L'action, ce sont des hommes au milieu des circonstances ! (Charles de Gaulle)

Français, il faut décider !!! … Chienlit et « tribalisation » ou paix sociale et cohésion nationale ? (25 Août 2015)

 

Immigration Cohésion nationale   …...    Immigrés, il faut choisir !  …  Expulsion ou intégration ?

Xéno-, islamo-, homo- mais aussi racisme, colonialisme, esclavagisme, féminisme, fascisme,   … chacun avec son « -phobe » et son « anti- », tous mots-clés et poncifs de la gauche mondaine marxisante et tiers-mondisante depuis les années 50 avec nos Sartre, Beauvoir, autres « penseurs » ou dé-consructeurs de la rue d’Ulm et de nos écoles en Sciences Sociales, nouveaux philosophes humanitaristes, sectateurs du déterminisme social et « bourdieuseries » diverses, et enfin, ceux de la synthèse finale, les penseurs complexes du post-marxisme social-chrétien et « écolo-droit de l’hommiste » dont la mélasse intellectuelle englue la pensée française au point de la figer définitivement à contresens des réalités du monde actuel.

… une bourgeoisie germanopratine passionnée par ses joutes intellectuelles parfaitement vaines, un simple recyclage des déchets de la pensée du moment disait Roland Barthes, et sans résultat autre que se fracasser sur l’écueil des réalités comme s’en moquait Simone Weil ! Une gauche exaltée et chimérique, incurablement lâche devant l’effort et les responsabilités. Bref, la même gauche marxiste, socialiste ou radicale que celle des années trente si imbue de pacifisme et de belles idées sociales qu’elle refusait de voir la guerre qui arrivait et s’est aussitôt soumise en masse à l’envahisseur pour mieux consacrer la déchéance française !

Une gauche qui faillit et trahit dès qu’il s’agit de la grandeur et de l’identité de la France et qui en ce début de millénaire, s’évertue à parfaire la dé-construction des fondements de sa civilisation pour parachever l’œuvre diabolique de déliquescence qu’elle a organisée autour de ses lubies idéologiques et des contresens de ses faux-penseurs.

Quel est donc « l’envahisseur » que la gauche chérit tant de nos jours et à qui elle se livre et prétend livrer la France, dans toute sa passion immigrationniste et son obsession de repentance sans limite ?

C’est l’immigré et en particulier l’immigré musulman. Il a tous les droits et sa culture est sacrée même si elle dérange le peuple qui l’accueille car la France, son peuple et sa culture ont dans le délire culpabilisant de la gauche failli devant Dieu et devant les hommes ! Ils doivent expier proclame-t-elle, en oubliant que c’est bien la gauche de ses pères qui justifiait les conquêtes coloniales en invoquant la « mission civilisatrice d la France » ! Ce deuxième empire colonial, cet empire républicain qui succède à celui de nos rois, c’est bien son œuvre ! Elle en est responsable et donc coupable puisque dans son égarement, elle en fait la « grande faute de la France » !!!

Et qui est donc cet immigré musulman si malheureux et si pitoyable que la gauche veuille le « cocooner » à ce point et si terrible ou « emmerdant » que les autres veuillent le renvoyer chez lui sans délai ?

Français de souche qui vous faites accuser de xénophobie, d’islamophobie ou de racisme quand, exaspérés par les manquements des voyous de l’immigration, vous osez la critiquer jusqu’à la rejeter en bloc,

Et vous immigrés de la première, deuxième ou, pire ! de la troisième génération qui n’êtes encore ni intégrés ni assimilés même si vous êtes « français », et qui cependant, souhaitez ne plus vous faire insulter ni rejeter par ceux à qui vous manquez de respect mais chez qui vous voulez néanmoins vous installer,

Et vous, belles et grandes âmes un peu légères de droite ou de gauche qui vous apitoyez sur les malheurs de ces pauvres gens sans bien connaître l’histoire ni le contexte de ce qui les a amenés chez nous, ni bien cerner ce que cette immigration incontrôlée met en cause au niveau national, européen et tout simplement humain, et qui malgré cela, êtes prêts dans votre générosité, folle ou intéressée, à leur donner la France en commençant très jésuitiquement, par ce qui appartient aux autres,

…. lisez et méditez ce qui suit, vous comprendrez mieux les problématiques indissolublement liées de l’immigration, de la cohésion sociale et de l’identité française et européenne !

 

L’immigration n’est pas « politique », elle est essentiellement économique et culturelle, c’est l’immigration ordinaire !

L’asile politique en effet, reste sacré mais il est marginal en France et ne connaît de pointes que lors de guerres civiles ou étrangères dans lesquelles sont impliqués les pays d’Afrique ou d’Asie ayant des relations anciennes avec notre pays. Il devient néanmoins une source d’immigration illégale non négligeable dans la mesure où les demandes d’asile ne sont pas traitées dans des délais raisonnables ni surtout les « refusés » (80 % des demandeurs !) aussitôt renvoyés dans leur pays.

Le gros de l’immigation est fait de « gens qui ont faim » ou de gens atteints du mirage des modes de vie occidentaux et plus encore, attirés par les facilités de travail, vraies ou fausses, et plus sûrement encore, par les allocations et aides sociales qui leur sont offertes dans les pays d’accueil, toutes choses que les gouvernements de leurs pays respectifs sont incapables de leur offrir ou de leur faire espérer pour des raisons combinées d’incompétence, de mauvaise administration et de corruption.

Or la France ni l’Angleterre d’ailleurs, n’ont de besoin significatif d’immigration économiquement ni démographiquement. En Europe, seules l’Allemagne, l’Italie et l’Espagne pourraient en avoir quelque nécessité du fait de leur démographie chancelante ce qui confirme l’urgence d’accorder nos politiques de migration entre Etats européens et d’y limiter la libre circulation des personnes aux seuls nationaux des pays européens et aux extra-européens dument autorisés, les étrangers non-européens interpellés dans des pays où ils n’ont rien à faire, devant être renvoyés aussitôt dans leur pays d’origine ou dans le pays européen de premier accueil.

La masse de ces immigrés ne connaît pas, ne pratique pas et ne « sent » pas vraiment l’adage romain : « A Rome, vis comme un Romain » !

Imprégnés de leur seule culture propre, ancestrale dans les campagnes mais souvent délitée par la migration urbaine de masse qui frappe tous les pays en développement, ils importent leurs coutumes et habitudes de vie, bonnes ou mauvaises mais si peu « romaines » ou françaises qu’à la longue, elles finissent par exaspérer leurs voisins dans les endroits où ils s’installent en nombre.

En France par exemple, on n’égorge plus le cochon à la ferme depuis longtemps pour des raisons sanitaires, les musulmans n’ont donc aucune légitimité à revendiquer le droit d’égorger le mouton à la maison ! De même dans les cantines, s’il n’y a pas de viande « halal », on mangera des légumes et on mangera de la viande le soir à la maison ! Dans les piscines, garçons et filles iront dans le même bain sans pour cela encourir le courroux du Bon Dieu s’ils se tiennent bien ! En France, on ne voile pas les femmes car les mâles français ont généralement appris à ne plus sauter sur les filles comme des animaux ce que craignait manifestement le Prophète de la part de ses compagnons quand il a été inspiré par la sourate du voile ! Pourquoi d’ailleurs cacher le beau voire enlaidir le beau au nom d’une fausse pudeur religieuse, pudeur qui n’est que très prosaïquement humaine tandis que le beau est de nature divine ? Pourquoi une femme s’obligerait-elle ou pire, pourquoi un mari obligerait-il sa femme à se baigner habillée au risque de l’indécence quand elle en sort avec ses habits collant à son corps ou au risque d’un coup de chaleur si elle ne va pas à l’eau alors que tout le monde sur les plages du monde entier, se baigne au soleil ou dans la mer en maillot une ou deux pièces ?

Pourquoi aussi cette manie de toujours vouloir faire accompagner une jeune fille par un grand frère ? Manque de confiance en sa vertu ? Ou plutôt en la capacité des hommes musulmans de se tenir correctement devant une femme ? Dans un autre ordre de choses, on peut aussi aimer la cuisine arabe ou africaine de temps à autre mais pas nécessairement en apprécier tous les jours les odeurs fortes ni le bruit de ceux qui la font ! On se souvient à ce sujet d’une remarque fort pertinente de Jacques Chirac mais faite si mal à propos qu’elle en avait été tournée en ridicule par des journalistes mal intentionnés ce qui avait pour le plus grand malheur de la France et de l’immigration, bloqué chez lui toute envie d’aller plus loin dans le cadrage du processus immigration-islam-intégration faisant ainsi perdre trois décennies à la France dans la définition d’une politique cohérente à cet égard !

Quant à l’alcool comme au jeu, le Coran les déconseille sans toutefois en faire un péché mortel dans la mesure où « on se comporterait par ailleurs comme un bon musulman » ! … et l’on sait bien que beaucoup de musulmans et même beaucoup de ceux qui se réclament d’un intégrisme ou même seulement d’une pratique pure et dure, ne se privent pas de sacrifier à ces plaisirs cachés et ceci au cœur même de l’islam dans l’Arabie wahhabite !

Beaucoup de pratiques et comportements ont ainsi été classés « haram » par la doctrine et le consensus forgé par les ‘ulémas qui, par excès de zèle, sont bien souvent allés beaucoup plus loin que ne voulait le signifier l’exemple du Prophète sur tel ou tel sujet concret ou la prescription même du Coran.

Et puis enfin, pourquoi donc les femmes musulmanes persistent-elles en France à vouloir s’enlaidir d’habits, de voiles ou de coiffes peu seyants au lieu de s’habiller joliment ou élégamment comme les autres françaises ? Provocation ? Spontanée ou provoquée ? Contrainte maritale ou familiale ? Besoin d’identification voire d’indépendantisation à l’encontre de la famille ? Complexe paranoïaque voire haine ou détestation à l’égard de ce qui est français ou plus généralement occidental ? Pourquoi, alors que les hommes dans leur grande majorité ne se gênent pas pour s’habiller à l’occidentale sauf volonté délibérée de provocation souvent appuyée de barbes hirsutes pour « mieux faire croyant et pratiquant » ?

A propos de pratiques religieuses, pourquoi prier dans la rue quand il y a des mosquées ? Et s’’il n’y en a pas, on priera à la maison comme le recommandait récemment Sa Majesté le Roi du Maroc ou encore le Président algérien et comme le font les chrétiens catholiques, orthodoxes, protestants ou les juifs quand ils n’ont pas d’église, de temple ou de synagogue près de chez eux !

La prière comme la religion se pratique d’abord à la maison et en privé, pas dans la rue ni en public sauf dans les lieux de culte réservés et autorisés à cet effet. Ces lieux appartiennent en France selon leur ancienneté par rapport à la loi de 1905, à l’Etat, aux collectivités locales ou aux communautés religieuses qui les ont construits avec l’autorisation des autorités publiques. Aucun autre lieu de culte ou de prière ne saurait être consacré, reconnu ni utilisé sans cette autorisation ni aucune pratique religieuse, prière ou autre, être exercée en public dans la rue, dans les entreprises, dans les administrations publiques, les lieux commerciaux, les transports publics, etc …

De la perpétuation de ces pratiques pour la plupart incompatibles avec la culture du pays d’accueil, naissent et se développent des dérives qui bloquent l’intégration au détriment de la cohésion nationale et de l’avenir des immigrés dans le pays.

Ces habitudes ou pratiques des pays d’origine ne sont pas de mise dans les pays d’accueil mais devant le laisser-faire des autorités, la plupart des familles continuent de les pratiquer comme si elles étaient toujours « au pays ». Elles y accoutument ainsi leurs enfants qui auront dès lors beaucoup de mal à s’en défaire et risqueront ensuite d’en faire une question d’identité.

De là des dérives de comportement et un blocage à l’intégration commençant avec l’indiscipline à l’école et allant jusqu’au rejet de la société d’accueil puis à la détestation de la France et in fine, à la délinquance qui non seulement rendront impossible la francisation mais pousseront aussi certains jeunes immigrés, français ou non, à s’exclure de la société voire à la combattre ce qui en fera aux yeux de cette dernière, des gens à éliminer par la prison s’ils sont français ou par l’expulsion s’ils sont étrangers.

Les familles d’immigrés et en particulier les familles musulmanes doivent comprendre que si elles n’éduquent pas elles-mêmes leurs fils et leurs filles à respecter scrupuleusement les lois de la République et à se comporter en France et en Europe comme des français et des européens, plus rien ne les empêchera de rouler sur la pente de la délinquance et de l’exclusion.

L’école publique en effet, n’a plus l’autorité ni les moyens de les remettre sur la voie depuis que la gauche soixante-huitarde en a fait la chasse gardée de ses lubies éducatives et de ses fantasmes égalitaristes … au point qu’un peu partout en France, les familles musulmanes qui le peuvent, inscrivent leurs enfants dans les écoles privées catholiques ! Ainsi s’accentue chaque jour, l’inégalité des chances à force d’imbécillité « bourdieusienne » dont nos ministres Peillon et Najat Vallaud-Belkacem sont les grands prêtres satisfaits !!!

La justice non plus ne les aidera pas car elle est devenue au fil du temps en suivant les avancées « badintériennes » et post-soixante-huitardes de la politique de l’excuse, une institution d’animation ou de rédemption sociale où la prévention par l’excuse a définitivement remplacé la correction par la punition. L’excuse est reine et la sanction rare ! On atteint aujourd’hui les sommets de cette non-politique avec les fantaisies judiciaires de notre Ministre Taubira … et les voyous sont heureux !

Il n’y a désormais aucune autre possibilité de rattrapage pour les jeunes immigrés déboussolés et encore moins pour les voyous dans le mesure où le service militaire qui était l’institution par excellence d’intégration sociale et d’apprentissage de la discipline, ne pourra être rétabli pour des raisons de coûts et d’efficacité militaire.

C’est pourquoi il est urgent de reconstruire l’école pour en faire un lieu d’apprentissage du respect pour autrui, de la responsabilité individuelle et de l’estime de soi en même temps qu’un lieu d’instruction des savoirs de base pour aider les jeunes à se construire eux-mêmes et acquérir les capacités de construire leur vie future. Abandonner donc les lubies soixante-huitardes de « l’auto-construction des savoirs », les bourdieuseries éducatives égalitaristes, les caprices et le chahut confondus avec l’expression créative et les niaiseries de la jouissance sans entrave et sans contrainte d’un élève (pardon d’un « apprenant » !) libre dans une école libérée !

Urgent également de remettre la justice dans son rôle de sanction des méfaits et de responsabilisation des individus en particulier des jeunes voyous, en abandonnant la culture de l’excuse conçue comme principal moyen de prévention de la récidive. A cet effet signifier aux juges qu’ils ne sont plus de « gentils éducateurs sociaux » mais des agents de l’Etat chargés de faire respecter les lois et de punir les délinquants et par la même occasion rappeler à l’ordre certaines structures judiciaires comme l’Ecole de la Magistrature et le Syndicat de la Magistrature qui se laissent depuis beaucoup trop longtemps aller à des considérations et comportements ouvertement politisés et certains juges qui se prêtent à des compromissions inadmissibles entre « juges-justiciers » » et « journalistes-justiciers », jetant ainsi le discrédit et le soupçon sur la façon dont la justice peut parfois être rendue dans notre pays.

Le laxisme judiciaire et la politique de dé-construction pédagogique et disciplinaire de l’école menés depuis trois décennies ont également contribué au délitement du sens des responsabilités individuelles et à la déliquescence sociétale qu’on constate aujourd’hui. Deux générations de parents en ont été contaminés depuis la « libération » de 68 et la troisième génération est sous incubation ! Il ne s’agit pas seulement d’un échec à l’égard des jeunesses françaises des différentes générations mais bien d’un crime lorsqu’il s’agit des enfants d’immigrés qui voient ainsi réduites voire annihilées leurs chances de s’intégrer harmonieusement à la société française dans un contexte socio-économique qui n’étant pas celui de leurs parents, empêche ces derniers de leur venir vraiment en aide.

Le gauchisme éducatif et le gauchisme judiciaire ont donc été les principaux acteurs de la déliquescence française et de l’accroissement des inégalités qu’ils prétendaient combattre et on peut légitimement considérer qu’ils ont par imbécillité idéologique commis un crime à la fois contre les populations immigrées et contre la cohésion nationale et l’identité française.

Mais la chaîne de la dé-construction continue son œuvre de déliquescence bien au-delà. La Justice et l’Education Nationale se laissant aller au laxisme égalitariste et à la « bisounourserie » sociale, la Police, les Forces de l’Ordre deviennent à leur tour incapables de remplir leur mission puisque « l’éducation » manque et qu’il n’y a plus de « sanction » ! La Police tourne donc à vide et joue au chat et à la souris avec les voyous qu’elle arrête, relâche et reprend dans un mouvement perpétuel exaspérant. Elle se borne alors à « faire la police » là où il n’y a pas de problème, laissant aux voyous de larges zones de « non-droit » c'est-à-dire de quartiers où l’autorité politique accepte désormais voire suggère ou ordonne que la Police n’intervienne pas « pour éviter les bavures » ou les éventuelles réactions violentes des populations manipulées de ces quartiers où mijote doucement la délinquance et où règnent les petits caïds à la place de l’Etat !

L’ordre public et la paix sociale ne sont plus dès lors une affaire d’école, de justice ou de police mais un scandale de lâcheté politique et de démission de l’autorité publique.

L’exaspération alors monte dans la population des français de souche mais aussi dans la masse des immigrés qui rejettent la chienlit et voudraient s’intégrer en paix pour devenir eux aussi des français à part entière comme tous ceux de toutes origines qui les ont précédés … et pendant ce temps le Front National prospère à la mesure de l’exaspération du peuple, de tout le peuple, français et immigrés étrangers, qui ne sait plus ce que veut l’Etat ni ce que veut la France !

C’est pourtant simple ! Le peuple français ne veut pas que l’identité et la civilisation françaises disparaissent dans un magma ethno-culturel indéfinissable fait de morceaux incohérents de sous-cultures des diverses banlieues du tiers-monde, elles-mêmes sous-produits dégénérescents des cultures de base des pays d’origine. Le peuple français n’est pas près d’accepter que soit ainsi dénaturée sa civilisation européenne gallo-romaine et chrétienne qui est devenue depuis la Renaissance le modèle institutionnel, technique et culturel de la civilisation que tous les pays du monde à commencer par l’Amérique et maintenant la Chine, l’Inde et tous les autres, s’évertuent à reproduire d’une manière ou d’une autre. Le peuple donc ne veut pas de cette civilisation « couscous-nouilles chinoises-pizza-coca-hamburger » qui se répand un peu partout dans les pays peu regardants. Le peuple français dit non à ces monstruosités culturelles mondialisées et il ne veut pas non plus de « tribalisation » communautariste.

 

Que faire alors si on refuse la dégénérescence culturelle, la chienlit et la guerre civile ?

« Surveiller et punir ? » comme s’en offusquait Michel Foucault, un de nos faux-penseurs et dé-constructeurs normaliens responsables de la pagaille intellectuelle qui nous a amenés à la déliquescence actuelle. Oui bien sûr ! Mais il faut à la France une politique d’ensemble où l’action ne soit pas seulement rêvée en théorie en vertu d’a-priori artificiellement posés mais dictée par la réalité et les circonstances. Une politique menée par un « Chef » capable de bien cerner les problèmes et les angoisses du peuple, qui ait le courage de lui expliquer les efforts à faire pour les résoudre et d’imposer aux élites et aux corps intermédiaires en place, toujours réticents au changement, sa vision pour la France.

L’objectif est une République une et indivisible territorialement (attention à « l’européisme » et à la régionalisation ??), socialement (attention aux remugles de la lutte des classes ou à l’uniformisation petite-bourgeoise !!), et culturellement (attention à la magmatisation mondialisante comme à l’éclatement culturel communautarisant !?).

La préservation et le développement de l’identité française et de la cohésion sociale et nationale sont par nature les priorités de la politique de la France et pour cela …

 

Du côté des immigrés, ces derniers doivent comprendre qu’ils ne sont pas chez eux en France contrairement à ce que certains illuminés leur disent et que si les français acceptent de les recevoir, c’est à condition de respecter les lois de la République et de vivre comme les français.

Ils doivent donc s’abstenir d’importer brutalement leurs façons de vivre et leurs comportements traditionnels ethniques ou religieux ou tout au moins ne les pratiquer que dans la sphère privée sans que cela déborde sur la sphère publique et à condition bien sûr que ces façons d’être ou de faire ne soient pas contraires à la loi.

Sur les aspects religieux, les musulmans doivent comprendre qu’aucun commandement, aucun précepte, aucune recommandation du Coran, de la Sunna et plus largement de la chari’a, ne saurait prévaloir sur les lois et principes de la République, libertés individuelles et en particulier liberté religieuse, de pensée et d’expression, égalité des droits et en particulier de l’homme et de la femme, laïcité et en particulier séparation stricte de la religion et de l’Etat, tous principes dérivés des « Lumières » qui ont défini la civilisation des droits de l’homme et de la démocratie moderne à laquelle tend inexorablement le monde du 21è siècle après les soubresauts totalitaires des idéologies communistes et anti-communistes du siècle dernier et les tentatives récentes de régression islamiste ou d’autres intégrismes comme ces invraisemblables dérives bouddhistes anti-musulmanes de Birmanie, hindouistes ou même évangélistes d’Asie , d’Amérique latine et d’Afrique. Le 21è siècle sera peut être spirituel mais il ne doit en aucun cas être intégriste !

Les autorités religieuses musulmanes doivent donc se faire une « ardente obligation » de concevoir et mettre en œuvre d’urgence une réforme profonde de l’idjma’ ou tout au moins un « bréviaire » des pratiques acceptables dans les pays d’accueil non-musulmans pour que les musulmans puissent enfin entrer dans le 21è siècle et vivre comme chacun à notre époque.

… et si quelques pratiquants intégristes souhaitent conserver les façons de faire du 7è siècle et respecter toutes les injonctions ou recommandations, de la chari’a, libre à eux d’aller s’installer dans les pays qui les pratiquent mais qu’ils ne viennent pas empoisonner la vie des musulmans qui souhaitent adapter leur religion au monde qui les entoure comme l’ont fait les autres religions à commencer par celles du Livre !

La responsabilité des autorités religieuses est grande à cet égard et leur action auprès de la communauté musulmane primordiale pour la cohésion nationale et la paix publique. Les «’ulémas », les docteurs de la loi savent parfaitement sur quels textes, traditions et principes s’appuyer pour concevoir cette réforme. Tous les intellectuels musulmans de quelque envergure la réclament du Proche-Orient à l’Afrique du Nord mais beaucoup de ’ulémas et d’imams en sont encore à hésiter, à faire de la « résistance » voire à pratiquer une « taqiya » injustifiable et malhonnête dans leurs rapports avec les autorités politiques des pays d’accueil !

Il faut que cela cesse et on attend d’eux qu’ils légitiment la réforme aux yeux de la communauté musulmane des pays où ils vivent et que les imams la prêchent activement … et ceci sans cette « diablerie de taqiya » que la Sunna a un peu trop laissé se répandre dans le monde musulman si on considère qu’elle n’est légitime que devant l’ennemi et en cas de danger ! Or on me permettra d’affirmer que la France et les français ne sont pas ou ne sont plus « l’ennemi » même s’ils ne sont pas musulmans et n’ont aucune intention de se convertir et que les musulmans de France ne sont pas en danger. La France n’acceptera plus ce genre de « jésuiterie » et de raisonnement mensonger !

Considérons par ailleurs, que les « demandeurs » ne sont pas les français mais bien les immigrés musulmans qui souhaitent s’installer en France d’autant, rappelons-le, que la France n’a démographiquement ni économiquement, aucun besoin d’immigration.

La réforme est une urgente nécessité du 21è siècle si l’islam veut continuer d’exister dans le monde moderne et si les musulmans veulent à nouveau rentrer dans l’histoire qu’ils ont quittée il y a plus de cinq siècles en raison des blocages de leur religion et de leur culture. Qu’ils demandent à leurs autorités religieuses de ne pas s’y complaire et de faire le nécessaire pour sortir de l’immobilisme et pire encore, de la régression islamiste où veulent les entraîner les plus excités des intégristes.

 

Du côté de l’Etat, en France et en Europe, l’urgence est de faire savoir à tous quel est le cadre acceptable dans lequel devra se dérouler le processus immigration-intégration.

Tous doivent connaître les règles du jeu et celles-ci doivent être claires et indiscutables afin que ceux de l’extérieur qui seraient tentés d’émigrer vers notre beau pays, en soient le plus possible dissuadés, que les immigrés déjà présents sur le territoire cessent de récriminer et de causer le désordre au lieu de faire l’effort d’intégration nécessaire et que les belles âmes charitables mais inconscientes des réalités du monde, cessent de les plaindre et de s’aveugler sur les problèmes de cohésion nationale et de paix publique créés par une immigration incontrôlée.

Le cadrage passe d’abord par la maîtrise de l’immigration en fonction des besoins réels du pays récepteur et de ses capacités d’’accueil.

Observons d’abord que la France à la différence peut-être de l’Allemagne, de l’Italie et de l’Espagne n’a aucunement besoin d’immigration. Elle doit donc tendre à la bloquer globalement sauf autorisation de séjour et permis de travail pour échanges économiques, touristiques et culturels normaux entre pays d’un monde ouvert. Au niveau européen, il conviendra de s’accorder sur les besoins quantitatifs et qualitatifs des uns et des autres en matière de compétences sectorielles et prendre les mesures au niveau national afin de renvoyer les migrants extra-européens non désirés dans le pays européen dont il auront obtenu le visa ou directement dans leur pays d’origine.

Rappelons que l’immigration relevant du droit d’asile reste très minoritaire sauf période exceptionnelle de troubles ou de guerre. Elle est ainsi devenue récemment une source significative d’immigration illégale du fait de la lourdeur des procédures de traitement des demandes d’asile et du laxisme des autorités quant à l’expulsion des déboutés du droit d’asile. Ces procédures et le système de reconduite à la frontière doivent être revus d’urgence pour accélérer le processus.

Le cadrage de l’immigration implique par ailleurs, de supprimer ou réduire drastiquement les allocations multiples qui créent un « appel d’air » très mal venu en incitant lourdement à l’émigration, les proches des immigrés qui en entendent parler au pays et commencent alors à rêver d’une France imaginaire ! Il est en effet, inadmissible que les immigrés illégaux reçoivent plus d’allocations d’hébergement et de soutiens divers que les sans-abris français sans parler de l’Aide Médicale d’Etat qui leur assure la gratuité totale des soins médicaux de toute nature et pas seulement des soins d’urgence, alors qu’aucun français n’en bénéficie. De même les retraites attribuées d’office aux vieux immigrés qui s’installent soudain en France sans avoir jamais cotisé ! Ou encore le fait que les immigrés légaux gagnent souvent plus à ne rien faire qu’en travaillant grâce en particulier aux allocations diverses de la Caisse d’Allocations familiales … sans parler bien évidemment des voyous, petits caïds de banlieue voire même « jihadistes » qui émargent à notre généreuse Sécurité Sociale !!!

Tout cela est signe d’un grand désordre social et politique, très destructeur du tissu social, un désordre qui alimente largement la militance et l’électorat du Front National !

Il est donc urgent de réduire ou de supprimer ces « droits » excessifs et mal maîtrisés qui ne font qu’alimenter les flux migratoires vers la France, encourager le « non-travail » et au-delà, les récriminations et les réclamations pour toujours plus de droits avec l’appui des associations gauchisantes d’aide aux immigrés voire clairement immigrationnistes. Ces associations ne font que cultiver des dérives et jouent objectivement contre l’intérêt supérieur du pays et in fine, contre celui des immigrés eux-mêmes. A leur égard, il faudra remettre bon ordre dans la distribution des subventions qui leur sont octroyées par les diverses autorités et certaines devront même être interdites et dissoutes !

Pour compléter cette politique tendant à l’immigration « 0 », la France et ses partenaires européens devront recadrer et redynamiser leur politique de coopération au développement visant à aider les pays d’émission de l’émigration à créer suffisamment d’emplois et tarir ainsi au moins en partie, la source d’émigration de pauvreté, réelle et maintenant de plus en plus « ressentie », qui monte dans le monde. L’aide accordée dans ce but devra naturellement être sévèrement mais surtout sérieusement mise sous contrôle afin de garantir le maximum d’efficacité dans le choix des investissements et d’efficience dans la gestion financière ce qui est pour la plupart des gouvernements aidés, une préoccupation très secondaire par rapport à leurs priorités politiques, tribales, claniques ou même personnelles ! La coopération internationale en effet, Union Européenne, Banque Mondiale, système onusien, coopérations bilatérales européennes ou américaines, ont si souvent démontré à cet égard leur niaiserie, leur laxisme (souvent politiquement intéressé il est vrai !) et leur imbécillité bien-pensante dans la gestion de leur aide qu’on n’insistera jamais assez sur ce point !

En échange néanmoins de cette aide, il faudra convenir avec les Etats des conditions et modalités du renvoi organisé et systématique dans leur pays d’origine, des migrants illégaux.

Après la mise sous contrôle de l’immigration proprement dite, c’est le processus d’intégration et assimilation des populations immigrées qu’il faut mettre en place.

Intégration, cela signifie respecter les lois, coutumes et modes de vie de la population d’accueil en l’occurrence le peuple français. S’il y a critique ou rejet voire trouble à l’ordre public, c’est que la population immigrée ne se comporte pas comme il faut. « Ceux qui apportent du beau et du bien, on les accueille à bras ouverts » rappelait le Général de Gaulle. Bref on ne vit pas en France comme au bled ou dans la brousse !

Pour éviter les dérives ultérieures, il importe d’être intraitable sur le comportement des populations immigrées en particulier des « jeunes » et appliquer fermement la « tolérance « 0 » pour ce qu’on appelle par euphémisme bien-pensant des « incivilités » (injures, indiscipline à l’école, manque de respect aux professeurs, nuisances sonores de voisinage, tagage d’immeubles, port illégal du voile, du niqab ou de la burqa, manque de respect à l’autorité, …) qui conduisent tout naturellement au délit voire au crime, (manifestation qui dégénère, pillage de magasins, incendie de voitures, destruction de biens publics, trafic de drogues, banditisme, viol, caillassage ou attaque de policiers et autres agents publics, etc …).

L’objectif premier est de redonner son efficacité à l’action policière dans sa double mission de répression judiciaire mais aussi de maintien de l’ordre ce qui passe d’abord, par la remise en ordre du système judiciaire avec l’abandon de la politique de l’excuse et le recadrage des dérives politiciennes qui sont apparues dans le corps judiciaire et en second lieu, par la reconstruction de l’Education Nationale et le rétablissement de la discipline à l’école dont l’état de délabrement empêche toute véritable intégration culturelle et sociale des enfants d’immigrés.

En complément de ces mesures de redressement d’ordre institutionnel, il sera probablement nécessaire dans certains endroits de procéder à une véritable « reconquête des quartiers de non-droit », au besoin en utilisant les forces armées pour « boucler et nettoyer » lesdits quartiers. Et si les troubles à l’ordre public devenaient tels que la sûreté de l’Etat soit mise en danger, il ne faudrait pas hésiter à recourir aux mesures d’urgence, voire à l’état d’urgence en créant des juridictions d’exception habilitées et capables de traiter vite et fort les auteurs d’atteinte à la sûreté de l’Etat républicain.

Au coeur du processus d’intégration, on rencontre tout spécialement en France où l’immigration musulmane est très forte, le délicat problème du cadrage des pratiques islamiques.

L’islam en effet a une appréhension globale et assez totalitaire de la vie de l’homme musulman et a donné un caractère impératif et très littéraliste aux « interprétations » sur lesquelles s’est opérée l’idjma’, le consensus des docteurs de la loi, après la mort du Prophète. Cela crée des obstacles à l’intégration qu’on ne rencontre pas dans les autres religions et philosophies de vie.

Les tabous, les interdits (alimentation, alcool, sexe, jeu … ), obligations plus ou moins strictes (prières, ramadan, séparation homme-femme, voile, etc…) ne doivent pas empêcher les musulmans de vivre comme les autres français afin d’éviter de provoquer gêne ou rejet de la part de ces derniers, pouvant dégénérer en trouble à l’ordre public au cas où quelques musulmans plus intégristes prétendraient imposer leurs pratiques dans le voisinage non seulement à leurs co-religionnaires mais aussi dans la sphère publique.

Cela ne saurait évidemment être toléré d’où les remarques déjà faites à propos de l’adaptation de l’idjma’ aux modes de vie du 21è siècle et quant à la nécessité d’un strict cadrage des pratiques islamiques aussi bien à l’école que dans l’entreprise ou dans la rue considérant que l’Etat et la religion sont en France, strictement séparés et que la religion relève de la sphère privée sans pouvoir déborder sur la sphère publique.

C’est en effet, le devoir des musulmans de faire l’effort d’adaptation nécessaire pour s’intégrer correctement à la société française et s’y faire accepter.

C’est par conséquent le devoir des autorités religieuses et en particulier des ‘ulémas de concevoir les adaptations nécessaires au monde moderne et des imams de les prêcher et de calmer leurs sauvageons et leurs croyants intégristes qui ne voudraient pas se soumettre à la règle.

C’est enfin, le rôle de l’Etat et en particulier du Ministère de l’Intérieur et des Cultes de faire en sorte que les premiers ne créent pas le désordre et que les seconds prêchent dans le bon sens sans hésiter à les sanctionner sévèrement (prison pour les français, expulsion pour les étrangers) si d’aventure ils prêchaient dans le mauvais sens !

Au bout du processus d’intégration, on passe éventuellement à la phase d’assimilation ou « francisation ».

Il ne suffit plus alors de simplement respecter la loi et d’être accepté par ses voisins français, il s’agit de « se vouloir » et plus encore de « se sentir » français c'est-à-dire faire sienne l’histoire de France avec ses heurs et malheurs, ses défauts et ses grandeurs … loin donc de ces impardonnables manifestations de « jeunes français » qui sifflent la Marseillaise lors d’un match France-Algérie ou qui faisant un amalgame politico-religieux malsain, en viennent à agresser les juifs français sous prétexte de défendre la Palestine ! S’ils se sentent algériens ou palestiniens qu’ils émigrent en Algérie ou en Palestine de la même manière que ceux qui veulent absolument pratiquer la chari’a sont instamment priés d’aller s’installer dans les pays musulmans qui la pratiquent !

Dans ce but, il faudra veiller à ce qu’on ne devienne pas français sans vraiment le vouloir comme il se produit trop souvent aujourd’hui par le jeu de l’automaticité quand il arrive qu’on naisse sur le territoire français de parents étrangers. Le droit du sol crée de la sorte des français qui ne se sentent pas vraiment tels et des problèmes graves dans les territoires et départements d’outre-mer, Mayotte et Guyane en particulier, où les ressortissants des pays voisins se précipitent pour accoucher avec en prime la nationalité française pour leur enfant !

Cela implique donc de ramener le droit du sol à un simple droit à la candidature à la nationalité et non à la nationalité française automatique ou sur simple déclaration. La nationalité devra désormais n’être octroyée qu’en vertu d’une demande explicite et motivée du candidat et à la suite d’un parcours d’intégration sans faute et dument vérifié qu’il soit né ou non sur le sol français.

 

En conclusion, il doit donc être clair pour tous, français de souche, immigrés et enfants d’immigrés que le séjour et plus encore la naturalisation se méritent et doivent être justifiés ou confirmés par des comportements exemplaires hors desquels la sanction sera immédiate jusqu’à l’incarcération pour ceux qui sont déjà français ou l’expulsion pour les étrangers.

Tous doivent se pénétrer du fait que la priorité pour la France et le peuple français est et sera toujours la cohésion sociale et nationale et qu’ils ne tolèreront ni chienlit ni désordre et ceci d’autant moins qu’ils n’ont aucun besoin démographique ni économique d’immigration et ne sont donc pas demandeurs.

Avis aux belles âmes immigrationnistes qui par « bien-pensisme » généralement politisé ou générosité trop souvent intéressée, sont prêtes à sacrifier la cohésion sociale et l’identité française à des lubies qui vont à contresens du souhaitable et du faisable compte tenu des réalités démographiques, économiques et culturelles du monde actuel ! Elles sont avec la complicité du parti et du pouvoir socialistes, les pourvoyeurs les plus efficaces des flux qui vont au Front National !

Avis aussi aux immigrés ou candidats potentiels à l’immigration qui doivent comprendre qu’ils ne sont pas vraiment les bienvenus et qu’ils seront astreints à une discipline et des efforts considérables très loin de l’eldorado dont ils rêvent trop souvent au lieu de tenter d’exploiter ce que peut leur offrir leur pays d’origine !

Avis encore à nos partenaires européens avec lesquels il faudra réviser nos accords de libre circulation y compris celui de Schengen de façon à coordonner étroitement nos politiques d’asile, de cadrage de l’immigration ordinaire et de circulation des étrangers ainsi que de coopération-développement avec les pays d’origine en y incluant les accords de sanction-expulsion de leurs ressortissants non désirés !

Avis au Front National dont la source majeure de recrutement militant et électoral, vient de l’incurie du gouvernement français et de l’incapacité des Etats européens et de la Commission de proposer et mettre en œuvre une politique efficace de contrôle de l’immigration et de cadrage du comportement des populations immigrées !

Avis enfin, à nos dirigeants de droite dont certains n’ont apparemment pas encore compris que le thème de l’immigration et son corollaire islamique, étaient d’une importance première pour l’avenir du pays et qu’ils doivent s’apprêter à mener une politique forte à cet égard. Ils devront pour cela « aller au peuple », au fond et à l’essentiel en s’appuyant sur une droite forte qui ne s’encombre pas des pudibonderies, hésitations et bons sentiments d’un certain « bien-pensisme » socialo-centriste qui empêche l’action !

Le Président de 2017 ne devra pas avoir peur d’agir et la droite doit redevenir la droite qu’elle n’aurait jamais du cesser d’être après avoir fait l’erreur d’abandonner le thème de l’immigration et de l’islam au FN il y a bientôt trente ans !!!

Actualités