L'action, ce sont des hommes au milieu des circonstances ! (Charles de Gaulle)

Eradiquer la gaucho-bien-pensance ... pour redresser la France, la rétablir dans son rôle séculaire de puissance-pivot en Europe et faire de celle-ci la puissance mondiale de référence du 21è siècle ! (24 Septembre 2017)

Seule une droite forte le pourra … et à droite, qui sinon Laurent Wauquiez ?

La France est entrée en gaucho-pensance avec nos "intellectuels" d'après-guerre. Leurs clones soixante-huitards en ont fait une gaucho-bien-pensance très ramollie sous l’aspect gaucho mais transcendée en un totalitarisme intellectuel auquel il est devenu impossible d’échapper d’autant qu’est venue s’y raccrocher dans les dernières années, la très branchée nouvelle religion du boboïsme écolo-droit de l’hommiste ! Hors des élucubrations de cette pensée « complexe » à l’intellectualisme hors sol que n’aurait pas manqué de moquer Simone Weil, il n’est point de gauche ni donc de salut !

« Facho » est désormais l’appellation mal contrôlée de tous ceux qui ne pensent pas ou ne se comportent pas comme les bobos bien-pensants. De ces « fachos », il y a quantité de sous-produits comme les « racistes », les « xénophobes », les « islamophobes » mais aussi les « homophobes », les « anti- ou plutôt les non-féministes », les « négationnistes ou simplement sceptiques des causes humaines du réchauffement », ou encore les « néo-colonialistes », les « exploiteurs qui s’enrichissent sur le dos de la pauvre Afrique » et plus généralement les riches et les privilégiés qui se reproduisent avec l’argent des pauvres selon les révélations « bourdieusiennes » et ce qui est devenu maintenant le catéchisme discutable des « inégalités croissantes » imaginées par le mage Piketty !

L’Allemagne a maintenant rejoint la France dans le marécage de la doxa gaucho-bien-pensante mais avec moins de bruit et de fureur que n’a déployé en France, la kyrielle de nos faux-penseurs soixante-huitards. L’Allemagne n’est pas malade de ses faux-penseurs mais du ressassement intime de son passé nazi et de sa folie raciale et nationaliste. Elle a renoncé à la grandeur en tant que puissance et s’est concentrée après la guerre sur le développement des vertus bourgeoises du travail bien fait et de la bonne gestion privée et publique. Elle est de ce fait bien gérée économiquement et financièrement alors que la France ne l’est pas ou ne l’est plus depuis les années 80 lorsque la gauche a repris la main sur la scène politique française. En revanche, et plus encore que la France, l’Allemagne est capable de grandes bêtises ou imprudences au plan européen et international comme on l’a vu avec son comportement égoïste et suicidaire pour l’Europe, lors de la crise de 2008-12 ou plus récemment avec l’abandon hors de propos du nucléaire allemand et pire encore, avec ses lubies immigrationnistes suite à l’échec des mouvements dits de la révolution arabe des années 2011-12.

« L’Europe disait de Gaulle, c’est la France et l’Allemagne ! Unies elles feront l’Europe. Désunies, elles disparaîtront avec elle » ! Le couple Sarkozy-Merkel a montré le chemin de l’Europe-puissance en faisant face avec succès à la crise mondiale 2008-12 et en instituant entre Paris et Berlin un véritable directoire de l’Europe. Hélas, la France, entraînée depuis lors dans la spirale de la déliquescence économique, financière, sociale et sociétale du désastreux gouvernement de la gauche hollandesque, a perdu toute crédibilité et n’est plus capable de cadrer les velléités ni de surmonter les blocages ou les faiblesses de Berlin comme cela fut fait par Nicolas Sarkozy face à Angela Merkel lors de la crise récente à propos du sauvetage de la Grèce, de l’Irlande ou du Portugal ou encore de l’extension du rôle de la Banque Centrale Européenne ou comme de Gaulle l’avait fait avec Adenauer voire Giscard ou Mitterand face à Schmidt ou Kohl.

Le retour de la France sur la scène mondiale et à la tête de l’Europe passera donc par le redressement du pays au fond et non par une vaine tentative de séduire quelques politiciens ou faiseurs d’opinion français et étrangers par quelques coups de com’ plus ou moins subtils ! Il ne suffit pas en effet, de faire illusion par l’image tout à fait irréelle d’un nouveau Kennedy au motif qu’un jeune prodige français devenu Président par les caprices d’un joli mois de Mai, aurait sorti de la panoplie des vieilleries politiques éculées, cette mirifique trouvaille du « ni-droite-ni-gauche-tout au centre » et ainsi épargné à la France et au monde « l’horreur populiste » qui faisait trembler la gaucho-bien-pensance française et internationale. Emmanuel Macron flotte sur son nuage pour l’instant, mais rien n’est encore fait au fond et cette première tentative de réforme, cette « loi travail » dont on fait tant de cas, n’est en fait qu’une toute première pièce du dispositif de réforme économique et sociale à mettre en œuvre. Le secteur public dans son ensemble, reste à réformer pour diminuer le poids de la dépense publique, vache sacrée de la gauche française et mère de toutes les facilités et de tous les abus, qui bloque l’économie et l’emploi sous les charges et les impôts qu’on impose aux entreprises et au peuple pour la financer. Il y a encore, et d’un même niveau de priorité et d’urgence, le rétablissement de l’autorité de l’Etat pour assurer la cohésion nationale en cadrant sévèrement la problématique « immigration-islam » et en finir avec ses désordres et ses pratiques hors la loi, en corrigeant aussi les dérives gaucho-pensantes d’une partie du corps judiciaire qui a pris l’habitude de biaiser l’application de la loi dans le sens du laxisme, de l’excuse sociale voire d’une politisation pure et simple de ses décisions de justice, en rappelant enfin, aux medias publics qu’ils sont astreints à un strict devoir de réserve dans le cadre de leur seule mission d’information dont on ne saurait tolérer qu’elle dérive en un exercice de propagande idéologiquement et politiquement orientée !

De tout cela, on peut légitimement douter que le Président Macron ait bien conscience dans la mesure où son discours reste au niveau d’une com’ politique assez basique dont les accents sonnent aussi faux que le contenu est vide et la conviction absente ! Le peuple commence à percevoir de plus en plus clairement que le jeune Président de rencontre qu’il s’est imprudemment donné, ne sent vraiment ni la France ni les Français ! Le doute s’accroît encore en pensant à sa volonté réelle d’agir sur tous ces points cruciaux pour l’avenir du pays tant ses actes s’avèrent à chaque fois d’une timidité et d’une inconsistance plus proches de mesures en trompe-l’œil, de rhabillage de mesures déjà existantes voire « d’arrangements mitigés et incertains » avec ceux qui pourraient s’y opposer que de mesures claires et fortes qu’il appartiendrait à un pouvoir digne de ce nom, de décider et mettre en œuvre sans faiblir !

Si la gauche en s’obstinant à penser faux et agir à contresens au cours des cinq dernières années, a encore une fois démontré son incapacité à gérer proprement le pays, si les espoirs qu’une partie des Français ont placé en Emmanuel Macron Président en l’encensant comme le « grand réformateur de la France et du monde » qu’il prétend être, risquent d’être bientôt déçus nous ramenant à la saga de l’impuissance et de la déliquescence hollandesques, il apparaît de plus en plus évident que seule une Droite forte serait capable de sortir la France de l’ornière où elle s’est enlisée pour lui permettre de reprendre son rôle séculaire de puissance-pivot en Europe et de faire de cette dernière la puissance de référence du 21è siècle.

La droite ? Où en est-elle et que doit-elle faire pour se montrer à la hauteur du défi qu’elle doit relever pour la France et pour l’Europe ?

La droite a commencé à faire fausse route lorsque Jacques Chirac a renoncé à parler des vrais problèmes et à les traiter, à savoir au tournant des années 90 pour l’immigration et l’islam et lorsqu’il a lâché Juppé lors des grèves de 95 pour la réforme de l’Etat et le redressement de la compétitivité de l’économie française. Depuis lors, la droite s’est enferrée dans l’erreur stratégique d’une « centrisation » suicidaire qu’Alain Juppé s’obstinait encore à soutenir lors des primaires de la fin 2016 ! Le Front National n’a donc cessé de recruter à droite dans la mesure exacte où nos électeurs exaspérés ne pouvaient plus supporter une droite qui s’amollissait progressivement dans l’inconscience voire le déni des réalités économiques et sociales et sous l’emprise des éléments centristes ou « centrisés » de sa majorité qui n’arrivaient pas à se décider à agir ! L’UMP est ainsi devenue l’UMPS pour le plus grand profit du Front National.

On ne peut comprendre tant d’obstination dans l’erreur et tant de mollesse dans le discours et l’action politique que si l’on admet la contamination progressive de la droite française par la gaucho-bien-pensance soixante-huitarde et la fureur dé-constructrice qu’elle répandait dans tous les secteurs de la société française en confondant liberté et libertarisme, égalité et égalitarisme et fraternité et bisounourserie.

A contrario, le Front National a reculé pendant le mandat de Nicolas Sarkozy en raison de la fermeté de ses positions concernant les problèmes d’immigration et de cohésion nationale, d’autorité de l’Etat et de recadrage européen face à Bruxelles. Il en a été de même dans les deux régions Auvergne-Rhône-Alpes et Pays de la Loire lors des élections régionales de 2015 où il se trouvait que Laurent Wauquiez et Bruno Retailleau avaient pris des positions très fermes sur ces mêmes problèmes ainsi que sur les réformes économiques et sociales qu’il convenait de mettre en œuvre pour redresser le pays.

Quoi que peuvent en penser nos amis d’une droite plus molle ou tentée par ces fameux mais trop souvent pernicieux voire dangereux « accommodements raisonnables » avec l’adversaire ou l’ennemi déclaré, une droite ferme et forte est donc le meilleur et le seul rempart contre les avancées du Front National et donc les aventures qu’il fait miroiter à un électorat déboussolé par sa mollesse et ses hésitations.

Oui, chers Alain Juppé, Valérie Pécresse ou Xavier Bertrand, l’UMP a été un échec stratégique aussi désastreux qu’indiscutable dans la mesure où la droite a renoncé à être la droite pour complaire d’une part, à ses alliés du centre nouvellement intégrés mais pas suffisamment « assimilés » et pour satisfaire d’autre part, aux coquetteries bien-pensantes de certains de ses membres sensibles à ce nouveau catéchisme politique insidieusement répandu par les prêcheurs d’une gauche aussi perverse et destructrice qu’elle pensait faux !

Alors, chers amis de droite qui, comme Alain Juppé, Valérie Pécresse ou Alain Bertrand, vous dites de droite mais avez du mal à l’assumer et à le démontrer, vous qui osez vous répandre sur les ondes en déclarant que Laurent Wauquiez est un dangereux « droitisateur » de la droite et qu’il ne pense qu’à « s’allier avec le FN », que pensez-vous de cette déclaration de Florian Philippot qui traite Wauquiez d’abominable « immigrationniste et européiste » !!! Qui délire ? Vous ou Philippot ? Les deux sans doute ! Alors, chers amis revenez sur terre et si Wauquiez vous fait peur, ce n’est sans doute pas que vous craigniez beaucoup pour la France et le peuple français mais ne serait-ce pas plutôt pour votre carrière politique et votre ego ?    

La refondation de la droite passe donc par le rassemblement de toutes les sensibilités d’UNE DROITE QUI VEUT REDEVENIR LA DROITE, TOUT SIMPLEMENT, en évacuant aussi bien les pudibonderies et les hésitations d’un moralisme hors de propos que les aventures personnelles, les caprices d’ego et les petites phrases stupides ! Rassemblement et discipline de parti vont de pair !

L’objectif est de redresser le pays et le rétablir la France dans son rôle de puissance-pivot de l’Europe. Cet objectif ne saurait tolérer la moindre hésitation ni une quelconque mollesse. C’est de l’existence même du pays sur la scène mondiale et du rôle futur de l’Europe qu’il s’agit !

Que ceux qui se sentent à la hauteur du défi, se présentent au suffrage des électeurs de droite. Le relever ne sera pas une affaire de sceptiques, d’hésitants ni de mous et encore moins de lâcheurs et de traîtres comme la droite vient d’en subir les affres et la honte.

Pour l’instant, Laurent Wauquiez est le seul à réunir l’expérience, les convictions et le parcours politique susceptibles d’en faire l’homme en qui la droite toute entière puisse placer sa confiance sans risque d’être trahie ni menée à contresens.

Quant au peuple français, déjà trompé par la démagogie de la gauche hollandesque et à nouveau mené en bateau par la logorrhée macronienne d’un « progressisme » internationaliste et multiculturaliste sans racines ni consistance, il prend conscience peu à peu de l’urgence d’arrêter le processus de déliquescence où sont en train de le plonger les charlatans de la gauche idéologique et de ce faux progressisme artificiel et désordonné. Il fera confiance à qui lui proposera et lui expliquera en toute franchise, les raisons, les objectifs, les voies et les moyens d’une réforme forte pour le redressement du pays afin qu’il reprenne en mains son destin et celui de l’Europe.

… et pour mener ce combat, qui donc à droite sinon Laurent Wauquiez !

Rentrée 2017 : La France enlisée dans la mollocratie bobo-centriste ... Macron et Philippe s'agitent, tout bouge et rien ne change ! (9 Septembre 2017)

La droite molle a échoué, refaire "LA DROITE" ! Laurent Wauquiez en mission pour la France ... Eradiquer la bobo-gaucho-pensance …

Côté Gouvernement, le couple Macron-Philippe essaie de ne pas s’embourber dans son « melting pot » politico-communicationnel où les couacs s’accumulent « en même temps » que le flou persiste sur « la vision ».

On ne la perçoit pas très bien en effet, dans le désordre de toutes ces mesures de bricolage budgétaire et annonces d’importance diverse et à la cohérence très relative, au plan intérieur comme en politique extérieure.

L’inénarrable Bayrou est parti avec ses Modem, Ferrand aussi avec ses turpitudes, c’est la pagaille chez les marcheurs droite-gauche de l’Assemblée et un député macronien fracasse le crâne d’un député socialiste tandis que Mme le Ministre chargée de la « loi Travail » risque d’être bientôt mise en examen dans l’affaire du voyage à Las Vegas d’Emmanuel Macron lorsqu’il était Ministre ! Du coup plus personne ne parle de « moraliser la vie publique » !!! Le ridicule ne tue plus en France mais les sondages sont sur la mauvaise pente ! 

Sur la loi Travail, on ne sait toujours pas très clairement où on en est des « accommodements raisonnables » avec les syndicats ni si on aboutira à quelque chose d’effectif au bout du parcours sans bien se rendre compte que ladite loi Travail n’est qu’une bien petite partie du programme des réformes à mener. L’essentiel en effet, tient dans la réforme du secteur public dans son ensemble afin de purger sévèrement la dépense publique et libérer la dynamique de l’économie et de l’emploi. L’annonce d’une « réforme profonde à la SNCF » signifie-t-elle une réelle volonté de poursuivre et amplifier les réformes Woerth-Sarkozy de 2011-12 sur les retraites et statuts des régimes spéciaux ce qui serait un grand pas en avant ? Ou tient-elle de l’esbrouffe sur quelques détails dans le cadre de la mise en concurrence européenne des chemins de fer et de la « digitalisation/ubérisation » de leur gestion à l’image de la « loi Macron » avortée de 2016 ? Pour l’instant, on traite l’accessoire par bidouillage budgétaire et raclage de fonds de tiroirs d’une très « hollandesque » manière pour essayer très petitement de rester dans les clous du 3% bruxellois ! Les sondages continuent de baisser.

L’autre priorité française est un « cadrage strict de l’immigration et de la pratique de l’islam » afin de garantir la cohésion nationale et la paix publique sur le long terme en assurant l’intégration satisfaisante des immigrés et de leurs enfants et leur assimilation effective avant tout octroi de la nationalité française. A cet égard, la crédibilité du couple Macron-Philippe est nulle dans la mesure où leur boboïsme générationnel penche pour un multiculturalisme ou un mondialisme culturel relevant plus des pulsions de la « gaucho-bien-pensance droit de l’hommiste et repentante » des socialistes et gauchistes divers que d’une réflexion approfondie sur le sujet de l’identité nationale et de la sécurité publique. Parler de lutte contre le terrorisme ne suffit pas, il faut aussi l’empêcher d’advenir et donc bien cadrer la « diversité » afin de réussir son intégration puis son éventuelle assimilation et francisation. L’opinion et donc les sondages n’ont pas encore pris la mesure de cette carence majeure de nos gouvernants actuels. Cela risque d’être difficile pour le « macronisme » dans les mois à venir !

A l’international, notre « Kennedy français » jouit d’une première impression positive de par sa jeunesse et pour avoir soulagé la conscience internationale bien-pensante de ses fantasmes d’une accession au pouvoir du « populisme » en France ! Il a serré comme il fallait la main de Donald Trump et fait des risettes convenables à Angela Merkel en attendant les élections allemandes mais côté russe, Proche-Orient et Bruxelles, on ne voit pas bien la stratégie de rétablissement de la France dans son rôle séculaire de puissance-pivot de l’Europe tant que les problèmes intérieurs français ne seront pas maîtrisés. Combien de temps cette lune de miel durera-t-elle ? Cela dépendra de l’effectivité du traitement que le nouveau Président appliquera aux problèmes pendants du pays pour le redresser. La lune de miel internationale risque d’être courte.

L’image projetée et la com’ politique ne suffisent pas, il faut agir or « l’action, ce sont des hommes au milieu des circonstances » disait le Général de Gaulle. Certes, les circonstances sont là, il est urgent et vital de redresser la France pour qu’elle ne disparaisse pas de la scène mondiale et que son peuple puisse faire face aux défis du 21è siècle mais … avons-nous les hommes ?

Du côté de la droite, c’est la grande lessive dans laquelle les diviseurs, les lâcheurs et les traîtres des derniers mois se sont noyés et où quelques-uns cherchent encore à surnager. La reconstruction se fera autour d’une ligne forte capable de ramener à droite les électeurs qui l’ont quittée, exaspérés par son aboulie et ses insuffisances dans l’action. Laurent Wauquiez est le porte-drapeau de cette droite forte et donc candidat à la Présidence du nouveau parti.

Les ex-(ir)responsables de droite qui sont déjà allés à la soupe, sont en train de dire et faire en tant que ministres, le contraire de ce qu’ils préconisaient pendant la campagne. Ceux qui souhaitent y aller mais n’y ont pas encore été conviés, songent à se regrouper hors droite sans pour cela se faire nécessairement « marcheurs ». Ils réitèrent ainsi les comédies ou farces politiques du genre UDF autrefois ou plus récemment UDI ou Modem avec leurs litanies et lubies de « ni droite-ni gauche tout au centre » ou encore « deux Français sur trois », « majorités d’idées », ou « démocratie participative et société civile ». Alain Juppé avait bien essayé d’en guérir la droite en créant l’UMP dans une vaine tentative d’intégration de ces fantaisies centrisantes. Grave erreur ! Elles n’étaient pas assimilables et leurs métastases ont hélas, très vite amolli et débilité la droite qui au lieu de « fixer » les centristes n’a fait que faire fuir au Front National ses électeurs exaspérés par sa pusillanimité, son aboulie et sa peur d’agir. L’UMP devenait ainsi peu à peu l’UMPS chérie du Front National qui montait, montait, montait s’alimentant sans grande difficulté au réservoir des électeurs de droite insatisfaits … !

Après les désastreux épisodes d’une primaire à droite qui n’avait pour but que d’éliminer le candidat légitime, Nicolas Sarkozy, puis d’une homérique bataille présidentielle de premier tour où quelques indécis et mous de droite ont pris peur et lâché François Fillon lui faisant perdre les deux ou trois points qui l’auraient conduit à la Présidence au second tour, l’horizon s’éclaircit enfin avec la candidature de Laurent Wauquiez à la Présidence du Parti, qui permettra de distinguer clairement qui est de droite de qui fait semblant d’en être !

Malgré les quelques candidatures de témoignage qui ne manqueront pas de se manifester par désir de « servir », par orgueil ou par volonté de diviser pour nuire, Laurent Wauquiez a les plus fortes chances de devenir Président des Républicains.

Faisons le tri dans le « peuple de droite ». On peut légitimement considérer que n’en font plus partie les « soupeurs » de la droite molle déjà passés à la table macronienne comme nos trois ministres à commencer par le Premier, ni les « candidats-soupeurs » façon Solère ou Riester qui sont en train de monter leur petit groupe « collabo-constructif » pour mieux se faire remarquer du pouvoir en place au cas où … ! S’ils y revenaient un jour, ils y seraient naturellement les bienvenus. On n’exigerait pas nécessairement d’eux qu’ils aillent à genoux à Canossa mais on leur demanderait de faire clairement la démonstration qu’ils en auraient fini avec cette détestable manie du « ptêt ben qu’oui, ptêt ben qu’non », propre au centrisme et à la « droite molle » et si communément pratiquée par eux sans même parler des errements d’un François Bayrou saisi par le démon des aller-retours politiques selon la direction du vent à la manière d’un Edgar Faure ! Ce n’est donc pas « au centre » qu’on re-construira la droite comme Alain Juppé s’obstinait hélas, à le répéter il y a encore quelques mois malgré l’échec de l’UMP à cet égard.

Il y a heureusement à droite, des gens sérieux comme Valérie Pécresse ou Xavier Bertrand qui n’ont pas vraiment trahi. Ils ont cependant beaucoup navigué d’un bord à l’autre de la droite et n’ont pas vraiment joué franc jeu avec le candidat Fillon avant le premier tour de la présidentielle ou avec le parti LR lors des législatives. Leur hésitation dès lors, a semé le trouble et l’incertitude dans l’électorat et lourdement contribué à la défaite alors que leur fermeté face à l’adversaire aurait pu compenser aux yeux des électeurs, la trahison des hésitants, des mous et des peureux à la présidentielle et celle des « soupeurs » et « constructifs » aux législatives. Xavier Bertrand comme Valérie Pécresse doivent maintenant cesser leurs jérémiades à propos de la droite forte à qui ils reprochent de « courir après le Front National ». Leur comportement est d’autant plus stupide qu’ils savent fort bien que le FN est né et a grandi de l’exaspération d’un électorat de droite mécontent d’une droite molle qui dans les vingt dernières années mis à part le quinquennat Sarkozy, n’arrivait pas à se décider ni agir fermement sur les deux priorités du redressement national, la réforme socio-économique et donc la reprise de l’emploi d’une part, le cadrage de l’immigration et de l’islam et donc la cohésion nationale et la sécurité publique d’autre part. Vouloir une droite forte qui résolve effectivement les problèmes du peuple et fasse respecter l’ordre républicain plutôt que de sacrifier aux fausses valeurs de la « bobo-gaucho-bien-pensance » n’est donc pas courir après le FN mais bien le seul moyen de le réduire en reprenant au FN nos électeurs qui s’y sont égarés.

Que Valérie Pécresse, Xavier Bertrand et Alain Juppé, cessent de parler de « droitisation » et de « lignes rouges » ! Ces mises en garde adressées à Laurent Wauquiez sont ridicules et injustifiées. Elles ne font que traduire leur erreur de jugement et leur enfermement, conscient ou non, dans une stratégie à contresens qui donne la préférence aux lubies et fausses valeurs de cette « bobo-gaucho-bien-pensance » qui mine la droite depuis des décennies et a conduit le pays à la déliquescence politique, sociale, économique culturelle et sociétale que nous constatons aujourd’hui tout en faisant le bonheur du Front National.

Il ne s’agit pas de « droitiser » pour le plaisir, une droite molle qui refuserait obstinément de se laisser soigner mais de relever le défi du redressement du pays et pour cela de re-construire une droite qui n’ait pas honte d’être ce qu’elle doit être ni peur de prendre au nom de la France et pour le bien du peuple français, les mesures fortes qui s’imposeront même contre les intérêts particuliers coalisés ou les vents contraires de la bien-pensance généralisée. « L’action, ce sont des hommes au milieu des circonstances » disait de Gaulle. Il est des moments où les circonstances exigent qu’on soit fort et parfois brutal ce qui n’empêche pas qu’on puisse être juste au bout du compte puisqu’il s’agit de l’intérêt supérieur du pays ! Nous y sommes et il y a urgence !

Si Valérie Pécresse, Xavier Bertrand et Alain Juppé croient vraiment que leur stratégie est la bonne et veulent une droite « bien-pensante sous tous rapports » plus proche des idées, scrupules ou fantasmes du centre voire de la gauche que d’une droite forte et agissante, qu’ils prennent leurs responsabilités et se portent candidats à la Présidence du nouveau Parti en gestation !


C’est donc au rassemblement qu’il faut appeler pour le choix du futur Président des Républicains.

Cette séquence est inaugurée avec beaucoup d’à-propos et de bon sens par le ralliement de Virginie Calmels à Laurent Wauquiez. Elle jouit d’une expérience concrète, complète et réussie de gestion et direction d’entreprise et n’est donc pas suspecte d’engouement politique inconsidéré « en même temps » (comme ils disent à LREM !) qu’elle n’a rien à craindre des éventuelles leçons sur la « société civile » des pions de toutes provenances, rameutés par le tandem Macron-Ferrand dans cette formation sans consistance où des mouvements browniens désordonnés prennent rapidement le dessus ! Mais surtout, elle vient de la « juppéosphère » apportant concrètement la preuve que cette dernière n’est pas composée que de « soupeurs » ou de mous. Virginie Calmels en effet, vient de confirmer qu’elle rejette absolument l’idée d’une compatibilité quelconque avec la Macro-sphère dans la mesure où le programme de Macron (au cas où il y en aurait un !) n’a rien de commun avec celui d’Alain Juppé ou de la droite en général que ce soit sur les problèmes de compétitivité économique et d’emploi ou sur la problématique immigration-islam et cohésion nationale. C’est un point positif majeur pour le rassemblement de droite qu’on souhaite autour de Laurent Wauquiez.

Il est évident en effet, que la nouvelle droite doit être forte. Elle ne pourra d’ailleurs être forte que si elle est unie autour de son chef. Chapelles, mouvements ou courants ne sont pas dans la tradition de la droite et ne font qu’encourager le bal des ego et la chienlit !

L’unité du parti et sa cohésion seront assurées et doivent être garanties par le rassemblement autour d’une ligne clairement approuvée et respectée par tous ainsi que Valérie Pécresse le rappelait récemment étant entendu que tous ceux qui auront rejoint le parti, se conformeront strictement à la ligne définie et n’iront pas étaler leurs états d’âme voire leurs hésitations, divergences, scrupules, caprices ou susceptibilités sur les ondes ou les plateaux de télévision. Chacun naturellement peut avoir ses préférences et ses amitiés voire ses détestations ou ses colères mais tout cela s’exprime et ne doit s’exprimer que dans l’enceinte du parti et non à l’extérieur.

Sur quelles bases alors définir cette fameuse « ligne du parti » que son Chef, ses cadres et ses militants seront chargés de mettre en oeuvre pour servir la France ?

L’objectif premier sera le redressement du pays dans le but de rétablir la France au plus tôt dans son rôle séculaire de puissance-pivot en Europe et, à terme, faire de celle-ci la puissance mondiale de référence du 21è siècle.

Le redressement comportera deux priorités vitales pour l’avenir du pays. La première est la réforme de l’Etat et de l’ensemble du secteur public pour réduire drastiquement la dépense publique et par suite les charges et les impôts qui pèsent sur les entreprises et les particuliers et bloquent la dynamique économique et l’emploi. La deuxième est le cadrage de l’immigration et des pratiques de l’islam pour sauvegarder et garantir la cohésion nationale, la sécurité publique et l’identité française.

L’approche sera fondée sur l’unité et la discipline du Parti. Une discipline à laquelle chacun doit s’astreindre au sein du Parti. La parole y est libre à l’intérieur mais on ne s’exprime à l’extérieur que si on y a été commis par le Parti ou en conformité avec les options du Parti. Ceux qui ne seraient pas ou plus en accord avec ses options, devront le quitter ou seront expulsés. On ne laissera pas s’installer le doute, la zizanie ou la chienlit ! La droite en a trop souffert. Elle en a même perdu le pouvoir !!!

A ces conditions, la droite redeviendra la droite, et capable de répondre aux aspirations du peuple français et aux nécessités de la grandeur de la France.

Qui sinon Laurent Wauquiez, pour prendre la direction du Parti ?

Le seul depuis des années à être resté droit et n’avoir pas faibli sur le champ des dernières batailles.

Il avait très exactement défini l’enjeu européen en déclarant lors des élections européennes de 2014, que « l’Europe c’était la France et l’Allemagne » et qu’elle se ferait à Paris et à Berlin mais pas à Bruxelles ainsi que de Gaulle l’avait affirmé il y a déjà longtemps.

Il a toujours été partisan d’une droite forte et sociale qui ait le courage de décider et prendre les mesures qui répondent aux aspirations, aux besoins et aux intérêts du peuple français tout entier et donc à l’intérêt supérieur du pays quitte à aller contre les intérêts catégoriels ou particuliers quels qu’ils soient et à bousculer les fausses valeurs de la gaucho-bien-pensance qui ont miné l’exercice du pouvoir depuis les années 68 et auxquelles la droite elle-même s’est laissé prendre peu à peu par trop de faiblesse et de laisser-aller dans la facilité.

Il n’a pas louvoyé aux frontières des partis ni de idées et encore moins des idéologies. Il n’a pas « balancé » d’un candidat à l’autre pour tenter de mieux se placer ni pendant la campagne des primaires de droite ni celles des présidentielles puis des législatives alors que d’autres n’hésitaient pas à aller de Sarkozy en Juppé ou Fillon voire à lâcher Fillon pour y revenir avant de se déclarer pour Macron et « souper » enfin à la table de son Gouvernement !

Il a toujours appliqué lors des différentes élections, le principe du « NI FN-NI PS » et n’a jamais accepté la lâcheté du « Front Républicain » qui fournissait au FN l’argument imparable de l’UMPS pour décrédibiliser l’UMP aux yeux de l’électorat de droite alors que d’autres n’hésitaient pas à faire appel au PS voire à s’aplatir devant la gauche en quémandant ses voix pour se faire élire comme ce fut malheureusement le cas dans trop de régions lors des élections de 2015 !

Il a été le seul en effet, avec Bruno Retailleau, à faire reculer le Front National aux dernières élections Régionales du fait même de sa « fermeté à droite ». L’électorat lui a reconnu sans hésitation sa constance et sa « crédibilité de droite » en confirmant largement sa légitimité sans avoir besoin de recourir aux subtilités tactiques, aux alliances contre nature et aux dissimulations politiciennes.

Il est par ailleurs et pour ces mêmes raisons, le candidat le plus apprécié des militants et sympathisants du Parti qui ne veulent plus revivre les aventures dramatiques et hélas, grotesques et humiliantes, que leur ont fait vivre les responsables d’une droite trop molle depuis les années Chirac, à l’exception notable du quinquennat Sarkozy où la France et l’Europe ont pu surmonter avec succès une crise sans précédent. Une droite sans âme amollie par trop de compromissions au centre, de calculs politiciens et de pusillanimité bien-pensante, incapable d’inverser la pente du délitement national initiée par les errements mitterandesques des années 80 et précipitée par les cinq années de confusion, d’aboulie et de corruption intellectuelle et politique du quinquennat Hollande sans grand espoir que le nouveau pouvoir en place ait la volonté ni la force de faire face aux périls faute d’une claire conscience de la gravité des problèmes.

LAURENT WAUQUIEZ DONC POUR LA DIRECTION DU PARTI PUISQU’IL FAUDRA BIEN UN JOUR PROCHAIN PRENDRE LES RÊNES ET REDRESSER LE PAYS !

  

Le peuple français avachi ? ... pas vraiment, il est en attente de qqch qui ne vient pas par la faute de qqs-uns ! (20 Juin 2017)

... la gauche est en échec mais la droite ne répond pas et les « veaux » exaspérés risquent de se réveiller !

La gauche a confirmé son échec. Le désastre hollandesque après les contresens mitterandien et jospinien, a conduit la France sur le chemin d'une déliquescence économique, sociale et sociétale mortelle ... mais excusable selon la doxa gauchisante puisqu'elle se situe dans la droite ligne des injonctions culturelles des faux-penseurs pre- et post-soixante-huitards. Ces « piètres-penseurs » qui ont réussi à tromper le peuple en lui imposant leur délétère catéchisme de la gaucho-bien-pensance jusqu'à contaminer une grande partie de la droite elle-même !

Or la France est emportée dans l'ouragan d'un monde en pleine révolution. Une Afrique à la démographie explosive, une Chine et des Indes dans le déchaînement de leurs "trente glorieuses" et un monde arabo-musulman rendu fou par une crise latente de dégénérescence sénile qui l'entraîne dans une frénésie de régression religieuse voire bestiale dignes de la jahiliyya pré-islamique ou des légendes des premiers siècles comme celle du Vieux de la Montagne qui envoyait ses "assassins hachischés" tuer les mauvais musulmans qui ne respectaient pas la "chari'a" telle qu'il l'entendait.

Le catéchisme gaucho-pensant avec ses dernières injonctions écolo-droit de l'hommistes, est devenu une seconde nature de la génération Y, la seconde génération post-68, et triomphe aujourd'hui dans le boboïsme macronien. Les bobos s’extasient à l’idée de rassembler les légumes frais ou déjà longuement mijotés de gauche et de droite dans une grande soupière centrale où on « mixerait » libéralisme économique, internationalisme financier et christianisme social mais aussi libéralisme sociétal, multiculturalisme et communautarisme avec beaucoup d’écologisme pour en faire cette culture-monde genre "pizza-kebab-coca-noodles-hamburger" qui serait selon eux, l'avenir d’un monde branché, webique et plein de béatitude et d’amour !

Ils ne se rendent pas compte hélas, des contradictions et des infaisabilités de leurs propositions parce qu’ils pensent que tout le monde est beau, gentil et que tout le monde veut ou doit vouloir le bien du monde. C’est la sempiternelle erreur de la gauche qui se veut « bonne et « vraie » devant les « méchants » qui ne pensent pas « bien ». Les « bien-pensants » en effet, confondent liberté et libertarisme, égalité et égalitarisme, fraternité et bisounourserie ou encore, laïcité et laïcisme au point qu'ils n'arrivent plus à distinguer les dérives de leur pensée de la même manière qu'un intégriste islamiste ne comprend pas qu'un musulman ne prenne pas sur le champ son cimeterre ou sa ceinture d'explosifs pour tuer les mécréants qui ne respectent pas les Saintes Ecritures ! C'est ainsi que naissent les totalitarismes d'une pensée qui devient idéologie et abandonne toute idée de critique et toute réflexion de bon sens.

Le peuple français voit donc les bobos s’agiter et envoyer Président à la Présidence et députés à l’Assemblée Nationale mais le peuple n’a pas voté. Seuls les bobos ont voté et ils ont voté en masse pour Macron et son parti qui leur promettait les vieilles lunes du ni-droite-ni gauche, des majorités d’idées façon IVè République, de « l’auto-gestion » à la Rocard ou des deux français sur trois de Giscard ! Une partie du peuple exaspérée par l’incapacité de la gauche et les insuffisances de la droite, s’est rabattue sur La France Insoumise et sur le Front National, trompée par les promesses démagogiques et les inconséquences économiques et sociales de l’un comme de l’autre mais la majorité du peuple n’a pas voté ! Elle attend !

En fait, Macron, plus fort encore que Chirac et Juppé avec leur lubie de faire « la droite au centre », a réussi à rassembler au moins formellement, dans un grand centre mou, les mous de gauche et les mous de droite en sus de ceux du centre ! Cela fait une majorité institutionnelle à condition qu’elle n’éclate pas bientôt sous la pression des évènements mais une majorité formelle ne représente la majorité du peuple français que lorsque le peuple tout entier a voté ! Or le peuple n’a pas voté et cette majorité n’est que le pâle reflet de la seule majorité de la partie bobo du peuple français ! Sa légitimité est donc fragile et discutable !

Les mous de droite sont pour une part, ceux qui ont eu peur et fait perdre les quelques points qui ont manqué à Fillon pour passer en tête du premier tour. Ce sont les lâcheurs qui ont abandonné le navire ou ont hésité et dont la plupart sont revenus piteusement au bercail quand Fillon a montré contre la perversité médiatique et les manœuvres politicardes de l’adversaire où étaient le courage au combat et la vraie volonté de redresser la France pour le bien du peuple français tout entier et pas pour quelque prébende !

Les mous de droite, ce sont aussi ceux qui ont décrédibilisé définitivement la droite et lui ont fait perdre toute chance majoritaire aux législatives en allant goûter directement à la soupe macronienne ou en louchant fortement vers les places disponibles dans la carlingue de l’avion qui emportait Macron dont certains passagers sautent déjà … avec ou sans parachute !

Oui, la droite a perdu par leur très grande faute politique et leur lâcheté !

Malgré cela, certains comme l’inénarrable Georges Fenech, activiste démolisseur du Fillon mis en examen, un Thierry Solère à peine repentant qui veut maintenant créer un groupe des traîtres « constructifs » ou encore les « soupeurs » du gouvernement, un Edouard Philippe de la droite molle juppéiste ou un Bruno Lemaire, l’archétype de l’homo cabinetus ministerialis qui joue à l’homme du renouveau ou quelques autres qui auraient bien voulu « souper » aussi mais n’ont pas été retenus, oui, ces gens-là ont le culot éhonté de mettre en cause le parti LR ou François Fillon lui-même dans cette double défaite électorale !

Les artisans de la défaite à la Présidentielle comme aux Législatives, ce sont eux et eux seuls, les lâcheurs et les traîtres ! Ils ont eu peur pour eux et pour leur carrière, ils ont déserté devant l’ennemi, ils ont répandu le venin de la défiance dans le peuple de droite, ils ont décrédibilisé la droite dans ses aspirations pour le redressement de la France.

Ils n’ont pas seulement trahi la droite, ils ont trahi la France qui avait besoin que la droite l’emporte pour se redresser et la France maintenant, est dépendante du succès ou de l’échec de Macron.

La droite cependant doit se reconstruire au plus vite et s’apprêter à prendre les rênes au cas toujours probable à l’heure actuelle où Macron échouerait, pour éviter la chienlit des extrêmes et celle de la rue.

Une droite forte car le ni droite-ni gauche n’a aucun sens en France à l’examen des deux siècles de notre histoire post-révolutionnaire et des désastres de nos IIIè et IVè Républiques qui ont disparu faute de majorité pour décider et agir ! La proportionnelle à cet égard, pire encore qu’une « majorité » macronienne dont la légitimité populaire, on l’a vu, est plus que douteuse compte tenu du désintérêt manifesté par le peuple et la cohérence plus que problématique compte tenu de la diversité des origines et de l’inexpérience des élus en question, serait un coup mortel pour la Vè République. Or la Vè contrairement à ce que disent des commentateurs et des journaleux légers ou serviles et des hommes ou femmes politiques peu au fait des finesses constitutionnelles mais qui se veulent « modernes », est la seule de nos Républiques qui ait tenu soixante ans sans crise majeure grâce à des institutions qui assuraient un équilibre sain des pouvoirs et une majorité cohérente et solide pour prendre les décisions nationales d’importance. Il serait dès lors criminel de vouloir en changer les institutions et aucun constitutionnaliste sérieux ne saurait y songer !

Ce ne sont pas les institutions qui sont mauvaises, ce sont les hommes et les femmes qui les peuplent ! Ce sont eux qu’il faut changer, pas les institutions !

La droite doit aujourd’hui se reconstituer dans l’environnement incertain d’un pouvoir légal macronien dont on ne peut savoir s’il sera durable ou éphémère. Ses objectifs premiers dans l’immédiat, seront donc d’écarter au mieux les fantaisies et légèretés dudit pouvoir, mettre en exergue ses insuffisances voire l’attaquer fermement sur les périls qu’il ferait courir au pays par son inconscience des problèmes, immigration-islam et cohésion nationale par exemple, son aboulie ou son inefficacité dans l’action, compétitivité-emploi par exemple, et ne l’appuyer vraiment que s’il tient bon devant les oppositions aux réformes que la droite veut mettre en œuvre et s’il va au bout desdites réformes.

L’attitude « constructive » que certains prônent à droite doit rester dans ces limites et ne doit pas être laissée à l’appréciation de chacun. Ce sera au parti de décider du vote du groupe à l’Assemblée et non à chaque individualité de voter selon son caprice ou ses humeurs du jour comme certaines ou certains le voudraient !

Pour cela, la discipline de parti doit être rétablie et, ni gauchisante, ni centrisante, ni Macron-compatible, ni FN-compatible, la droite doit redevenir la droite tout simplement !

Une droite définitivement débarrassée de toute tentation gaucho-bien-pensante dans la réflexion et de toute pusillanimité ou hésitation dans l’action, ces défauts majeurs qui ont conduit l’UMP à l’échec en faisant fuir vers le FN nos électeurs exaspérés ! C’est en effet en pratiquant une politique forte « compétitivité-emploi », « immigration-islam » et « autorité de l’Etat » que la droite reconquerra ses électeurs égarés au FN et non en pratiquant cette « mollocratie » centrisante qu’elle affectionne depuis trente ans, à l’exception notable du quinquennat de Nicolas Sarkozy malheureusement interrompu par un gouvernement socialiste de rencontre qui avait très démagogiquement trompé le peuple français pour l’emporter après une difficile période de crise heureusement surmontée par le couple Sarkozy-Merkel, un modèle de coopération à suivre pour la construction de l’Europe future.

UNE DROITE FORTE donc dont la mission quoi qu’il advienne de la Présidence Macron, sera de redresser le pays pour le rétablir dans son rôle séculaire de puissance-pivot en Europe et de faire de cette dernière la puissance mondiale de référence du 21è siècle.

Doctor Macron-Philippe and Mister Nothing ! Sœur Anne, ne vois-tu rien venir ? (7 Août 2017)

 

... il est urgent de reconstruire la droite … mais pas au centre ni à gauche, à droite !

Le président Macron s’est révélé « fort en com’ politique » comme il fut « fort en thème » quand il était petit ! Mais la com', ça ne suffit pas !

Il a bien saisi le momentum du gaucho-boboïsme bien-pensant qui se veut « moderne » et « progressiste ». Il a donc gagné les élections par le verbe et le web en profitant de la déception abstentionniste des peuples de droite et de gauche ! La question majeure devient alors la suivante : est-il « un homme capable d’agir », un homme capable d’appréhender les circonstances et de prendre les décisions que requiert l’intérêt supérieur du pays ? Est-il surtout un homme capable de les mettre en oeuvre même si elles sont dures et difficiles » comme de Gaulle aimait à définir l’homme d’action ? Bref, les circonstances sont là mais est-il « l’homme » qu’il faut à la France dans lesdites circonstances ?

Pour l’instant, il a été adroit avec les quelques chefs d’Etat qu’il a pu rencontrer et il en profite pour clamer partout que « France is back » au simple motif qu’il ne la ridiculise plus comme Hollande le faisait de façon récurrente à chaque contact avec une puissance étrangère, les Etats-Unis, la Russie ou encore l’Allemagne et l’Angleterre, à propos de presque tout, l’Ukraine et la Crimée, la Syrie et le Proche-Orient, l’incapacité française à sortir de la gabegie de sa gestion publique au point que la voix de la France était devenue inaudible aussi bien en Europe que dans le concert des nations du monde ! En vérité, les pays étrangers ont eu si peur que la France se donne à Le Pen, qu’ils voient en Macron, le Kennedy européen !!! Ils ont donc abandonné leur attitude d’hostilité ou de commisération à l’égard de la France mais après cette si longue carence française pendant l’épisode hollandesque, ils attendent des actes forts et plus seulement des paroles !

Que dire alors des sentiments du peuple français ? Sur les sujets qui lui touchent le plus au cœur et qui déterminent son niveau d’exaspération à l’égard de ses dirigeants, à savoir les problèmes plus immédiats de gestion publique et d’endettement et donc de compétitivité et d’emploi, d’immigration-islam et donc de cohésion nationale, de sécurité publique et d’autorité de l’Etat, notre jeune Président en reste à une logorrhée d’une grande confusion sur les moyens mais aussi sur les intentions comme on l’a constaté en écoutant son discours-fleuve lors du Congrès de Versailles du 3 juillet où il est revenu en boucle plusieurs fois sur chacun des sujets évoqués sans proposer quoi que ce soit de clair, de fort et de faisable.

Or la France doit se réformer et se redresser à l’intérieur pour se rétablir dans son rôle séculaire de puissance-pivot en Europe et assurer que cette dernière dans le siècle qui vient, pourra effectivement rester la puissance mondiale de référence.

On ne saurait être sûr que ce soit bien l’objectif d’Emmanuel Macron ni qu’il y ait même songé lorsqu’on se remémore ses discours ou réflexions qui s’inspirent plus d’un certain intellectualisme à la mode privilégiant un multiculturalisme mondialisant et un progressisme humaniste technologisant plus que l’envie ou l’ambition de servir la France et de continuer d’en faire le pôle de référence de la civilisation européenne et mondiale ce qui ne va pas sans une certaine idée de puissance mais de puissance fondée sur des siècles d’histoire de France et de civilisation européenne … et pas seulement sur de vagues évocations d’un « progressisme » mal défini plus transhumaniste qu’humaniste.

N’oublions pas qu’Emmanuel Macron était le candidat des bobos urbains, qu’il n’est arrivé en tête du premier tour que de façon très étriquée avec moins du quart des votants et qu’il n’a triomphé au second tour que parce qu’il était opposé à Marine Le Pen dont le peuple français ne voulait pas. Macron n’est donc que le représentant d’une fraction très minoritaire du peuple français, celle qui privilégie individualisme, cocooning et médiocre égocentrisme petit-bourgeois même si elle se laisse aller à la mode d’un certain écolo-droit de l’hommisme. Il n’a rien à voir avec ceux et celles qui rêvent encore la révolution sociale ou, de l’autre côté, ceux pour qui le bien du peuple ne peut aller sans la grandeur de la France. L’égoïsme petit-bourgeois même s’il se veut « progressiste » n’a pas plus d’avenir que la lutte des classes tandis que la grandeur de la France ne peut être que le résultat d’une politique juste et forte où les idéologies pas plus que les intérêts particuliers n’ont à voir. Le "rassemblement du peuple français", seul de Gaulle l'a fait ... mais c'était de Gaulle ! Il ne prétendait pas abolir les fontières entre droite responsable et gauche idéologique car sa seule ambition était de faire la politique de la France ... or au centre, il voyait plus de médiocrité que d'efficacité et de grandeur !

Les erreurs de comportement, les couacs gouvernementaux et les impairs politiques s’accumulent au point qu’on en vient à douter de la fiabilité et de la capacité de notre jeune Président en tant que Chef d’Etat de la puissance-pivot de l’Europe. Les bobos l’admirent car ils ont peu d’expérience du pouvoir et de la vie en général et ne savent pas encore bien faire la distinction entre comportement de jeune fou et attitude de chef responsable. Annonces et contr’annonces se succèdent quant aux mesurettes de bricolage budgétaire et fiscal avec la double mais oxymorique intention de donner le change sur les promesses faites « et en même temps » de ne pas encore accroître les déficits. Pendant ce temps Macron perd de sa crédibilité sans même parler de ce désastreux imbroglio avec le Chef d’Etat-Major des Armées, où c’est bien le Chef de l’Etat qui a fait une erreur majeure en confondant autorité et autoritarisme là où précisément on connaît bien pour la pratiquer à chaque instant, la valeur de cette distinction !!!

Il y a aussi le ridicule ballet des aller-retours de ministres nommés puis poussés à la démission alors qu’on voulait faire de la vertu, la qualité première de ce gouvernement qui rassemble apparemment plus de fantoches que de ministres vraiment responsables ! A l’Assemblée aussi, les impairs et les nullités se succèdent comme il est courant lorsqu’on cède aux vieilles lubies de la démocratie participative, de l’auto-gestion ou de la société civile rêvée comme moteur du progrès national. Cela n’a jamais marché et Macron n’est pas le premier à y avoir pensé ! Il échouera comme les autres dans cette voie mal balisée du « ni droite ni gauche et tout au centre » ! Les deux dernières Républiques sont mortes de cette chienlit "démocratiste" et de l'impuissance à décider et agir qui va avec ! Cela rappelle hélas, l’approche chiraco-juppéenne des dernières années avec un Alain Juppé s’obstinant à vouloir que la droite se « construise au centre », poussant ainsi vers le Front National les électeurs de droite exaspérés par cette « mollocratie » revendiquée qui avait peur de traiter au fond les problèmes du peuple à savoir l’efficacité de la dépense publique, la compétitivité et l’emploi d’un côté, l’immigration, l’islam et la sécurité publique de l’autre.  

Quant aux discussions avec les syndicats, il semblerait qu’à force de manœuvres avec FO et la CFDT pour contourner la CGT, le gouvernement Macron-Philippe s’achemine à l’exemple du Hollande de la loi El Khomry, vers une loi travail largement amputée de ses éléments essentiels. Au-delà encore, on attend les annonces concernant la réforme et la « dynamisation » du secteur public, la mère de toutes les réformes, avec en particulier l’alignement des statuts du public sur celui du secteur privé. Cela risque de provoquer quelques remous difficiles à gérer par un gouvernement et un Président au cuir si peu tanné en matière de lutte politique et sociale. On verra cela au résultat, en Septembre ou en Octobre … !

Bref, notre « Président » Macron est trop souvent à côté de la plaque, incongru, enlisé dans sa com’ pour bobos bien-pensants. Il en abuse et s’en abuse ! Il ne sent pas la France ni les Français … Or pour remettre la France sur ses rails, il s’agit de prendre quelques mesures fortes qu’on ne voit toujours pas poindre sur l’horizon politique macronien et non de créer un idyllique paradis pour bobos rêveurs du « tout le monde, il est beau et gentil » dans un délire multiculturel et technologique mondialisé ou un métissage économique, sociétal et culturel généralisé qui perdant toute notion des origines, nous fabriquerait bientôt un « transhumain » ou plutôt une « transculture » bien aseptisés et profondément ennuyeux … même si on qualifie cela de « progressisme » !!! Paroles et mensonges de com’ et de marketing politique mais rien de bien humainement exaltant !

Un signe qui ne trompe pas est le moment où les commentateurs en viennent à douter en même temps que les sondages baissent. Nous y sommes !

Les journaleux aux aguets se préparent déjà à retourner leur veste après avoir encensé l’idole dont ils avaient fait « l’homme providentiel » pendant la campagne électorale. Le produit qu’ils ont vendu au peuple français s’avèrerait-il déjà moins « glamour » face aux premières difficultés ? Et penseraient-ils donc déjà à concocter et organiser le grand « buzz » critique et démolisseur qui assurera leur audience future ? Les journaleux sont certes, dans l’éphémère et l’accessoire mais il est vrai que la plupart des politiques et le « premier d’entre eux » en particulier, les y aident grandement depuis qu’ils ont accédé au pouvoir !

 

Les voies de la droite sont donc très claires. Après les péripéties des derniers mois, la route est celle d’une droite forte, une droite qui soit la droite tout simplement !

Une droite qui agisse et ne s’embarrasse pas de calculs tactiques pervers et de manœuvres politicardes dont le peuple ne veut plus parce que précisément, ils ne sont pas droits !

La droite après le désastreux recul de Jacques Chirac sur les réformes Juppé de 1995, a renoncé à l’action et donc à porter la grandeur de la France face au reste du monde. Elle s’est laissé définitivement contaminer par la gaucho-bien-pensance, cette gaucho-bien-pensance ardemment vulgarisée par la gauche mitterandesque et ses relais médiatiques pour des raisons idéologiques autant que très politiciennes après que les faux-penseurs et dé-constructeurs d’après-guerre bientôt suivis par les piètres-penseurs soixante-huitards, eurent réussi l’entourloupe de faire croire qu’il convenait désormais de confondre liberté et libertarisme, égalité et égalitarisme et fraternité avec bisounourserie ! Le penser-faux est dès lors devenu la norme de la pensée politique et le laisser-fairisme mitterando-chiraquien, la norme de l’action politique en France. La déliquescence nationale s’est donc accéléré au cours des trente dernières années jusqu’au désastre final hollandesque après que le peuple français eut commis l’erreur fatale de préférer les facilités mensongères de François Hollande aux appels à l’effort et à la réaction nationale de Nicolas Sarkozy qui venait de surmonter avec succès la crise séculaire de 2008-12 en parfaite osmose avec l’Allemagne montrant ainsi le seul chemin possible de construction de l’Europe nouvelle en tant que puissance future du 21è siècle.

La droite est dès lors devenue « molle » laissant au Front National malgré les admonestations de quelques-uns, le champ libre sur les questions de cohésion sociale, d’identité nationale, de sécurité publique et d’autorité de l’Etat qu’induisaient les flux migratoires incontrôlés, les revendications ethno-religieuses en particulier celles de nature islamiste et les crispations gaucho-révolutionnaires qui se mirent à fleurir sur ce terrain à partir des années Mitterand. Au point que les « responsables » de droite de l’après-Chirac, à l’exception notable de Nicolas Sarkozy et de ses soutiens, en vinrent à prêcher le contre-sens qu’il fallait « construire et consolider la droite au centre » comme le clamèrent encore pendant la campagne avec une obstination aussi coupable qu’imbécile les Juppé, Raffarin et autres « irresponsables » de la droite molle ... oubliant délibérément les fantaisies, blocages et inanités de l’ancienne UDF et plus récemment du Modem et de l’UDI tout en refusant en même temps, de reconnaître l’évidence que le FN s’abreuvait goulûment à la mamelle de la droite molle dont l’aboulie et l’inaction poussaient ses électeurs exaspérés dans les bras du Front National !

Faire barrage au FN comme disent nos piètres stratèges, c’est reprendre nos électeurs au FN en mettant en œuvre des politiques fortes qui résolvent les vrais problèmes du peuple français et non pas sacrifier aux fausses valeurs de la gaucho-bien-pensance. Faire barrage au FN, ce n’est pas voter à gauche ou s’aplatir devant elle pour qu’elle vote à droite au nom d’un futile « front républicain ». Cette manœuvre ne fait qu’accréditer aux yeux du peuple le slogan de l’UMPS brandi par le FN pour mieux attirer à lui les électeurs de droite exaspérés par tant de lâcheté et de veulerie ! Idiote Politique de gribouille, un suicide pour la droite !

Comment dans ces conditions, penser faire confiance à un Alain Juppé qui depuis vingt ans dérape lentement mais sûrement sur la pente chiraquienne. Dans les années 80, on pouvait considérer qu'il était avec Chirac, d’une certaine de droite cavalière et mousquetaire mais il a glissé inexorablement vers un centrisme voire un radical-socialisme où comme Chirac, il se laisse aller à proposer des « arrangements raisonnables » aux islamistes de rencontre, à ne plus trop vouloir bousculer la fonction publique dans ses œuvres ni le secteur public dans sa techno-bureaucratie, à « faire avec » une immigration qui serait somme toute acceptable en France dans la joyeuse perspective d’une « identité qu’il voit indéfectiblement heureuse », etc …

Comment pourrait-on faire confiance à un Jean-Pierre Raffarin qui comme Alain Juppé, ne jure que par la possibilité de « refaire la droite au centre » comme si l’UMP qui avait été construite pour cela, n’avait pas lamentablement échoué en intégrant quelques centristes qui, aussitôt « intégrés », se sont mis à jouer un insupportable double jeu avec leurs camarades restés à l’UDF ou encartés au Modem ou à l’UDI … quelques « raffarinades » de plus et on entend JPR, ex-Premier Ministre et vieux sage du parti, déclarer sentencieusement, que faire une politique de droite comme il siérait logiquement à la droite, serait « courir après le FN » … etc …

Comment penser seulement écouter encore ceux et celles qui ont trahi François Fillon en abandonnant le champ de bataille pendant la campagne au moment précis où il fallait tenir au front ? Ils ont fait perdre la droite et probablement la France à voir la pente descendante où semble déjà glisser dangereusement le nouveau pouvoir par ses hésitations, ses reculades, ses imprécisions et ses erreurs jusque dans la com’ politique dont il fut pourtant le « maestro » pendant la campagne. On ne les nommera pas dans la mesure où d’autres ont eu aussi très peur pour leur carrière et failli succomber mais sans doute plus lent(e)s dans leurs réactions, n’ont pas eu le temps de déclarer publiquement leur trahison et se sont plus ou moins rachetés en revenant à temps au bercail ou en se taisant. Il ne serait pas juste alors de nommer les premiers sans nommer les seconds !

Il y a aussi ceux qui n’ont pu se retenir d’aller « à la soupe » avant même les élections législatives, et sans l’aval du parti. Parmi eux le Premier Ministre Edouard Philippe un des ex-bras droits d’Alain Juppé, le Ministre des Finances Bruno Lemaire ex-candidat aux primaires présidentielles de la droite et le jeune Darmanin chargé des « comptes publics » et ex-porte-parole LR ! On les félicitera de leur avidité à servir la France et à se servir eux-mêmes par la même occasion, en disant et faisant en tant que « collaborateurs » du nouveau pouvoir, le contraire de ce qu’ils prêchaient au mois d’Avril contre le candidat Macron et ses lubies comme ils disaient ! Comment faire confiance à ces girouettes intéressées qui tournent avec le vent dominant ?

Comment faire confiance encore à ceux qui élus sous l’étiquette Les Républicains, ont sans vergogne décidé de se soustraire à l’autorité du parti en se réservant la possibilité de voter en faveur des mesures proposées par le Gouvernement qu’ils jugeraient acceptables et ceci, sans tenir compte des consignes du parti et de son groupe. Ils sont allés jusqu’à créer un groupe parlementaire qu’ils appellent « constructif » mais qu’on ne peut qualifier que de « spécial collaboration » ? Ces gens menés par Thierry Solère, ont certes, été déçus de n’avoir pas été assez rapides pour obtenir une place dans le dispositif macronesque comme ceux qui ont pu aller à la soupe à temps mais ils ne désespèrent pas de pouvoir bientôt le faire !!! A ce groupe s’apparentent ceux et celles qui comme l’ineffable Nathalie Kosciusko-Morizet se croient autorisés à jouer les électrons libres en fonction de leurs caprices et veulent, disent-ils, au mépris de toute discipline de parti, « garder libre leur parole » et nomadisent d’un candidat à l’autre sinon d’un parti à l’autre ! Dans cette même catégorie, on peut aussi ranger ceux ou celles qui se croient dépositaires d’une partie du « vrai » message gaullien et se croient de droit divin, habilités à fixer le cap pour la France et là bien sûr, on ne pense pas au vide de la pensée et à l’ego maladif de François Bayrou mais bien à la prétention insensée d’un Henri Guaino ou d’un Nicolas Dupont-Aignan même si on préfère les deux derniers au premier cité ! Vanitas vanitatum … comment accorder un quelconque crédit politique à de tels hurluberlus qu’ils agissent de bonne foi ou en fonction de leurs intérêts de carrière ou de leurs fantasmes ?

Il y a enfin ceux qui n’ont pas franchement trahi, par loyalisme pour certains ou parce qu’ils n’ont pas encore eu l’occasion d’aller à la soupe pour les autres, mais dont on peut douter de la « droititude » au sens d’une conviction forte de droite. Comment faire confiance par exemple à un Xavier Bertrand ou à un Christian Estrosi quand on les écoute clamer partout que vouloir faire une politique de droite fondée sur responsabilité individuelle et sociale, mérite et travail, autorité de l’Etat et identité nationale, « c’est courir après le Front National » ! Et après les avoir vus se déshonorer devant le PS jusqu’à vouloir lui concéder un rôle institutionnel « d’opposition de sa Majesté » pour le convaincre de voter pour leur liste aux régionales afin de mieux battre le FN !!! Ils n’ont toujours pas compris que le FN était fort dans leur région, que pour la simple raison que droite et gauche n’ont pas fait ce qu’il fallait pour répondre aux inquiétudes du peuple ! Ils se lient ainsi les mains par un compromis malsain « droite molle-gauche molle » parfaitement contradictoire avec ce que le peuple attend vraiment de ses dirigeants mais tout à fait « Macron-compatible » !!! Que ne rejoignent-ils la République en Marche avant que ne s’écroule la lubie de la recette macronienne du quatre quarts « ni droite-ni gauche, mollocratie au centre, société civile et démocratie participative » ?

En fait de lutte contre le Front National, seules deux régions ont vu décroître le vote Front National lors des régionales et des dernières élections. Deux régions dont les chefs de file ne sont pas contestés à droite parce qu’ils ont affirmé sans ambiguïté leur conviction de droite et leur volonté de réformer au fond, bref, des chefs de file dont les électeurs n’ont pas douté de la « droititude ». Ce sont Bruno Retailleau dans les Pays de Loire et Laurent Wauquiez en Auvergne-Rhône-Alpes. Cela devrait donner à réfléchir à nos stratèges en matière de reconstruction de la droite et de reconquête de notre électorat.

Ainsi se dessine peu à peu la « ligne » dont parlait récemment Valérie Pécresse sans toutefois la définir, en réponse aux élucubrations de Xavier Bertrand. Elle voulait simplement et à juste raison, que s’opère autour de la définition de la ligne du nouveau parti, le consensus nécessaire pour éviter de se lancer dans une nouvelle guerre de succession entre candidats-chefs.

 

Dans cette optique de définition de « la ligne » du parti, accordons-nous donc sur quelques idées fortes qui permettront de structurer la réflexion puis l’action.

D’abord l’objectif : l’ambition première et la vision à long terme de la droite devraient être de redresser la France pour la rétablir dans son rôle séculaire de puissance-pivot en Europe puis faire de cette dernière la puissance mondiale de référence indiscutée du 21è siècle.

Ensuite, les voies et les moyens : ils devraient se concentrer autour des trois priorités qui conditionnent le redressement du pays, compétitivité et emploi, immigration-islam et cohésion nationale, autorité de l’Etat et sécurité publique. Compétitivité-emploi : il s’agit de porter le secteur public à un niveau de « coût/efficacité/réactivité » sensiblement plus élevé afin de réduire la dépense publique et pouvoir ainsi réduire les charges et impôts qui pèsent sur les entreprises et les particuliers, donc sur l’épargne et la consommation et par conséquent sur l’investissement, la production et l’emploi.  Immigration-islam et cohésion nationale : l’urgence est de cadrer sévèrement les flux migratoires dont la France, à la différence de l’Allemagne ou l’Italie par exemple, n’a aucun besoin et de bien faire comprendre aux populations immigrées jusqu’à ce qu’elles s’y plient, que c’est à elles de faire l’effort d’intégration nécessaire ce qui implique de leur part, un strict respect des lois et coutumes de la République sachant que le bénéfice des lois sociales françaises et au-delà, l’acquisition de la nationalité française ne se feront plus automatiquement mais par la démonstration d’une conduite exemplaire et d’un amour évident de leur nouvelle patrie. Autorité de l’Etat et sécurité publique : ce thème est en grande partie lié à la mise en œuvre des mesures de cadrage « immigration-islam » dont on vient de parler mais il s’agit aussi de réajuster le couple police-justice en redressant la politique pénale vers « moins d’excuse socio-politique et plus de rigueur républicaine » dans l’application de la loi et la sanction des infractions de toute nature et aussi en recadrant sévèrement cette partie politisée du corps judiciaire ainsi que les enseignements de l’Ecole de la Magistrature où règne depuis trop longtemps une délétère gaucho-bien-pensance, parfaitement intolérable dans une telle fonction souveraine de l’Etat. La police et les forces de l’ordre en général pourront ainsi accomplir leur mission de façon efficace sans qu’une justice trop complaisante avec le désordre public et la voyouterie ne vienne réduire leurs efforts à néant au risque d’encourager les voyous dans la mauvaise voie d’un côté et d’exaspérer de l’autre côté, les populations qui en souffrent et ont alors la tentation de se tourner vers les extrêmes pour remettre de l’ordre dans la « cité » ! Il en est de même dans le « secteur public » de l’information » où sévit une politisation de même nature qu’il convient de recadrer avec fermeté dans le sens d’une neutralité absolue du service. L’autorité de l’Etat étant assurée à l’intérieur, il conviendra de renforcer en parallèle les moyens du renseignement et de l’action extérieurs à commencer par la coopération au développement notamment en Afrique et dans le monde arabo-musulman en lien avec les problèmes de flux migratoires ainsi que les forces d’intervention armée afin que la France puisse reprendre et développer son « leadership » européen et commencer à construire l’Europe-puissance du 21è siècle avec ses partenaires, l’Allemagne en toute priorité,.

Enfin, une méthode pour décider et gérer les affaires au niveau du parti et du gouvernement de la France : on ne tolérera plus que ceux qui rejoignent le parti et a fortiori, ceux qui ensuite, participeront au gouvernement de la France, s’autorisent des écarts par rapport à la ligne définie et se permettent d’étaler leurs états d’âme en public. Ils peuvent avoir des problèmes, des difficultés ou d’autres idées mais qu’ils les discutent à l’intérieur du parti ou du gouvernement et une fois la décision prise, qu’ils exécutent ou qu’ils s’en aillent ! La chienlit politique doit cesser à droite comme au sein de son futur gouvernement car la droite et le gouvernement du pays sont faits pour l’action et non pour la discutaillerie idéologique comme il est coutumier à gauche ou pour perdre son temps à force de pusillanimité, aboulie, demi-mesures et procrastination comme il est habituel au centre. La fronde, ce n’est pas un concept de droite et les humeurs, les caprices, les jalousies et les hésitations doivent cesser dès que la décision est prise. La droite a l’habitude de faire bloc et les « gaullistes, répétait-on, ont toujours chassé en meute » dès lors que l’objectif était fixé !

« L’action disait le Général de Gaulle, ce sont des hommes au milieu des circonstances » ! Considérant les actions et les mesures de redressement qu’il faudra mener, on comprendra aisément que la conduite du parti puis celle du futur gouvernement de la droite, ne pourra être confiée à des hésitants ni des mous mais à des hommes ou des femmes de conviction bien décidés à les mettre en œuvre.

Ce ne sera donc pas au centre qu’il faudra les chercher car la France n’a plus de temps à perdre. Elle doit prendre au plus tôt les initiatives qui lui permettront de sortir de la déliquescence économique, politique, sociétale et culturelle où l’ont entraînée les derniers gouvernements de la gauche molle et où semble vouloir l’enliser le gouvernement actuel sans vision pour le futur et sans boussole pour l’action immédiate.

Ce ne sera donc pas non plus parmi ceux qui ont failli au sein de cette droite molle et qui ont empêché par leur pusillanimité, le triomphe de la droite d’abord aux Présidentielles et ensuite, aux législatives … bref, ceux qui ont eu peur et ont déserté le champ de bataille et ceux qui médiocrement, se sont rabattus vers la gamelle qui leur était tendue par le « magicien Macron » !

Il y faudra donc un homme fort, un chef responsable en qui les militants et les électeurs puissent se reconnaître et avoir confiance pour ne pas s’être compromis à l’instar des « mollocrates », des « traîtres » et des « soupeurs » dont on vient de parler. Un chef qui n’hésite pas à s’opposer aux forces de la dé-construction gauchisantes comme à celles de l’immobilisme conservateur des extrêmes et qui soit prêt à prendre les rênes dès que les hallucinations du chaman du « ni droite-ni gauche » se seront évaporées et que les esprits abusés des journaleux et des électeurs seront revenus sur terre comme il semble qu’on en prenne maintenant le chemin, plus tôt encore et plus rapidement que prévu !

Il ne s’agit plus de construire une droite forte par opposition à la droite molle ! La droite molle ayant disparu après avoir démontré son inanité, il s’agit de RECONSTRUIRE LA DROITE, tout simplement !

Laurent WAUQUIEZ ? Il est resté droit dans la tempête quand la plupart de ceux qui se disaient de droite, désertaient le champ de bataille et, après avoir fait perdre leur camp, ne se battaient plus que pour se placer au plus près de celui qui allait bientôt leur servir la soupe ! Mais surtout, il est le seul à concevoir l’avenir de la France autrement qu’à travers ce médiocre « démocratisme » petit-bourgeois qui semble tant obnubiler ceux qui, à gauche ou à droite et au centre, pensent plus à « cuire leur petite soupe sur leur petit feu dans leur petit coin » qu’à la France ! 

C’est le 23 Avril que tout se jouera : La France redressée ? La France ruinée ? ou la France en "prolongation" de déliquescence ? (20 Avril 2017)

 

Le peuple français ne veut plus des médiocres, des mous ni des arsouilles !

Fillon, le seul crédible et capable de redresser la France pour la rétablir dans son rôle séculaire de puissance-pivot en Europe et de construire une Europe forte autour du « directoire » franco-allemand pour faire face aux défis économiques, démographiques, culturels et de sécurité du monde du 21è siècle ! François Fillon pour cela, devra purger la France de la gaucho-bien-pensance où elle se vautre et achever le processus de réforme au fond qu’il avait entrepris avec Nicolas Sarkozy après la crise. L’avenir de la France et de l’Europe se joue le 23 Avril !

Le Pen, Mélenchon ou Hamon ? Ils ont cloné leur programme les uns sur les autres pour tromper le peuple en lui promettant « du pain et des jeux » alors que leur démagogie de dépense publique ne fera qu’un feu de paille social et qu’ils se refusent à réformer l’Etat, l’entreprise, le capital et le travail pour résister à la pression croissante et conquérante des puissances émergentes. Ce serait la descente aux enfers par la « voie grecque » ! Avec eux, la France et à sa suite, l’Europe disparaîtraient bientôt de la scène du monde du 21è siècle. Alors oui, l’Europe deviendrait le grand chaudron du « melting-pot ethno-culturel » europeo-arabo-africain ! C’est cela que vous voulez ? Réveillez-vous les Français !

Macron ? Un « logorrheux » dont l’internationalisme impénitent du fric mondialisé et du multiculturalisme communautarisé n’a pas bien pris la mesure des défis économiques et démographiques que nous lance le monde émergent ni des problèmes que font courir à la cohésion nationale et à l’identité française, une immigration non maîtrisée et un islam non encadré. A défaut d’en avoir conscience, Macron comme son maître élyséen l’avait fait en 2012, n’a rien prévu sur ces deux points et va laisser aller les choses avec l’élégant « benign neglect » d’un bourgeois de l’énarchie qui s’adonne aux fausses valeurs de la pensée unique mais ignore les vrais problèmes du peuple. Aussi flou et mystificateur que son mentor et ses soutiens de l’élite mondialisante politico-financière et cultureuse, il ne serait que le continuateur d’un hollandisme avachi et, comme Hollande, manifestement plus préoccupé par sa carrière que par l’intérêt supérieur du pays. Il est plongé dans la « com’ politique » plutôt que dans l’action, il a peur de nommer les choses et ce qu’il dit sonne faux, il a peur de déplaire et proclame tout et son contraire. Pire encore, il manque des qualités qui font l’homme d’Etat, la conviction et le courage d’agir !

La déliquescence « en marche » sous la conduite d’un joueur de flûte qui, comme son maître, n’est au bout du compte, qu’une « arsouille » ainsi que De Gaulle se plaisait à qualifier Mitterand !

Ne pouvant imaginer que le peuple français soit assez stupide pour choisir la ruine du pays ou sa déliquescence, il mettra François Fillon à sa tête et la France reprendra les rênes d’une Europe qui va à vau-l’eau car sans la France, l’Europe patauge !

Il y faudra une droite forte qui ne saurait s’accommoder « d’arrangements raisonnables » avec ceux qui aux dépens de l’intérêt supérieur de la Nation et du peuple tout entier, ne voudront pas sortir du confort de leurs « droits acquis » ni avec ceux qui prétendraient imposer au peuple français, des mœurs et des coutumes qui ne sont pas les siennes ou seraient incompatibles avec les lois de la République.

Il faudra donc que François Fillon élu par le peuple sur un programme fort de réforme économique et sociale ainsi que de défense de la cohésion et de l’identité nationales, ne concède rien aux hésitations, pudibonderies, peurs ou bisounourseries des « mous » de droite et de gauche. Ces médiocres en effet, ne manqueront pas de le pousser à laisser la France s’endormir dans la facilité comme l’ont fait à la seule exception de Nicolas Sarkozy, tous nos dirigeants depuis plus de trente ans sous l’emprise de cette amollissante et délétère gaucho-bien-pensance, héritée de nos faux-penseurs d’après-guerre et de nos faux révolutionnaires de 68 !

Le peuple français ne veut plus des médiocres, des mous ni des arsouilles. Il veut qu’on laisse de côté les fausses valeurs dont nos « intellectuels germanopratins » ont contaminé les milieux politiques, médiatiques et cultureux et qu’on s’occupe enfin de ses vrais problèmes qui sont l’emploi et le niveau de vie, la sécurité et l’autorité de l’Etat, la cohésion sociale et l’identité nationale. François Fillon et ses troupes auront donc d’abord pour mission de redresser la France pour lui rendre son rôle de tête en Europe et ensuite, de recadrer la République dans ses institutions en ramenant par une politique forte dans laquelle le peuple français puisse enfin se retrouver, les extrêmes de droite et de gauche à leur dimension normale et incompressible de groupe minimal de râleurs !

L’objectif de François Fillon en effet, n’est pas de « plaire aux mous » par des politiques médiocres comme celles qui ont fait le lit du Front National et de la gauche extrême. On doit en finir avec les lubies des « majorités d’idées », des « deux français sur trois » ou encore cette idée farfelue « d’une majorité au centre qui ne serait ni de droite ni de gauche », idées saugrenues qui n’ont jamais conduit qu’à des échecs  à chaque fois qu’on a tenté de les appliquer et, auparavant, à la mort lente des Républiques précédentes ! Non, tout le monde n’est pas beau, bon et gentil au centre, il y aura toujours des « méchants de droite » et des « imbéciles de gauche » car c’est là que se prennent les décisions et que bougent les lignes !

On se débarrassera ainsi des rêveries de ceux qui fantasment autour d’une VIè République idéale qui ne serait en réalité qu’un retour à la calamiteuse IVè République, comme de ceux qui en dépit des échecs répétés, croient que la France pourrait se rassembler dans la médiocrité d’un centrisme indéfini et inconsistant.

Non, Messieurs et Mesdames les rêveurs, politiciens, journaleux, commentateurs ou intellectuels, ce ne sont pas les institutions qui sont mauvaises, c’est vous !!!

La France est grande et le peuple est content quand il y a de grands hommes à sa tête ! C’est l’enjeu du 23 Avril ! Ne nous trompons pas encore une fois !

Note à propos des « médiocres et des mous de droite » :

Ils se reconnaîtront d’eux-mêmes, il n’est pas besoin de les nommer. On attend d’eux que, revenus à la raison et rentrés au bercail de la droite, ils rachètent leur moment d’égarement en aidant et soutenant le futur Président loyalement, fermement et donc sans étaler leurs états d’âme intempestifs ni en public ni dans les medias !

Sans parler de ceux qui ont effectivement trahi, ce sont tous ceux qui ont douté jusqu’au bord de la trahison il y a quelques semaines parce qu’ils avaient peur … pour eux et non pour la France ce qu’on leur aurait pardonné !

Ce sont aussi ceux qui, trop loin du peuple, n’ont toujours pas compris que celui-ci préfère des politiques fortes et claires qui règlent leurs problèmes à la facilité, aux fausses valeurs et au laisser-aller engendrés par le libertarisme, l’égalitarisme et la bisounourserie généralisée de la dictature gaucho-bien-pensante à laquelle trop de ces gens de la droite molle et du centre se sont laissé prendre !

Agir pour le peuple est plus long et difficile que se répandre en bavardages compassionnels dans les medias et tout faire pour éviter lâchement de prendre le risque du changement.

Il y faut du courage politique mais les hommes qui en ont, n’en sont que plus aimés et respectés par le peuple.

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