l’alternance quand il s’agira de redresser le pays pour le bien du peuple français et le salut de la France !

 

Que s’est-il passé en ce mois de Mai ?

Nos électeurs déjà ébranlés par les doutes et les trahisons de la première vague de ceux qui ont déserté le champ de bataille en 2017, entendent les porte-paroles de la droite molle déjà juppéisée et macronisée exhorter ceux qui n’ont pas encore franchi le Rubicon, à venir les rejoindre dans le confort du « p’têt ben qu’oui/p’têt ben qu’non » et de l’oxymorique « et de droite et de gauche, tout au centre » dont Emmanuel Macron a fait sa pensée et sa ligne malgré les échecs répétés de cette vieille lubie !

Le 26 mai, lors des élections européennes qui ne sont pas d’une importance majeure au niveau national, une partie des électeurs de droite poussée par l’hystérie médiatique entretenue par Emmanuel Macron et son slogan du « chaos », s’est portée sur Marine Le Pen par exaspération de l’agitation et de l’immobilisme résultant des contresens et non-sens macroniens tandis qu’une autre partie se portait au contraire, sur Macron/laREM par peur de voir le Rassemblement National gagner ces élections. Les résultats de l’élection sont donc médiocres même s’ils restent honorables s’agissant d’une « européenne » mais surtout, ils confirment la résilience du socle des électeurs LR qui auront à mener le combat des prochaines échéances.

Quelques « personnalités de droite », notables ou élus du Parti dont les convictions manquaient de fermeté, ont quant à elles, saisi l’occasion de ce demi-échec sans grande portée, pour tenter leur chance et étaler leur jalousie contre Laurent Wauquiez qui, contrairement à eux, avait eu le courage de relever le défi de la reconstruction de la droite post-2017 et avait eu l’audace de mettre en œuvre une ligne gaullienne, forte et populaire contre la doxa politique progressiste et bien-pensante qui avait prévalu à la suite l’erreur magistrale de la « droite au centre » commise par un Alain Juppé qui avec la complicité du poly-centriste François Bayrou, avait ainsi aidé Emmanuel Macron à parvenir au pouvoir sur la même « fausse bonne idée ».

On assiste aujourd’hui, au déferlement de la deuxième vague, la vague 2019 de désertion du champ de bataille, le fruit maintenant devenu blet de l’erreur juppéiste de 2017. Cette vague ne sera confirmée que lorsque les meneurs, les rebelles, les Larcher, Pécresse, Bertrand et les quelques notables ou élus qui semblent vouloir les suivre, auront acté leur départ de LR ou l’auront conquis de haute lutte pour en faire une autre dépendance de LaREM dont ils adopteraient de fait, la ligne du « ni oui-ni non » ou de cet inénarrable « en même temps » qui vient de conduire Emmanuel Macron et son gouvernement au bord du précipice. Oui, des récidivistes dans l’erreur de la droite molle qui redevient ainsi la droite la plus bête du monde qui a déjà coûté deux Républiques à la France, en 40 et en 58 !!!

 

Une question se pose alors : que deviendront-ils et où iront-ils avec tous les électeurs qu’ils auront trompés lorsque le système Macron/Larem s’écroulera ?

Sans même parler de la « légitimité » d’Emmanuel Macron qui reste limitée à 20 % des votants et à 10% du corps électoral ni de sa popularité qui reste confinée aux 20-25 % de ceux qui répondent aux sondages, il est bien évident qu’il ne peut se permettre de rééditer une crise d’impopularité comme celle qu’il vient de connaître avec l’épisode des Gilets Jaunes.

Or, le « Président » s’entête à maintenir le cap. Quel cap ? Aucune réforme d’ampleur car à la suite des réaménagements de détail de la « loi travail » ou de la « réforme SNCF » des années 2017-18, rien de bien significatif n’est prévu en matière de chômage, de retraites, de réforme de la fonction publique et des régimes spéciaux … On peut même dire qu’il est sous-entendu avec les syndicats compte tenu de leur « combativité » tout à fait de surface et des « accommodements raisonnables » trouvés avec eux, qu’on ne touchera pas aux avantages « acquis » du secteur public ! Il est donc acquis qu’il n’y aura pas de réforme de fond et qu’on ne redressera pas la France sous le quinquennat Macron !

Avec quels moyens ? Le taux des prélèvements obligatoires continue d’augmenter, la dépense publique aussi et bien entendu la dette !!! La France descend joyeusement la pente grecque et la technocrature de Bercy sous la houlette du Président lui-même et de ses trois technos transfuges de la « droite molle ». Le Premier Ministre, celui des Finances et celui des Comptes publics s’enorgueillissent de faire du bricolage budgétaire sur l’accessoire au lieu de s’attaquer à l’essentiel. Leur vision est de simple comptabilité budgétaire, pas de politique nationale de redressement ! Ils jouent du bonneteau fiscal, ils annulent une taxe sur l’essence mais ils la remplacent par l’augmentation de l’électricité ! A croire qu’ils veulent provoquer au plus vite une nouvelle explosion d’autres Gilets Jaunes !? Une politique de gribouille en tous sens !

La pente grecque ? Oui car la dépense publique continue d’augmenter structurellement faute des réformes nécessaires et « en même temps » le peuple se plaint de l’accumulation des taxes et de l’étiolement de son pouvoir d’achat. Macron comptait équilibrer son budget 2019 en augmentant taxes et tarifs et financer ainsi cette transition écologique dont il vient de faire (à contretemps puisque ce n’est vraiment pas « la » priorité en France ni même en Europe !) sa pièce majeure de marketing politique ! Patatras, les Gilets Jaunes l’ont fait reculer et il va falloir s’endetter pour équilibrer le budget ou trouver d’autres taxes au risque de provoquer à nouveau la « révolution » !!!

Mais il y a pire ! Emmanuel Macron n’a aucune conscience de la problématique « immigration-islam » et n’a aucune volonté de prendre les mesures qui s’imposent pour sauvegarder la cohésion nationale et l’identité française. La société française et l’Europe aussi sont en danger de fracturation sociétale grave … mais Emmanuel Macron refuse d’admettre l’urgence d’un problème existentiel à cet égard. Irresponsabilité criminelle !

Il a par ailleurs amplement démontré ses insuffisances en matière d’autorité de l’Etat et de sécurité publique autant à l’égard des gaucho- ou anarcho-révolutionnaires que face à la voyoucratie des banlieues. Il n’a pas montré non plus la moindre préoccupation quant à la « reconquête des quartiers » abandonnés à la loi des voyous et à l’islamisme rampant.

L’explosion sociale est au bout de cette incurie sur les points majeurs et prioritaires de la politique nationale, au bout de cette litanie de mensonges ou d’annonces sans lendemain et de cette incapacité à faire les réformes ou mener les actions stratégiques qui permettraient de redresser le pays et le rétablir dans son rôle de puissance-pivot de l’Europe face au changement des rapports de force et aux défis du monde nouveau.

Que feront alors les Français et d’abord les électeurs de la droite égarée chez Macron lorsque la ligne et le pouvoir Macron/LaREM s’effondreront ?

Voter pour Marine Le Pen ?

 

La seule alternative est celle de la droite LR qui depuis deux ans et sous l’autorité de son Président, Laurent Wauquiez, s’est restructurée autour de ses trois priorités nationales et sur sa ligne gaullienne, une droite forte, juste et solidaire, une droite responsable par le peuple et pour la France.

Une despriorités est, après trop d’années de mauvaise gestion des finances, de rétablir un équilibre sain et fort entre les nécessités de la dépense publique et celles de l’économie du pays. Il y a urgence pour ne pas sombrer dans la voie grecque. L’objectif est de remettre l’économie dans une situation de compétitivité qui garantisse les grands équilibres de prix, consommation, production, emploi et salaires d’un côté, marge, épargne et investissement de l’autre et permette ainsi d’entretenir et développer la dynamique économique nationale. Il importe dans cette perspective, de gérer la dépense publique de telle sorte qu’elle puisse satisfaire aux besoins de santé et de protection sociale ainsi que de gestion des fonctions souveraines de l’Etat à commencer par la sécurité intérieure et extérieure du pays sans peser à l’excès sur les performances de l’économie.

La deuxième priorité est d’instaurer un cadrage ferme et efficace de l’immigration afin de la maîtriser en fonction des besoins et des capacités d’accueil du pays ainsi que de la pratique de l’islam afin de garantir la cohésion nationale et la sauvegarde de l’identité française. Suivre attentivement le déroulement du processus d’intégration des immigrés et de leur descendance jusqu’à assimilation complète dans le cadre de la loi républicaine et du respect des coutumes de notre pays et bloquer systématiquement les dérives de l’entrisme islamiste qui cherche à encourager tous les signes de refus d’intégration et à répandre un communautarisme incompatible avec l’unité du pays et sa sécurité.

La troisième priorité est le rétablissement de l’autorité de l’Etat dans toutes les fonctions de souveraineté à commencer par celles de police et de justice non seulement dans le maintien de l’ordre quotidien et la répression du banditisme et des infractions civiles ou pénales mais aussi dans la répression voire l’élimination des fauteurs de troubles organisés à but politique, idéologique, ethnique ou religieux jusqu’à la « reconquête » policière, civile, économique et sociale des quartiers laissés de fait à la loi des voyous et des sectes ou mouvements religieux complices. Dans cette perspective, un recadrage sévère doit être mené tant en matière de politique pénale et pénitentiaire dans le sens de la tolérance « 0 » que dans le comportement-même d’un corps judiciaire qui au niveau national comme international, s’avère souvent imprégné d’idéologies bien-pensantes mais politiquement orientées qui risquent d’une part d’attenter au principe même d’une justice égale pour tous et de pervertir la fonction judiciaire dans le sens d’un « gouvernement des juges » ! Les juges en effet, sont là pour appliquer la loi et non pour la biaiser et encore moins la faire ! Un recadrage du même type devra être effectué dans le « Service public de l’Information » pour replacer les journalistes (?) dans la ligne exacte de leur mission d’information qui se doit d’être neutre et a-politique.

Pour mener ce combat, LR s’est donné une ligne claire que l’on pourrait qualifier de gaullienne, forte, juste et solidaire qui se fixe pour objectif d’action le seul intérêt général des populations et l’intérêt supérieur de la France. A ce niveau, il n’y a plus de compromission ni de tergiversation possibles et il y faut une politique forte qui ne souffre aucune ambiguïté, procrastination, demi-mesure ou recul !

C’est là qu’on peut mesurer la différence entre l’approche LR et celle qui prévaut dans des organisations comme LaREM d’Emmanuel Macron ou la gauche socialiste de François Hollande qui étaient et restent des spécialistes de l’ambiguïté, de la procrastination, des demi-mesures et du recul sur les actions fortes.

La droite molle post-juppé a fait son choix en 2017, certains croient devoir faire le même choix ces jours-ci ! Comme ceux de la droite molle qui ont déjà fait allégeance à Emmanuel Macron, ces derniers ne seraient alors qu’un succédané du « macronisme » ou un petit ajout qui ne changerait pas fondamentalement les choses pour Macron ni hélas, pour le pays. Ils ne sauraient aucunement devenir un recours lorsque surviendra l’inévitable révolte qui ne manquera pas d’arriver si Macron persiste dans sa ligne indécise des gauches et droites molles réunies et dans son immobilisme de fond.

Pour eux, ce serait alors LR ? ou Le Pen ?

Monsieur le Président du Sénat, Gérard Larcher, Valérie Pécresse, Xavier Bertrand et ceux qui hésitent, cessez de penser faux, consolidez-vous chez LR et prenez part à son combat plutôt que de vous enliser dans le système Macron/LaREM avant qu’il ne s’effondre et que vous ne soyez obligés de revenir à LR ou de voter Le Pen ! Ne passez pas ainsi la tête légère, de la droite molle à la droite la plus bête du monde en vous obstinant dans l’erreur comme l’ont fait Alain Juppé pour la droite molle ou François Bayrou pour les « centres » !

Ils auraient pu être grands à droite, ils ont échoué en prenant le mauvais chemin !

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