L'action, ce sont des hommes au milieu des circonstances ! (Charles de Gaulle)

BIEN-PENSANCE, PROGRESSISME ET DELIQUESCENCE ... DEGAUCHIR LA FRANCE ET REFAIRE L'EUROPE ..., UNE DROITE GAULLIENNE POUR REDRESSER LA FRANCE (Juin 2024)

Bien-pensance, progressisme et déliquescence … Dégauchir la France et refaire l’Europe … Une droite forte, juste et solidaire, une Droite Gaullienne

 

Bien-pensance, progressisme et déliquescence, le chemin de l’Enfer !

… la déliquescence française est d’abord culturelle, il faut en finir et redresser le pays, le rétablir dans son rôle séculaire de puissance-pivot de l’Europe et faire de celle-ci, la puissance mondiale de référence du 21è siècle … la seule vision possible pour la France

… les trois priorités pour redresser la France : recadrer les finances publiques pour relancer la compétitivité, l’emploi et le progrès social, maîtriser l’immigration et l’islam pour assurer la cohésion nationale, rétablir l’autorité de l’Etat et la sécurité publique

… recadrer l’UE pour construire l’Europe et rétablir sa civilisation au sommet du monde

 

Pourquoi ce coup de gueule ?

La France est entrée en déliquescence par les excès et les lubies de l’intellectualisme hors sol de nos « faux-penseurs » du dernier demi-siècle, irresponsables démiurges de l’amollissement de notre société et de notre peuple alors même que la bataille culturelle, économique, sociale et sociétale pour établir les nouveaux rapports de puissance du siècle qui vient, nous imposera de montrer toujours plus de réactivité et de force de caractère voire même de force « guerrière ».

A défaut de désespérer de leur trahison quant à l’avenir de notre civilisation et de notre peuple, c’est la colère qui s’exprime à l’encontre de ces dirigeants abouliques, inconsistants et inaptes qui depuis quarante ans à l’exception du quinquennat Sarkozy et après l’immense déception chiraquienne, n’ont pas l’intelligence des choses ni du monde qui vient et font patauger la France dans la confusion, la facilité et la lâcheté !

Il faut agir vite, au fond et au loin ! « L’action, ce sont des hommes au milieu des circonstances » écrivait de Gaulle. Les circonstances sont là, il manque les hommes !

 

La déliquescence ? … prenons garde, les civilisations sont mortelles !

De « gaucho-bien-pensance » en « bobo-libéral-progressisme », une « morale de troupeau » nous  emporte dans le vide de la pensée et l’insignifiance de l’action !

Nos belles âmes, ces faux-penseurs d’après-guerre de Sartre à Foucault, Deleuze, Derrida et autres voltigeurs de la bande d’Althusser sans oublier l’ineffable Bourdieu, notre ami Edgar Morin et tant d’autres faux-penseurs de la modernité gauchisante errant de Saint-Germain des Prés au Boul’Mich en passant par Montparnasse, ont bientôt été rejointes par les dé-constructeurs soixante-huitards puis débordées par les progressistes « wokistes ». Elles se sont acharnées à confondre liberté et libertarisme, égalité et égalitarisme, fraternité avec bisounourserie, humanitarisme ou droit-de-l’hommisme dérivant sous nos yeux en « minoritarismes déconstructionnistes » et s’enlisant dans l’obsession du progressisme, ce dissolvant absolu de la pensée et de l’action ! Féminisme et genrisme, égo-centrisme et caprices, relativisme et mélangisme, culte des minorités et de l’a-normal, « bougisme » mais peur du risque, dictature des idées à la mode mais refus de l’autorité, conformisme de la pensée mais sacralisation des différences, laxisme des comportements mais intransigeance du discours. L’oxymore est partout, la facilité règne, tout bouge mais rien ne se fait de grand ni de fort. Simone Weil déjà, au sortir de la guerre, mettait en garde nos intellectuels de la génération X contre la fragilité de leurs subtiles « constructions théoriques » et leur recommandait de les piloter par les chenaux les plus sûrs afin d’éviter qu’elles ne se fracassent sur les écueils de la réalité en arrivant au port ! … et Dieu veuille enfin, que notre dernière génération, celle des Z, prenant conscience de son enlisement dans ces « morales de troupeau » d’une gaucho-bien-pensance désormais convertie en déconstructionnisme progressiste, récuse au plus vite ces dernières moutures de notre civilisation occidentale en voie de déliquescence.

Sur le chemin de l’Enfer en effet, trois générations d’esprits bêtifiants ont profité de l’accélération technologique pour s’égarer dans les fausses valeurs d’une « modernitude » débridée qui serait la voie sacrée du progrès … le bobo nouveau est un oxymore qui se répand dans le métissage ethno-culturel et l’uniformisation mondialisante « en même temps » qu’il se retranche dans un individualisme forcené et un communautarisme de repli … Or, la responsabilité, l’effort, l’intelligence des choses mais aussi la sensibilité, ça s’apprend et se cultive dans le terreau historique de notre civilisation mais pas dans ce mix culturel globish genre « pizza-coca-kebab-hamburger et noodles », sans racine ni caractère propres, dans lequel nous sommes plongés … ça ne se trouve pas non plus sur internet et l’intelligence artificielle ne nous y mènera pas mieux que les artifices du transhumanisme ou les lubies de cette folle religion du climat qui a fait du CO2le nouveau Diable du monde !

La France ainsi se délite, l’Europe se liquéfie et l’Occident régresse !Pour éviter que le navire ne sombre, il est donc urgent d’éliminer cette « bien-pensance suicidaire » qui du simple contresens intellectuel marxisant qu’elle était au départ sur le plan économique et social, a dérivé vers un « progressisme minoritariste » désordonné qui s’est donné pour caprice de faire éclater nos cultures et nos nations occidentales et leur fait courir le risque de se retrouver prises dans l’étau d’un mondialisme uniformisant et déshumanisant sous « contrôle social » façon chinoise ou tel que pourrait l’organiser l’une ou l’autre de ces pernicieuses élites mondialistes qui paradent à Davos, dans la Silicon Valley ou ailleurs.

Des valeurs qui les ont faites grandes, la France et l’Europe se sont abandonnées depuis quatre décennies, à une copulation honteuse entre inconsistance du caractère et inconstance dans la pensée et dans l’action au moment précis où surgissent face à elles, des puissances nouvelles qui déjà les bousculent … et qui, poussées par leur toute jeune volonté de puissance, veulent leur part de l’avenir du monde et certaines, leur revanche sur les anciens « dominants » ! Oui, les civilisations sont mortelles et il faudra faire face … ou quitter la scène !

Or, cette France avachie, capricieuse et changeante qui se laisse aller, inconsciente et comme impotente, sur la pente de la déliquescence, s’obstine à confier le destin du pays à des médiocres incapables de se transporter sur les hauteurs et qui trompent le peuple en s’abandonnant à la facilité de politiques molles. Ils s’évertuent à cacher les vrais problèmes et se perdent dans les détails pour éviter d’aller à l’essentiel. Ils sont ainsi devenus des maniaques de l’affolement des peuples (affolement sanitaire, affolement climatique, affolement culturel …) ou des « experts » du bricolage financier et du jeu de bonneteau budgétaire et fiscal tandis que les fonctions majeures de l’Etat partaient à vau-l’eau par contamination gaucho-bien-pensante ou même wokiste (Education Nationale, Justice et Culture) ou par négligence et mauvaise gestion ( Santé et pire encore, l’ensemble du secteur public à commencer par la fonction publique) fragilisant mortellement l’Etat et l’avenir du pays voire du peuple français et de sa civilisation ! Les faux-penseurs ont engendré de faux-chefs et la « mollocratie » triomphe ! Socrate ni Platon n’aimaient les « sophistes » qui fabriquaient des « gouvernants mal-doués », ceux-là même qui sont devenus aujourd’hui, les « logorrheux » du bobo-libéral-progressisme.

Oui, le Président Macron patauge et la France s’enlise ! Il a fait illusion quelques jours auprès de quelques-uns mais il a très vite dilapidé le frêle crédit qu’il avait tiré de sa piètre mais très acrobatique et politiquement malhonnête élection de 2017. Ce « Non-Président » ne sent ni la France ni les Français et de faux-pas en insignifiances ou contresens, il s’agite dans l’accessoire au lieu d’agir sur le fond … ça va dans tous les sens sauf à l’essentiel !

Il accumule les erreurs de tous ordres, les erreurs « mondaines » (ridicules fêtes métissées et genrées à l’Elysée, embrassades et attouchements déplacés voire gênants lors de ses rencontres internationales, simulacres de démocratie participative avec ses « grands débats » où la com’ et le verbe sont rois mais l’action et les résultats rares et pauvres, multiplication de commémorations en tous genres pour paraître mais aussi pour faire oublier qu’à la différence de ceux qu’il célèbre, il ne sait pas où est « l’essentiel » …), les erreurs politiques à résonance internationale délétère (repentance et soumission face à l’Algérie, mauvaise appréhension des problématiques complexes du monde arabo-musulman du Maroc au Proche-Orient et aux confins de l’Asie islamique, déclarations irresponsables et dangereuses sur l’envoi de troupes en Ukraine pour arrêter voire « vaincre » la Russie, négation stupide de la primauté et de l’originalité de la culture française,…), les erreurs économiques fortement dommageables (abandon du nucléaire, lâchage d’entreprises-phare françaises à l’étranger, folie du « renouvelable » en copiant bêtement l’Allemagne des «grünen» et en acceptant de faire partie de ce « marché européen de l’électricité » au profit du renouvelable allemand coûteux et intermittent contre le nucléaire français moins cher et pilotable en fonction de la demande, crise du secteur construction/logement suite aux excès des règlementations restrictives anti-CO2, …), les erreurs diplomatiques et géostratégiques économiquement désastreuses voire potentiellement dangereuses sur le plan sécuritaire et militaire (« ukrainophilisme » et « anti-russisme » maladifs alors que la France et l’Europe ont évidemment besoin de ces deux pays slaves, chrétiens et européens pour faire face au défi du reste du monde, plongée irréfléchie dans les angoisses et les fantasmes du réchauffement climatique promu par les « ayatollah » du climat qui mettent l’Europe en danger car celle-ci se culpabilisant bêtement de la « carbonisation » et du réchauffement passé de l’atmosphère, reste seule à vouloir se ruiner en investissant lourdement et inconsidérément dans les énergies renouvelables alors même que le reste du monde est loin d’en faire une priorité et que le CO2 ne saurait être considéré comme une cause première du réchauffement …), acceptation et application irresponsables des oukases de Bruxellesconcernant les règlementations techniques et économiques intra-UE excessives voire fantaisistes ou superflues qui couplées avec un libre-échangisme obsessionnel, alourdissent la compétitivité des secteurs touchés jusqu’à les ruiner face à la concurrence déloyale ainsi engendrée au niveau mondial (agriculture européenne et particulièrement française mais aussi marché de l’électricité et des autres énergies carbonées ou de substitution avec leurs produits et technologies spécifiques ...).

Notre Président par ailleurs, s’enlise intellectuellement et idéologiquement dans deux impasses qui relèvent de ces nouvelles religions du changement du monde auxquelles la France et l’Europe pourraient parfaitement refuser de se soumettre pour ne pas courir au suicide et en particulier, refuser de se ruiner en mettant en œuvre les folles solutions dont leurs prêcheurs ont fait leur catéchisme !

L’une de ces utopies est cet écologisme obsessionnel qui s’est donné pour préoccupation première d’affoler le monde au sujet du réchauffement climatique dont la cause serait l’usage des énergies carbonées alors que chacun sait que le CO2 compte tenu de sa densité naturelle infime dans l’air et l’atmosphère, n’en a jamais été et n’en sera jamais un facteur déterminant ! Envoyons donc au diable, les investissements inutiles et ruineux des « plans de transition énergétique » puisqu’il n’existe aucune « urgence climatique » ni donc d’urgence de transition énergétique !

Son second terrain de jeu est celui des « penseurs » multiculturalistes et mondialistes qui complotent à « Davos » et auxquels se flatte d’appartenir notre jeune Président. Ils renient notre histoire et ne voient l’avenir qu’à l’image d’une fourmilière d’humains homogénéisés et uniformisés obéissant aux injonctions que les « sachants » leur transmettraient en direct par le biais des artifices de l’homme augmenté et numérisé ! C’est là que se rejoignent les deux mondes aux origines certes différentes mais au résultat identique, celui du contrôle social à la mode chinoise « capitalo-communiste » et celui du monde augmenté de Davos et autres lieux où prospère le complotisme international de la « dictature libéraliste » !

En bon mondialiste, Emmanuel Macron s’est ainsi perdu dans le dénigrement inconsidéré de la France et de sa culture ainsi que dans le déni et la négligence de ses capacités productives et technologiques face à la concurrence mondiale et, se laissant aller à ses excès d’européisme et de suffisance « libéraliste » aussi béats qu’incongrus, il a fait perdre à la France sa compétitivité industrielle et son « effectivité » économique globale !

En dépit de sa constance dans ces erreurs de gestion politique courante ou de choix des orientations stratégiques plus essentielles, Emmanuel Macron a pourtant été réélu en 2022 faute de compétiteur sérieux mais surtout par absence sidérante d’une quelconque réaction de la part du peuple français. Il est grand temps dès lors, de bien comprendre que l’idée de redresser la France et de la rétablir dans son rôle séculaire de puissance-pivot de l’Europe, ne saurait être et ne sera jamais la vision d’Emmanuel Macron et qu’en tout état de cause, il n’en serait jamais ni porteur ni capable. La seule voie possible est donc un changement radical des hommes, des philosophies et des pratiques de gouvernement du pays ! Il y a maintenant une « extrême-urgence » à réveiller les Français et redresser le pays !    

L’environnement politique en effet, s’est totalement délité. La gauche s’est évaporée en se perdant dans le désordre du « wokisme » et par étouffement dans le « en même temps » macronien. La droite quant à elle, après s’être assoupie dans cette folle idée « chiraco-juppéenne » de « reconstruire la droite au centre », s’est délivrée de ses « piètres penseurs », de ses mauvais acteurs et de ses notables fatigués et cherche aujourd’hui à se reconstruire autour de son axe fort, Les Républicains, pour enfin ouvrir aux Français la voie d’une droite gaullienne, forte, juste et solidaire qui seule, serait capable de redresser la France et construire enfin l’Europe !

 

 

Dégauchir la France et refaire l’Europe … le combat pour le redressement

Redresser notre « cher et vieux pays » pour le conforter dans son rôle séculaire de puissance-pivot de l’Europe et transcender la France en faisant de l’Europe la puissance mondiale de référence du 21è siècle ! … la seule bataille qui vaille !

Le combat du redressement sera culturel, économique et social mais aussi de cohésion nationale et d’autorité de l’Etat …

 

Le combat culturel sera bien entendu essentiel et concomitant de toutes les actions à mener.

Ce sera l’éradication de la gaucho-bien-pensance et du bobo-libéral-progressisme, les deux maladies de « l’intellectualisme hors sol » de ce siècle qui explose sous nos yeux en « minoritarismes de combat » contre les droits et l’existence-même de la majorité de notre peuple, de notre Nation et de notre civilisation ! Renvoyer à leur néant les lubies et sophismes des faux-penseurs qui les ont propagés, corriger les dérives des medias « d’information » qui s’adonnent à l’anesthésie de l’opinion ou à la propagande idéologique ou politique plus qu’à l’information et surtout reconstruire l’Education Nationale en tuant le virus du pédagogisme et de l’autoconstruction des savoirs pour rétablir l’enseignement par la transmission et l’échange des idées dans la discipline et le respect à l’école comme à l’Université, et enfin, empêcher les juges d’empiéter pour des raisons idéologiques sans fondement, sur les prérogatives des pouvoirs exécutif et législatif, seuls responsables légitimes devant le peuple de la définition et de la sauvegarde des intérêts supérieurs du pays … Une démocratie saine en effet, n’a besoin ni de « quatrième pouvoir » ni de « gouvernement des juges » !

 

Le combat pour la puissance économique, l’emploi et le progrès social sera une condition première du succès

Il sera de rompre avec cette « sacralisation » stupide de la dépense publique comme « ultime recours » qui par ses facilités et ses excès, a faussé jusqu’à la bloquer, la dynamique économique naturelle du pays et par là, l’emploi et le progrès social. Le cercle vertueux de l’économie ne saurait être centré sur la dépense publique même si elle doit satisfaire aux nécessités des objectifs stratégiques nationaux définis par le gouvernement. Il relève d’abord et par essence, d’un équilibre sain et juste entre les rôles et les rémunérations du capital et du travail qui sont les deux fondements d’une économie saine, dynamique, durable et socialement viable.

Le redressement passera donc par une réduction drastique de la dépense publique grâce à un recadrage sévère des missions, fonctions, procédures et moyens de l’ensemble des institutions et financements du secteur public selon leur pertinence, efficacité et efficience. L’ordre de grandeur de l’effort à faire sur les cinq à dix années à venir pour ré-équilibrer convenablement nos finances publiques annuelles et stabiliser le fol accroissement de la dette publique ne nous conduit plus à penser en dizaines de milliards mais bien en centaines de milliards d’euros à échéance de cinq à dix ans. Un objectif sain et raisonnable serait une réduction de la dépense publique de l’ordre de 150 milliards par an soit 6 à 7 points de PIB, objectif qui semble recevoir l’aval sinon de notre Cour des Comptes qui reste plus timorée mais de la plupart des organismes ou groupes de réflexion économique à commencer par ceux qui mesurent la confiance des marchés financiers et en influencent les taux !

La réduction de la dépense publique injustifiée ou excessive permettra de rétablir le cercle vertueux d’une économie compétitive par l’allègement des charges et des impôts dynamisant ainsi la consommation, l’épargne et l’investissement et de ce fait, la production, l’emploi et enfin, le progrès économique et social.

Ajoutons que le problème des risques encourus du fait des excès de notre dette et de notre dépense publique, est depuis trois voire quatre décennies, considérablement aggravé par le surgissement récent de ce sentiment de peur voire cette terreur que répandent partout dans le monde, les « affolés » du climat en prêchant que pour « sauver la planète » (!!), il faudrait supprimer au plus vite toute émission de CO2 c'est-à-dire priver le monde de l’énergie qui a permis son développement au cours des temps passés ! Or, cette affirmation est fausse parce que le CO2 n’est pas et ne saurait être du fait de sa densité dans l’atmosphère, une cause majeure du réchauffement climatique tout en étant depuis toujours et pour l’avenir, l’aliment essentiel de la vie sur terre ! Il n’empêche que de cet affolement naissent toutes sortes de mesures ou projets qualifiés de « transition énergétique » vers des énergies non carbonées ! Or, ces projets extrêmement coûteux se chiffrent en centaines de milliards et sont parfaitement injustifiés du fait de leur inutilité ! Restons donc sereins, préparons la transition dans le calme pour le moment encore lointain où il deviendra possible techniquement et économiquement de remplacer les énergies carbonées à meilleur compte ou nécessaire de le faire avant qu’elles ne s’épuisent !

Commençons par revenir sur cette folle décision de renoncer au « nucléaire » dont la production est pilotable en fonction de la demande et de se lancer à corps perdu dans le « renouvelable » qui est coûteux en investissement (de plus, importé de l’extérieur !) et surtout, ne pourra jamais faire face à plus de 30 ou 40% des besoins courants et continus d’électricité du fait de sa capricieuse intermittence et de la difficulté voire de l’impossibilité de stocker en masse, les surplus d’électricité produits par le « renouvelable » quand il y a du soleil et du vent en vue de les utiliser les heures ou les jours où il n’y en aurait pas !! Relançons d’urgence le nucléaire des grandes ou micro-centrales et reposons-nous sur le gaz naturel y compris le gaz de schiste en tant que second pilier sécurisé de notre énergie future. Dans l’immédiat enfin, décidons de quitter le carcan de cette idée folle d’un « marché commun de l’électricité » organisé contre le nucléaire qui faisait la force de l’industrie française au profit de l’impasse du renouvelable allemand. Il est urgent que l’Europe revienne sur ses erreurs ! Abstenons-nous donc de ruiner nos économies pour rien ! N’ajoutons pas « l’inutile et le ruineux » à la déjà catastrophique gestion de nos finances publiques … sachant par ailleurs que seule l’Europe se veut exemplaire à cet égard quand le reste du monde n’en fait aucunement une priorité !

 

Le combat pour la sauvegarde de la cohésion sociale et de l’identité nationale, un impératif premier qui requiert une maîtrise absolue des flux de populations en entrée et sortie du territoire et une stricte mise en conformité avec la loi républicaine, du comportement de ces populations immigrées …

Le cadrage des flux d’immigration sera déterminé par la loi et les mesures d’application gouvernementales après avoir revu et corrigé autant que nécessaire, les jurisprudences nationales, européennes ou internationales qui pourraient empêcher ou freiner l’application desdites mesures qu’il s’agisse des conditions d’entrée, des conditions d’acquisition de la nationalité française, des avantages de toute nature (logement, aides sociales et familiales, aide médicale, …) accordés aux immigrants qu’ils soient légaux ou illégaux, des contraintes qui leur seraient imposées et des sanctions qu’ils pourraient encourir pour non-respect de leurs obligations d’intégration et assimilation (suppression des aides, incarcération, prison, niveau des peines-planchers, expulsion …) Les ONG et associations diverses d’aide aux migrants seront bien entendu, mises sous contrôle afin de pouvoir s’assurer que leur louable intention de « faire le bien », ne dérive pas en incitation et assistance à l’immigration illégale voire en complicité intéressée avec les « passeurs » ou pire encore, vers une préférence donnée au multiculturalisme voire au communautarisme contre l’obligation d’intégration et assimilation des populations immigrées.

Pour assurer la légalité, la fluidité et la sécurité des mouvements de populations, il conviendra de mettre en œuvre dans les pays de départ, les dispositifs adéquats de distribution des visas d’entrée sur le territoire français en limitant les procédures de Schengen aux seuls ressortissants des pays de l’UE et bien entendu, rétablir les contrôles systématiques aux frontières françaises. Les expulsions et « retours au pays » par ailleurs, devront être acceptés et garantis par les pays d’origine au moyen d’accords formels et si nécessaire, par le biais de pressions adéquates exercées par la France sur par exemple, le nombre et la qualité des visas accordés aux citoyens du pays concerné et à ses dirigeants, la nature et le volume des avantages accordés à ses nationaux ou encore le volume et la qualité de l’aide au développement octroyée par la France au dit pays.

On exigera de plus et plus spécialement des communautés musulmanes présentes sur le territoire français comme dans le reste de l’Europe, du fait de la grande « spécificité » de leur religion, qu’elles fassent le même effort qu’ont déjà fait les adeptes des autres religions pour s’adapter, s’intégrer et s’assimiler à notre civilisation française et européenne du 21è siècle avec ses principes de démocratie et ses droits de l’homme notamment ceux de liberté, égalité, fraternité et laïcité à savoir de neutralité absolue dans leur comportement dans la sphère publique, pensant par exemple aux signes extérieurs de la religion qu’elles pourraient être tentées d’afficher en public à commencer par le voile et autres détails d’habillement, les comportements et discours, prières de rue, appels à la prière, slogans et manifestations publiques de la religion. Il s’agira donc de séparer ce qui relève du domaine privé et ce qui est acceptable ou interdit dans la sphère publique et notamment tout acte, comportement, ou discours qui serait considéré comme le signe d’un refus évident d’intégration ou assimilation. Au-delà, sera sévèrement sanctionnée toute attitude intégriste qui tenterait d’imposer ces comportements aux musulmans qui ne les pratiqueraient pas. Aucune « police des mœurs » en effet, ne saurait s’imposer au détriment de la loi et de la culture françaises sur le sol français … et plus largement sur le sol européen depuis que les principes de démocratie avec ses fondements de liberté, égalité et fraternité y sont devenus la règle !

L’entrisme islamiste sera donc combattu avec force et au bout du parcours, l’islamisme et a fortiori le jihadisme seront bien évidemment exclus, interdits et sévèrement punis sur le territoire national et en Europe en général à commencer bien évidemment par tous ceux, simples croyants, religieux, organisations religieuses ou non et tous les « idiots utiles » et complices de l’islamisme qui s’y adonneraient ou y inciteraient la population de quelque manière que ce soit.

Pour instaurer cette obligation d’intégration/assimilation, il faudra bien sûr se fonder sur les principes de notre civilisation des droits et des « lumières » mais aussi et peut-être surtout sur le fait que dans toutes les cultures même les plus primitives, il est établi que « celui qui entre dans la maison d’un autre ou s’installe dans la tribu d’un autre », doit en respecter les règles et les coutumes. C’est à lui de s’intégrer et s’assimiler et s’il ne se sent pas bien dans la maison, la tribu ou le pays d’accueil ou s’il ne veut pas en respecter et pratiquer les lois et les coutumes, il devra retourner de gré ou de force dans son pays d’origine … tout simplement ! Il n’y a aucun doute que cela soit parfaitement compris par les populations musulmanes à condition bien sûr de le leur signifier de façon claire et ferme dans la mesure où le rapport de force reste coutumier et primordial dans la culture islamique ainsi que l’usage de la « taqiyya » pour faire prévaloir la norme islamique ! Il est donc capital de garder à l’esprit ces éléments culturels spécifiques à l’islam lorsqu’on parle d’immigration et d’intégration/assimilation !

Au-delà encore et pour faciliter cette transition, on encouragera les populations musulmanes immigrées et d’abord les musulmans français et des autres nationalités européennes à reprendre avec l’Oumma, l’effort d’exégèse interrompu il y a mille ans afin de rendre l’islam définitivement compatible avec l’existence et la tranquillité du reste de l’humanité en « oubliant » par exemple à défaut de les supprimer, les textes concernant le « jihad de guerre et de conquête », ceux du « statut » des femmes et les autres prescriptions incompatibles avec l’idée d’un islam de paix dans une société des « Lumières » comme celle du 21è siècle … L’ijtihad conçu comme un effort de réforme et d’adaptation à notre monde du 21è siècle doit redevenir la préoccupation première dans l’Islam.

Alors ? Vers un islam de paix sans jihad ni taqiyya, sans violence ni mensonge ? In cha’ Allah ! … Ou alors la guerre ?! Amis et compatriotes musulmans de France et du monde, il faudra choisir !

 

 

Le combat pour le rétablissement de l’autorité de l’Etat et la sécurité publique, est un autre grand impératif national.

Au-delà du cadrage des flux d’immigration d’une part et du cadrage du comportement des populations immigrées dont nous venons de parler, il convient en effet, de rétablir au plus vite, l’ordre, la discipline et in fine, la sécurité dans l’ensemble du pays et dans toutes les parties de sa population.  

Cela impliquera d’abord de durcir les politiques pénale et pénitentiaire et d’assurer l’immédiateté et l’effectivité des peines et pour cela d’en mettre en œuvre les moyens (effectifs et formation des forces de police, effectifs et locaux pénitentiaires adaptés et suffisants, effectifs et moyens mis à disposition des juges) mais aussi et de façon tout aussi impérative, de refuser toute « excuse », excuse de minorité par exemple, et décider de punir toute infraction. L’objectif en sera de refonder l’axe « police-justice-pénitentiaire » en faisant en sorte que toute inconduite soit effectivement suivie de sanction et qu’ainsi soient rétablies la confiance, l’efficacité et la dynamique citoyenne entre ces trois composantes de la sécurité publique.

Il faudra aussi reconstruire l’Education Nationale en rétablissant la discipline et en laissant là les lubies socio-pédagogistes de « l’auto-construction des personnes et des savoirs ». Enseignement et instruction sont les missions fondamentales de l’Education Nationale et de tout le système éducatif jusqu’aux Universités et grandes Ecoles : L’ELEVE ET L’ETUDIANT SONT LA POUR APPRENDRE ET LES ENSEIGNANTS POUR INSTRUIRE ! Les premiers doivent un strict respect aux seconds et ce respect passe par une stricte discipline !Il faudra en élargir le principe et l’application au rapport de tous les citoyens avec les agentsdetoutes les fonctions d’assistance sociale ou sécuritaire de l’Etat comme la protection sociale, la santé publique, les secours d’urgence, etc…

A l’égard des forces de police, il est bien évident que ces deux obligations, respect et discipline, s’imposeront jusqu’au devoir d’obéissance dans la mesure où elles sont l’image et le bras de l’autorité de l’Etat et les garantes de la sécurité publique. Aucun « refus d’obtempérer » ne sera donc tolérable.

L’obéissance aux ordres émanant de l’autorité publique et un comportement respectueux des normes participant de la nature-même du « citoyen français », il importe que la naturalisation en devienne la consécration et l’assurance … et qu’elle ne soit donc plus considérée comme une banale formalité administrative quasi-automatique après un certain temps de résidence ou de travail dans notre pays (!!).

Le processus d’attribution de la nationalité française devra donc être réaménagé pour en exclure tout laxisme et en prévoir le blocage à la moindre infraction. Il en sera naturellement de même du processus de déchéance de nationalité en cas de commission de faits qui la justifieraient.

Il faudra par ailleurs, mettre fin au principe du « droit du sol » à la naissance pour garantir l’effectivité du processus d’intégration et assimilation des enfants d’immigrés avant leur nationalisation éventuelle à leur majorité.

La nationalité française ne saurait être bradée et implique que prévalent chez un individu donné la loi et la culture françaises sur toute autre loi ou culture !

Il s’agira donc à l’école comme dans la rue, de passer de la « politique de l’excuse » à la « tolérance 0 », du laisser-aller à l’esprit de responsabilité afin de rétablir dans toutes les parties du territoire et dans chaque segment de la population, l’ordre, la discipline, le respect d’autrui, l’esprit citoyen et rendre ainsi possible la vie en commun dans notre société française et européenne … tout simplement !

Dans les quatre dernières décennies en effet, la gaucho-bien-pensance « déconstructionniste » et le progressisme « reconstructionniste » ont fait dériver nos principes démocratiques de base vers le laxisme, la facilité et l’excuse. Liberté, égalité, fraternité et droits de l’homme sont devenus libertarisme, égalitarisme et droit-de-l’hommisme ouvrant ainsi la voie à toutes sortes de déviances dans la pensée et le comportement des gens et au niveau supérieur, dans les décisions de la justice elle-même.

Compte tenu de ce délitement avancé de l’esprit public et pour atteindre le niveau souhaitable et nécessaire d’autorité de l’Etat à l’égard de tous les individus, groupements, associations et autres organismes français ou étrangers présents sur le territoire français, il conviendra de mettre en oeuvre les dispositifs légaux et constitutionnels qui permettront aux autorités compétentes de prendre autant que de besoin toute décision utile pour assurer l’ordre public et la sécurité publique sans se heurter à d’éventuels obstacles jurisprudentiels émanant de nos Cours nationales, européennes ou internationales qui empêcheraient leur application immédiate comme c’est trop souvent le cas aujourd’hui de notre justice défaillante.

L’intérêt supérieur du pays en effet, à commencer par la sécurité publique, est l’affaire du pouvoir démocratiquement élu, pas celle des juges ! La mission de ces derniers est tout simplement d’appliquer la loi et non de l’interpréter en la faisant trop souvent dévier hors du champ de l’intention originelle du législateur, en fonction de leurs préférences idéologiques.

Le « gouvernement des Juges » n’est pas compatible avec la démocratie ni la « politique de l’excuse » avec l’autorité de l’Etat !    

 

Le combat pour l’Europe … Ce combat est d’une double nature car pour construire l’Europe, il faudra d’abord recadrer l’Union Européenne

L’UE en effet, n’est encore qu’une ébauche de ce que pourrait devenir la future Europe et cette institution n’a pour but que de faciliter entre les nations-membres européennes souveraines, une certaine coopération dans certains domaines à certains moments.

C’est par l’Europe toutefois, que nos peuples et nos nations se transcenderont et resteront capables de tenir leur rang dans le tourbillon du monde nouveau. Mais c’est à Paris et dans les capitales des Etats-Membress qu’on la construira, pas à Bruxelles, à Strasbourg ni à Luxembourgqui se limiteront alors à la simple gestion du domaine communautaire tel qu’il leur aura été confié par les Etats ! Il se trouve en effet, que du fait des derniers grands évènements politiques, militaires et coloniaux de l’histoire européenne, seule, la France porte une réelle ambition pour l’Europe, une Europe capable d’affirmer son rôle de puissance mondiale de référence du 21è siècle … alors que l’Allemagne encore traumatisée par son complexe post-hitlérien et l’Angleterre retombée dans ses rêveries d’Empire, se satisferaient d’un grand marché élargi où ils deviendraient respectivement une « Grande Suisse industrielle bien gérée » et une « opulente place financière mondialisée » ! Il n’y aura donc pas d’Europe forte et souveraine sans une France forte … et à l’inverse, il n’y aura plus de France s’il n’y a pas d’Europe ! Leurs destins sont liés …

Il s’agit donc d’abord de redresser la France et de la rétablir dans son rôle séculaire de puissance-pivot de l’Europe, rôle qu’elle a assumé depuis le couronnement de Clovis, premier Roi de France prenant la succession de la Rome gréco-latine et chrétienne, jusqu’à la République gaullienne en passant par Charles Martel puis Charlemagne, Saint Louis, Louis XI, François Ier, Henri IV, Louis XIV puis la Revolution et Napoléon … et enfin la République !

Ceci nous amène au problème existentiel de l’Union Européenne et de l’urgence de son recadrage. L’UE en effet, ne cesse depuis quelques décennies, profitant du laxisme, de la lâcheté ou de la négligence complice des Chefs d’Etat, d’outrepasser ses missions et fonctions aux dépens de la souveraineté des Etats-Membres en tentant de s’instituer comme le législateur suprême alors que l’UE n’est qu’une « association » d’Etats indépendants qui coopèrent à leur juste mesure mais aucunement encore, une Confédération et encore moins une Fédération !

L’UE à ce jour, reste une construction administrative inter-étatique qui à la confluence d’un « européisme » à l’avenir et au contenu encore très mal définis et d’une certaine volonté technocratique de « réguler normes et marché », a entrepris de définir un cadre dans lequel devraient s’insérer les différents Etats-Membres voire de le leur imposer dans certains domaines comme les échanges commerciaux internationaux, la circulation des personnes, les conditions de production des biens et services, les normes sanitaires, etc…, le tout dans le but très louable de faciliter la saine production et la libre concurrence des échanges de biens et services entre les pays-membres et de ceux-ci avec les pays hors UE. Or, il se trouve que lesdits pays-membres ne bénéficient évidemment pas des mêmes conditions de production ou de commercialisation des biens et services entre eux et encore moins face à leurs compétiteurs étrangers non-européens. Cela crée donc des distorsions de concurrence parfois insupportables entre les pays et rend difficile la mise en oeuvre des normes de l’UE et donc des accords qu’elle souhaiterait conclure avec les Etats-tiers ! On en arrive alors à des conflits de normes et d’intérêts entre les pays-membres qui vont souvent jusqu’à la ruine de certaines filières au profit des producteurs des pays voisins mais néanmoins concurrents de l’UE ou pire, au profit des pays ou puissances étrangères à l’UE ! On pense ici par exemple, aux contraintes imposées par l’UE aux producteurs européens pour harmoniser les conditions de concurrence à l’intérieur de l’UE sans pour autant imposer le respect des mêmes normes à leurs concurrents chinois, américains, indiens ou autres avec lesquels la même UE souhaiterait conclure des accords de libre-échange ! POURQUOI ??? L’obsession « normalisante » de l’UE devient encore plus intolérable dans les secteurs qui touchent à la souveraineté voire à l’identité et à la sécurité des pays-membres comme les normes concernant la circulation des migrants ou le traitement des demandeurs d’asile, problèmes que chaque pays ne voit pas nécessairement du même œil et que certains n’acceptent pas de voir traiter à l’échelon de l’UE sans tenir compte de leurs particularités économiques ou sociales ou de leur volonté souveraine !

L’Europe doit donc se guérir de son « libre-échangisme » trop systématique et s’investir au plus vite d’une mission de protection des intérêts des producteurs de l’UE en abandonnant toute naïveté dans ses négociations avec les puissances hors UE tout en prenant dûment en considération les ambitions ou nécessités souveraines des Etats-Membres.

Les Etats-Membres par ailleurs, doivent veiller à ce que l’UE se débarrasse au plus vite de son « obsession mondialiste » qui la pousse à se mêler d’affaires qui ne sont pas de son ressort mais relèvent plutôt des seuls Etats-membres (élargissement obsessionnel et souvent hors champ de l’UE, problèmes de sécurité et de défense, problèmes Ukraine-Russie voire Israël-Palestine …) ainsi que de cette « bienveillance » qu’elle accorde aux organisations et intérêts privés ou communautaires par la biais de ce « lobbying bruxellois » auquel elle est souvent beaucoup trop sensible aux dépens des priorités des Etats.

L’Europe donc n’est pas encore « faite » et cela ne pourra « être » que le jour où les peuples et les nations d’Europe se seront effacés devant un sentiment d’appartenance commune à une même entité civilisationnelle et territoriale qui soit suffisamment fort pour justifier que l’UE disparaisse et cède la place à « une Nation et un Peuple Européens uns et indivisibles ». Le temps n’en est pas encore venu et il est donc urgent en attendant, de recadrer l’UE dans ses missions et fonctions telles qu’elles lui ont été ou lui seront assignées par les Etats afin d’éviter les débordements actuels et le désordre institutionnel régnant qui sont la marque insupportable d’un « européisme » idéologique artificiel que la technocratie de Bruxelles et des Cours de justice européennes cherchent à faire passer avant l’intérêt supérieur des peuples et des Etats-Membres ! Ceci ne saurait être toléré plus longtemps et il est urgent que les Chefs d’Etat reprennent la main sur l’UE comme Nicolas Sarkozy et Angela Merkel l’avaient fait de concert entre 2007 et 2012 avec un succès certain pour surmonter les crises d’alors avant que le binôme Hollande-Macron ne relâche la pression sur Bruxelles pour aboutir au désordre européen actuel …

La crise ukrainienne est le symbole dramatique de ce désordre. Elle est née de l’impéritie des Chefs d’Etat français et allemand qui ont négligé de recadrer les « autorités » ukrainiennes après qu’elles eurent délibérément provoqué la Russie en ne respectant pas les Accords de Minsk au sujet des provinces russophones (et russophiles) de l’est du pays. La Russie a donc engagé la guerre pour reprendre ces provinces qu’elle considère comme siennes et la France et l’Allemagne doivent en conséquence, réparer d’urgence leur erreur en forçant l’Ukraine à faire la paix même si elle doit y perdre ses provinces de l’Est.

En attendant, la guerre en Europe de l’Est soulève pour la France le problème de l’utilisation éventuelle de sa force de frappe nucléaire ! Celle-ci n’a pour objet que de défendre les intérêts vitaux de la France et ce sera donc à cette dernière seule, de décider où sera la limite de ses intérêts vitaux au cas où la Russie agresserait ou serait en passe d’agresser voire de mettre en danger un des partenaires européens de la France voire la France elle-même … Quel que soit l’avenir de l’Ukraine en Europe voire dans l’UE, la force de dissuasion nucléaire restera française et on comprendra aisément qu’il ne puisse exister de force de dissuasion nucléaire européenne tant que l’Europe ne sera pas constituée en un Etat-Nation souverain et autonome sans ses décisions d’ordre sécuritaire.

L’Europe par ailleurs, doit cesser de jouer de l’affolement climatique anti-CO2 pour lequel il n’y a aucune urgence et dont elle n’est bien évidemment aucunement coupable même si c’est elle qui a apporté au monde au cours des siècles et décennies passés, cette civilisation moderne fondée sur l’énergie carbonée dont il profite amplement ! Il convient maintenant de revenir à la raison en rétablissant un équilibre acceptable techniquement et économiquement entre le nucléaire, le renouvelable et le gaz pour ce qui concerne l’Europe et en donnant la priorité aux investissements qui amélioreront le sort des pauvres du monde plutôt que de gaspiller l’argent dans une guerre inutile et ruineuse contre ce « Nouveau Diable » qu’est devenu le CO2 d’autant que l’Europe (dans sa forme UE !) reste seule à battre sa coulpe et à se flageller (bêtement) en voulant réduire (bêtement !) sa consommation d’énergie carbonée tandis que le reste du monde à commencer par le Sud, les BRICS et même les Etats-Unis n’en font aucunement une priorité ! Ne poussons pas les Etats-Membres de l’UE dans les impasses ruineuses de ces « plans de transition énergétique » avant qu’ils ne soient convenus du schéma de coopération européenne le plus pertinent et le plus efficace pour affronter le monde qui vient en attendant de construire un jour, une Europe-Nation souveraine !

 

 

Dégauchir la France et refaire l’Europe … Qui alors pour mener le combat ? Une droite forte, juste et solidaire … une Droite Gaullienne !

« L’action écrivait le Général de Gaulle, ce sont des hommes au milieu des circonstances » ! Les circonstances sont là, dramatiques, mais les hommes ?

Pourquoi la droite ? Qui d’autre pourrait donc en être capable ? La gauche a failli, Emmanuel Macron patauge et les « extrêmes » ne sont pas fiables ou vont à contresens sur quelques points cruciaux (le RN sur l’économie, le social et l’Europe, LFI également et de façon plus pernicieuse encore sur ces mêmes sujets mais aussi sur l’immigration, l’islam et l’autorité de l’Etat !!). … et côté « droite molle », les chichis centrisants et les caprices d’ego ça suffit ! Rassemblement donc autour de LR, la seule force politique qui possède vraiment et soit capable d’apporter aux autres partis, l’expérience de gouvernement et les troupes nécessaires au niveau national et local pour prendre la France en charge, la redresser, la remettre sur le chemin de la grandeur française et de l’Europe en devenir … et surtout d’y faire participer toutes les forces du peuple de France ! Il n’y a pas d’alternative ! … le peuple le sent bien, il le sait ! Il doit maintenant le signifier aux « politiques » et porter d’urgence un Chef à sa tête !

Que faire ? Ainsi qu’il a été précisé plus haut, il y aura une ligne directrice :rétablir la France dans son rôle séculaire de puissance-pivot de l’Europe et faire de celle-ci la puissance mondiale de référence du 21è siècle. Pour redresser le pays, 3 priorités : 1. Réduire la dépense publique injustifiée ou excessive pour rétablir le cercle vertueux d’une économie compétitive par l’allègement des charges et des impôts, dynamisant ainsi la consommation, l’épargne et l’investissement et de ce fait, la production, l’emploi et enfin, le progrès social   2. Cadrer les flux d’immigration et les pratiques de l’islam, maîtriser le processus d’intégration et assimilation des populations et assurer ainsi la cohésion nationale  3. Rétablir l’autorité de l’Etat et la sécurité publique dans toutes les missions et fonctions premières de l’Etat, sur l’ensemble du territoire et dans tous les segments de sa population.

Et enfin, avant de prétendre construire l’Europe nouvelle, il faudra d’abord préparer le terrain en recadrant l’UE dans ses missions et fonctions telles qu’elles lui auront été assignées par les Etats-membres, seuls souverains, jusqu’à ce qu’un jour, surgisse un « sentiment européen » capable de transcender les Etats-nations en un seul peuple et une seule Nation !

Quelle droite et comment ? Une droite rassemblée autour de son pivot « droite forte, sociale et solidaire », ce noyau fort auquel se joignent toujours les « centres droit et gauche » dans les moments difficiles, autrefois avec de Gaulle ou Nicolas Sarkozy et aujourd’hui avec le parti Les Républicains qui après le choc de ce vicieux « Coup d’Etat » politico-médiatico-judiciaire de 2017 fomenté contre François Fillon, a entrepris sa reconstruction sur les bases et priorités définies par Laurent Wauquiez et son équipe. Il a poursuivi sa consolidation avec les travaux de réflexion programmatique conduits sous la direction de Christian Jacob et désormais d’Eric Ciotti tout en ayant réussi en parallèle, à conforter son ancrage territorial et sa force de frappe locale et nationale sur l’ensemble du territoire lors des dernières élections. Le Parti LR vient encore de confirmer son rôle moteur en réussissant à imposer à notre Président et à son gouvernement défaillant, le vote de la « Loi dite Immigration » comme élément premier d’un cadrage efficace de l’immigration ! D’autres lois devront être d’urgence promues en complément y compris des textes de nature constitutionnelle permettant de déverrouiller les blocages jurisprudentiels allant contre l’intérêt supérieur du pays dans certains domaines idéologiquement sensibles !

Il apparaît donc de plus en plus nettement que notre Parti LR soit seul, vraiment conscient des réalités de la déliquescence qui nous emporte mais aussi seul capable de redresser le pays grâce à son essence gaullienne, à son expérience de gouvernement et à son ancrage territorial au niveau local, régional et national, tous éléments que ne possèdent pas au même degré les autres partis ou mouvements de droite !

Un grand espoir se lève par ailleurs avec la récente réunion des « Jeunes » des Partis LR, RN et Reconquête qui viennent d’afficher leur idée de rassemblement pour redresser la France ! Rassemblement donc autour de LR dans une future « droite unie » ! ILS NOUS DONNENT LE SIGNAL ! Commençons donc par nous abstenir de nous quereller bêtement à partir de jalousies ou soupçons infondés ou de problèmes d’ego entre nos différents partis, mouvements ou personnalités de droite. Ces querelles ne font que diviser chaque parti et déstabiliser la confiance que l’électorat est disposé à nous donner et même s’il y a des nuances, l’important est que tous se rassemblent au fond sur la base d’une droite forte, une droite gaullienne qui donne la priorité à l’intérêt supérieur du peuple et de la nation et non aux intérêts particuliers politiques, économiques, sociaux ou idéologiques voire financiers des uns ou des autres !

Le redressement de la France et la construction de la nouvelle Europe, c’est en effet, l’affaire du peuple français tout entier, ce n’est pas celle d’une partie du peuple. Ce n’est pas celle de ces élites satisfaites d’un mondialisme et d’un multiculturalisme béats, ni celle de la « technocrature » internationale ou celle des corporatismes syndicaux ou intérêts socio-économiques particuliers, et encore moins celle des idéologies et des lubies politiques, sociétales ou écologistes du moment !

Redresser le pays pour le rétablir dans son rôle séculaire de puissance-pivot de l’Europe et faire de celle-ci la puissance mondiale de référence du 21è siècle, SEULE POURRA DONC LE FAIRE UNE DROITE FORTE, JUSTE ET SOLIDAIRE, UNE DROITE GAULLIENNE, UNE DROITE DANS LAQUELLE LE PEUPLE FRANÇAIS SE RASSEMBLERA EN Y RECONNAISSANT L’ÂME DE LA FRANCE ET L’AVENIR DE L’EUROPE.

                                                                                              

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