L'action, ce sont des hommes au milieu des circonstances ! (Charles de Gaulle)

La "gauche et les arsouilles" ! le peuple ne pense plus à gauche et elle s'affole ! (21 Mai 2014)

La "gauche et les arsouilles" ! le peuple ne pense plus à gauche et elle s'affole !

Pour nous réveiller des "mielleuseries" ou poncifs de la "campagne" européenne et revenir aux réalités françaises, reprise d'un article du 16 mars 2014, paru sur facebook.com/eurocooperation  !

 

"Ah oui, l'arsouille" : c'est le qualificatif dont De Gaulle avait affublé Mitterand alors qu'un de ses interlocuteurs lui contait une des dernières acrobaties politiques de ce dernier, dans le style attentat de l'Observatoire, stade Charléty ou autre turlupinade ...

Pourquoi en effet,ce comportement oxymorique d'une gauche qui ne cesse de prêcher  "sa" morale à tous mais se comporte chaque jour en "arsouille"?

Son côté petit-bourgeois l'empêche sans doute de penser, voir et faire "grand". Elle est donc très attentive à ce que personne d'autre ne le fasse à sa place et si quelqu'un s'y risque, elle sort toute sa batterie de poncifs bien-pensants hérités de ce brouet culturel christo-marxiste banalisé et médiocrement soixante-huitardisé  qui la pousse à proférer des incongruités sur la "république en danger", "les heures sombres de ladite république", le "fascisme", le "racisme", "l'injustice des inégalités", "les droits de tous et de toutes à tout et n'importe quoi", etc ...

Mais ce gauchisme insatisfait, boboïsant et bisounours pour les siens, devient agressif avec ceux qui ne pensent pas bien, ceux qui renvoient les  insatisfaits à leurs responsabilités propres, qui pensent que tout n'est pas nécessairement la faute des autres ou le dû d'une société désormais axée sur la facilité sociale et la permissivité sociétale. Bref, ceux  qui pensent que notre société de "gosses de riches" doit se secouer pour faire face aux défis économiques, sociaux, sociologiques et culturels du monde nouveau, aux milliards d'individus qui nous guettent depuis leurs bidonvilles miséreux du tiers-monde et dont il faudra être capable de cadrer les flux, les pulsions et les ambitions qui risquent bien vite de nous déborder puis de nous engloutir si nous ne réagissons pas à temps !

 

Alors, la gauche est partagée entre ceux qui se laissent encore abuser (de bonne foi ou par facilité) par les lubies et bons sentiments où elle se noie et les arsouilles, les malhonnêtes qui mentent et qui combinent pour tromper les premiers !
Hollande a ainsi été élu sur un mensonge et ses comparses, complices ou concurrents défaits sont allés à la soupe, contents de "parvenir" mais inconscients qu'ils étaient de la bataille qu'il fallait mener.
Las, n'étant pas taillés pour la bataille de France, ils se contentent de petites vengeances et de "coups" destinés à empêcher de "revenir" ceux qui, précisément, pourraient la mener !
Hollande donc procrastine pour éviter de prendre les  décisions qui mécontenteraient définitivement son électorat et lui feraient perdre toute chance de maintenir sa médiocrité au pouvoir en 2017. Ayrault gère la "discorde au gouvernement" tout en cherchant  à la répandre "chez l'ennemi". Peillon, Valls, Taubira ou  Montebourg amusent le peuple avec des coups de menton ou des faux-semblants de réformes dont personne ne veut vraiment mais qui permettent à ce pouvoir débile de masquer son incapacité d'agir pour donner la priorité à son unique préoccupation : ne pas mécontenter ses clientèles électorales du secteur protégé, de la fonction publique et du secteur para-public syndicalisé, des français de la diversité récente et des minorités  homo-écolo-bobos. Terra Nova leur a montré la voie du "socialisme  moderne" et ils s'en satisfont !
Le grand, le beau, le noble but de ces petites arsouilles est de garder le pouvoir et les places !

Mais au-delà de ce "socialisme du ventre", grouillent les "arsouilles" activistes, les fantassins d'une idéologie sectaire qui fait passer sa bien-pensance sociétale et ses idées fausses sur l'économie avant l'essentiel, les besoins des hommes de ce pays, l'avenir de la France elle-même et la construction d'une Europe capable  de faire face aux défis du monde nouveau !
C'est la  gauche à contre-sens des réalités du monde avec ses fachos de la bien-pensance socialiste comme il y a ceux de la bien-pensance environnementale (les excités  anti-OGM, anti-nucléaire, et autres anti-... !), ceux de l'islam intégriste qui égorgent ou convertissent de force au nom de leur dieu, et comme il y avait ceux des crimes de masse des divers communismes ou autrefois, les bûchers de l'Inquisition ! Tous prétendent imposer aux autres, leurs  lubies ou leur folie interprétative et ceci  pour le bien du peuple ... et si besoin contre le peuple !
Nous y sommes avec Madame Taubira et le Syndicat de la Magistrature qui affiche  ses préférences partisanes au risque de faire douter de l'impartialité de la justice ou Monsieur Peillon avec ses "pédagogistes" post-soixante-huitards qui ont déjà ruiné l'école de la république ou Madame Vallaud-Belkacem avec ses féministes et ses obsessions de genre homo-familiales (ou ses prostituées dont elle tarit la clientèle en voulant la punir !) ou encore Monsieur Valls qui veut "nationaliser" les immigrés pour les  aider à mieux s'intégrer au lieu de faire l'inverse.
Inconséquence et contresens socialistes dans la pensée comme dans l'action !!!!

Et encore au-delà de ce sectarisme fascisant qui cherche à "conditionner" les  français, grenouillent les  "arsouilles" qui  cherchent à abattre l'ennemi politique. Ce sont les forces spéciales, les "snipers" du socialisme !
On les voit derrière les coups montés contre l'entourage et contre celui d'entre les "ennemis" qui est le plus dangereux pour eux, Nicolas  Sarkozy. Une première  vague de coups de main avait piteusement échoué entre le printemps et l'automne 2013 ("affaires" Bettencourt, Tapie, Karachi, Kadhafi). On cherche donc à les relancer ou à en trouver d'autres en balayant tous  azimuts grâce  aux agendas de l'ex-Président que la Cour de Cassation ne veut pas rendre malgré le "non-lieu Bettencourt" et en y ajoutant la mise sur écoute (à vie ?!!) de Nicolas  Sarkozy ... (au  cas où ! car les juges n'ont aucun indice grave et concordant autre que le  fait qu'il connaisse un magistrat proche de  la CC, qui justifierait qu'ils requièrent une telle mesure !!!), mise sur écoute étendue bien évidemment à ceux avec qui il communiquait y compris ses avocats ce qui a déclenché un tollé des barreaux et des juristes de toute la France !
Ajoutons-y la disparition ou divulgation de documents de l'ancien Président qui n'ont toujours pas été archivés et qui ont donc été fouillés à l'Elysée sans autorisation judiciaire, les mensonges de Madame Taubira (Ministre de la Justice !) prétendant ignorer les écoutes ordonnées par les juges, la réflexion incroyable du Président Hollande ("je le surveille, je sais tout ce qu'il fait" !), et enfin l'acharnement de certains juges dont on peut craindre qu'ils ne soient mus par un désir de vengeance à l'encontre de l'ancien Président qui les avait quelque peu secoués et/ou par des motifs politiques ou des biais idéologiques aussi peu avouables plutôt que par leur haute idée d'une justice impartiale, égale pour tous et rendue dans l'intérêt du peuple et de la nation ! Et on revient ici au scandale  du  "Mur des Cons" du Syndicat de la Magistrature pour lequel la Présidente dudit syndicat vient d'être mise en examen, affaire d'Etat qui a  jeté le discrédit sur la justice française puisqu'on ne peut plus désormais jurer que nos juges ne soient pas sensibles jusque dans leurs jugements, à des dérives idéologiques ou politiques gauchisantes inacceptables.

Le seul fait qu'un soupçon puisse exister d'une probable manipulation de l'Elysée, du Ministère de l'Intérieur ou du Ministère de la Justice pour lancer les juges aux trousses d'un homme dont ils ont peur et que ceux-ci s'octroient des pouvoirs d'investigation inhabituellement étendus alors qu'aucun péril en la demeure ne le justifie
ni qu'ils aient apparemment en mains des "indices graves et concordants", est en soi un "scandale d'Etat" !

Au sommet de l'Etat, on a  peur du retour de Nicolas Sarkozy. Aux échelons inférieurs du gouvernement et du Parti on a peur de perdre sa place et la gauche panique en constatant la désaffection qui la frappe car le peuple ne suit plus ayant été outrageusement trompé sur les points essentiels, l'économique et le  social, et mené en bateau sur les points accessoires, les lubies sociétales du nouveau  socialisme. Cette peur a créé un environnement si délétère que les activistes de la  bien-pensance se sont transformés en agressifs "gardiens du temple" quitte pour certains, en particulier les journalistes et les juges, à utiliser sciemment ou inconsciemment les moyens de leur fonction qui est d'intérêt public voire de service public, pour un combat politique douteux et éminemment condamnable en toute déontologie et en bonne démocratie.

Notre justice dérive donc vers la pratique dangereuse d'une justice idéologisée à laquelle notre bien-pensance de masse ne trouve rien à redire tant les esprits en sont imprégnés ! Le pas n'est pas encore franchi d'une justice politique mais pour l'éviter, il est urgent de remettre de l'ordre dans l'organisation de notre justice en redonnant vigueur aux principes fondamentaux du droit quitte à envisager si nécessaire, les réformes constitutionnelles  adéquates :  devoir de réserve et abstention politique des juges, remise en cause du droit de se syndiquer et du droit de grève des magistrats qui leur avait été imprudemment octroyés il y a quelques décennies dans la foulée des délires soixante-huitards au risque de compromettre les principes de neutralité, d'impartialité et continuité du service public de justice.
On devrait d'ailleurs rappeler ces bons principes aux journalistes du service public de l'information qui se comportent beaucoup trop  souvent en véritables "petits flics" de la bien-pensance ce qui est inadmissible dans le service public et devrait être sévèrement sanctionné.
Voir quelques articles sur le thème des "juges-justiciers" et des "journalistes-justiciers" (http://facebook.com/eurocooperation) qui se croient investis d'une  "mission"  à la manière des pires intégristes ou se prennent pour les "croisés des principes républicains" tels qu'ils s'octroient le droit de les interpréter et de les imposer à tous  les "mécréants" ! Dans ce rôle douteux, on peut ranger les "Zorros" de Mediapart, la plupart des journalistes de France Inter et des journaleux  de Canal +, beaucoup d'émissions politiquement très orientées d'Arte, France 2 et FR3 ... et parmi les juges, ceux qu'on peut raisonnablement soupçonner d'avoir délibérément et massivement engagé le  fer contre Nicolas Sarkozy, son entourage et quelques  responsables de l'UMP dans la seule intention de nuire c-à-d sans avoir en mains plus "d'indices graves et concordants" que pour les prétendues "affaires" qui se sont promptement dégonflées en 2013 après avoir fait la une des journaux grâce aux fuites organisées !

Qui est alors le plus turpitudineux ? Celui qu'on cherche à traîner dans la boue et qui bénéficie d'un non-lieu  ? le juge ou le journaliste qui se prête à ce jeu dégradant au mépris de l'honneur de son métier ? ou encore les arsouilles politiciennes qui, par derrière, montent ces coups pour tenter de démolir un adversaire qu'elles ont peur de combattre loyalement ? Ce sont eux qui attentent aux principes républicains dont nous bassine cette gauche bien-pensante !

Rétablir la République mise à mal par la gauche française, De Gaulle et la droite l'ont déjà fait deux fois en soixante ans : il n'est pas besoin pour cela de changer de "république" ! Il faut seulement changer de Président et de gouvernement pour que la France remonte sur les hauteurs au lieu de s'abîmer dans la médiocrité et les basses eaux !

 

 

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