Nos gouvernants en Haute Cour ? Le peuple se réveille ! Il n'est pas "expert" en sciences sociales ni en sciences économiques mais il voit bien que tout fout le camp ! (10 Mars 2016)
Debout la droite … la facilité ou la réforme ? Déliquescence ou redressement ? Oui, il va choisir !
Depuis François Mitterand, aucun budget à l’équilibre, on laisse faire au lieu de réformer, on dépense pour acheter la paix sociale, on fait plaisir à l’électorat et on évite de lui demander un quelconque effort, lui imposer la moindre contrainte ou, moins pensable encore, revenir sur quelque « avantage acquis ». On vit sur le capital du pays ou par l’endettement international. C’est plus facile et moins coûteux politiquement mais la dépendance extérieure s’accroit et notre liberté d’action diminue.
L’Angleterre qui était un pays en voie de sous-développement dans les années 80, a redressé la barre, libéré son économie et mis au pas ses syndicats qui enfermaient le pays dans une sclérose économique et sociale inexorable.
Au tournant du siècle, l’Allemagne emportée par les coûts de sa réunification, étouffait dans le corset de ses règlementations fiscales et du travail. Elle les a allégées et du même coup, libéré les possibilités d’action de ses entreprises avec leur compétitivité. Elle le doit à un gouvernement socialiste mais l’Allemagne avait la chance d’avoir préalablement inventé un socialisme qui pense économie et non idéologie !
La France, elle, est restée dans la grande illusion d’une interprétation déviante du « pacte de la Résistance » avec priorité sociale pour objectif et dépense publique comme moyen ! Cela a marché pendant 30 ans pour la reconstruction et l’équipement du pays mais elle a refusé de comprendre que l’émergence d’un monde nouveau l’obligeait à faire de l’économie et plus seulement du social … et de l’économie au niveau du monde entier et plus seulement de l’Europe ou de l’Occident.
La France donc, refusant de voir la réalité d’un monde en plein bouleversement, a continué de gérer son économie et ses dépenses publiques dans la doxa keynésienne et dans le tout-social marxisant, devenus les articles de foi de ses élites politiques, ses syndicats et partis de gauche irrémédiablement contaminés par la vague de bien-pensance socio-économique et sociétale qui submergeait le pays. Cette monumentale erreur intellectuelle de la seconde moitié du siècle passé, initiée par nos « faux-penseurs » normaliens d’après-guerre, enflée par les divagations libertaristes et égalitaristes de nos petit-bourgeois soixante-huitards et définitivement consacrée par l’idée saugrenue de nos « penseurs complexes » d’aujourd’hui de vouloir sauver un marxisme en fin de vie en en faisant une synthèse hasardeuse avec les bisounourseries christianisantes, les « bourdieuseries » du déterminisme social et les lubies écolo-droit de l’hommistes si prisées de nos jours !
La droite qui n’avait pas participé à la confection de cette soupe intellectuelle innommable, en a néanmoins été empoisonnée au point que, étant au pouvoir, elle n’a pas osé remettre en question les fondements de cette pensée délétère et dé-constructrice qui conduisait les gouvernements successifs à faire de la mauvaise politique alors que les problèmes s’accumulaient et grandissaient sans qu’on puisse leur apporter de solution puisqu’il était devenu impensable d’agir contre la doxa au nom des fausses valeurs qu’on mettait en avant.
Or il devenait évident que les fantaisies de gestion que pouvaient encore se permettre François Mitterand ou Jacques Chirac en ruinant la France sans la réformer au fond, ne pouvaient plus être tolérées à partir du moment où la crise est venue consacrer le fait que le monde avait changé et qu’il fallait abandonner les bonnes vieilles habitudes de facilité politique, économique et sociale !
On a cru un moment que Nicolas Sarkozy allait bousculer les choses et les gens pour mettre le pays sur les rails du 21è siècle. Hélas, le temps n’en était pas encore venu !
Il a effectivement bousculé les choses mais pour contrer la crise de 2008-2009 puis celle de 2010-2011. Il y a réussi avec l’Allemagne d’Angela Merkel et tous deux ont sauvé l’Europe et l’euro du désastre, chacun prenant sa part de l’effort et des ajustements des politiques nationales respectives jusqu’au TSCG (Traité se Stabilité, de Coordination et Gouvernance) de 2012 qui a conclu la crise avec l’appui concerté de Mario Draghi, le nouveau Président de la Banque Centrale. Le « directoire franco-allemand » a montré là, son efficacité et tracé la voie pour faire l’Europe du futur sans s’encombrer des lourdeurs et pusillanimités de l’Union des « 28 » qui perdent leur temps à Bruxelles et Strasbourg à prendre des mesures de détail insignifiantes ou nocives et sont incapables de prendre les décisions politiques et stratégiques vitales pour l’Europe future.
En 2012, le peuple français a fait le mauvais choix avec l’appoint de quelques dizaines de milliers d’électeurs de droite qui « n’aimaient pas Sarkozy » et de thuriféraires de François Bayrou et de son « centrisme au gré du vent », tous assez stupides pour voter Hollande alors que la situation du pays était grave. Il a choisi la facilité mensongère du candidat Hollande plutôt que l’effort que lui demandait Sarkozy !
Hollande en arrivant au pouvoir s’est empressé d’annuler ou diluer toutes les mesures de redressement que Sarkozy avait pu prendre avant de quitter le pouvoir, au motif qu’il n’y avait pas eu de crise (déni de réalité), que le cycle allait se retourner (incantation d’économiste sorcier) et qu’il suffisait d’attendre (procrastination maladive) ou mieux encore, faire du social pour ses électeurs (démagogie clientéliste) et de la « relance » sur fonds publics (errements gaucho-keynésiens) pour accélérer le retour à meilleure fortune ! De l’économie vaudou ! Fini l’effort de réduction des coûts et de flexibilisation du secteur public, annulée la « TVA sociale » permettant d’alléger les charges des entreprises, annulée la réduction de l’ISF, etc … toutes mesures que le Gouvernement socialiste aimerait reprendre aujourd’hui sans en être capable. Il n’a heureusement pas eu le front ni la bêtise de revenir sur la réforme des retraites, la voie ouverte pour le redressement de nos finances sociales !
Le peuple a fait un choix immature en 2012. Il ne le referait pas aujourd’hui car il commence à comprendre la nécessité de bouger et n’écoute plus les mensonges. Il attend seulement l’homme qui l’y poussera ! Il y faudra un « Chef d’Etat » !
En 2012, encore insuffisamment conscient de la gravité de la situation et de l’urgence de la réforme, il s’est laissé aller et s’est, lâchement mais assez consciemment, laissé tromper par les mensonges proférés et les facilités promises par le candidat Hollande alors que Sarkozy lui demandait des efforts. Il a essayé d’y échapper mais il sait maintenant qu’il faudra en passer par là !
Aujourd’hui, le peuple n’acclame plus les syndicats qui bloquent les transports comme il l’avait fait en 1995 lorsque Juppé se débattait dans ses réformes. Ces dernières ont échoué par abandon parce que Chirac a eu peur de la rue comme avec le CPE de Villepin en 2006. Aujourd’hui le peuple dit clairement qu’il en a marre des grèves, que les syndicats font de l’archaïsme social et que ce n’est pas ainsi qu’on « défend le service public » ! Il est vrai qu’entretemps, Nicolas Sarkozy a mis en œuvre le service minimum et que les voyageurs se sont habitués à un « service public » qui fonctionne et qui est « au service » de sa clientèle et non plus la propriété des syndicats !
Aujourd’hui, le peuple s’est pris d’une subite passion pour la police, la gendarmerie et l’armée dont il sent bien la nécessité sociale et nationale après les attentats de l’année 2015, la menace islamiste, l’insécurité grandissante, la chienlit contestataire gauchisante et l’affaiblissement concomitant de l’autorité de l’Etat. Le résultat de la recrudescence du laxisme judiciaire avec le passage de C. Taubira au Ministère de la Justice et du manque de « main ferme » de nos ministres successifs de l’Intérieur, Valls comme Cazeneuve, malgré leurs coups de menton autoritaristes non suivis d’action ni d’effet sur le terrain.
Aujourd’hui le peuple ne supporte plus les faux-semblants et les défausses du pouvoir socialiste qui au lieu de traiter les vrais problèmes, préfère le distraire par des mesures d’importance secondaire aux dépens des priorités. Ainsi du « mariage pour tous » qui a mis des millions de personnes dans la rue pour ne satisfaire que quelques milliers de personnes mais surtout leurs associations militantes sans que cela ne change de manière significative leur situation ni leur mode de vie ! Ainsi de la série des « pactes de stabilité, de responsabilité, etc… » aux objectifs maravilleux mais tous largement sous-dimensionnés pour pouvoir prétendre créer la moindre dynamique ! Ainsi des textes de loi Macron, Touraine, etc … annoncés à coups de trompette et toujours reportés en tout ou en partie, dilués ou démembrés. Toutes mesures inutiles, insuffisantes ou incongrues destinées à amuser le peuple, lui faire croire que le Gouvernement bouge. En réalité, il s’agite sur des détails et ne fait rien d’essentiel !
Plus fort encore, les gouvernants socialistes croient benoîtement pouvoir abuser notre partenaire allemand , la Commission et les autres institutions internationales qui leur réclament des mesures fortes de rétablissement économique, social et financier. Pire encore et là, ils prennent des risques graves, ils croient pouvoir mener les « marchés » en bateau alors que la France en dépend, n’étant plus capable d’honorer sa dette avec ses recettes courantes.
Ainsi enfin de ces ridicules déclarations où Hollande se dit « social-démocrate » après avoir clamé que « l’ennemi, c’était la finance », où le Premier Ministre clame son « amour pour l’entreprise » alors que tout ce que son Gouvernement édicte, va à contresens de sa compétitivité ! Ainsi des discours de Moscovici à la Commission qui prêche le contraire de ce qu’il faisait la veille au Ministère de l’Economie ! Ainsi des projets de loi type « Macron » comme cette « loi Travail », qui n’en finissent pas d’être édulcorés, amendés et réduits à presque rien pour tenter de leur faire sauter l’obstacle de la gauche dure à l’Assemblée, gauche dure qui n’en finit pas d’être éconduite du Gouvernement après les clowneries des Montebourg, Hamon, Filipetti puis Taubira et maintenant Martine Aubry (Mme Delors-fille !) sans même évoquer les burlesques d’Ecologie-Les Verts !
Incohérences voire contradictions entre coups de menton matamoriques du Premier Ministre et de son Ministre de l’Intérieur sur la sécurité, le contrôle de l’immigration et la guerre au terrorisme alors que la justice continue de relâcher les voyous que la police vient d’arrêter pour la dixième fois, que le Ministre des Cultes (Intérieur) est incapable de définir le moindre cadrage de l’immigration et de la pratique de l’islam sur le territoire français, que l’Ecole, emportée par ses délires éducationnels et égalitaristes soixante-huitards, ne remplit plus sa fonction d’éducation-intégration des enfants d’immigrés, que l’autorité de l’Etat est bafouée par la moindre manif étudiante, le moindre incident de contrôle d’identité en banlieue, la moindre partie de football perdue par ceux que les voyous auraient voulu voir gagner, etc …
Ils méritent la Haute Cour ! Ils sont arrivés au pouvoir et s’y maintiennent par le mensonge, le déni de réalité et les promesses démagogiques. Leur seule préoccupation est de se perpétuer au pouvoir et dans ce but de s’abstenir délibérément de toute action qui risquerait de leur aliéner une partie de leurs diverses clientèles alors même que l’intérêt supérieur du pays commande de le réformer au fond. Le Président Hollande et ses collaborateurs socialistes devraient alors être traduits en Haute Cour pour trahison des intérêts supérieurs de la nation au profit de leur intérêt politique partisan et personnel. Hélas l’incurie et l’escroquerie politique n’étant pas des motifs juridiques de mise en cause auprès de ladite Haute Cour, le peuple devra se contenter d’une condamnation morale et d’un renvoi définitif sans excuse ni pardon.
Tout cela n’est pas seulement ridicule ou honteux, cela atteint la crédibilité du pays à l’extérieur et la confiance du peuple en la France elle-même … or le peuple ne supporte plus l’escroquerie intellectuelle et politicarde des « princes qui la gouvernent » !
La déliquescence politique, économique, sociale et sociétale est telle aujourd’hui que le peuple, exaspéré et désespéré, se réfugie au FN parce qu’il sait maintenant de façon sûre que la gauche est incapable de répondre à ses problèmes et de satisfaire ses ambitions pour la France et qu’il doute encore de la capacité de la droite à le faire compte tenu des petites querelles qu’elle entretient en son sein et qui ne sont pas à la hauteur des défis nationaux.
Le Front National donc, s’envole, élection après élection, parce qu’on ne traite pas les deux problèmes prioritaires que sont l’emploi et donc la compétitivité de l’économie française d’un côté, la cohésion sociale et nationale et donc l’intégration et l’assimilation des enfants de l’immigration de l’autre.
Le PS est en train d’exploser sur le premier problème. Après quatre ans de tergiversations et demi-mesures contradictoires, le Gouvernement Hollande-Valls vient apparemment de décider de faire avaler à sa gauche dure, une « réforme du Code du travail » donnant plus de flexibilité de gestion aux entreprises en fonction des aléas de la conjoncture. Ladite gauche dure est dans la rue avec en tête de cortège, la jeunesse étudiante voire même lycéenne tout aussi archaïsante que les syndicats qui la suivent.
Cette belle jeunesse tant chérie de nos politiciens mais si peu habituée à la moindre contrainte depuis la soixante-huitardisation de l’école et la disparition du service militaire et si « cocoonée » par l’extension de l’assistanat étatique et par deux générations successives de parents boboïsants qui n’osent plus faire la moindre remarque à leurs enfants de peur de les traumatiser ou attenter à l’auto-construction de leur personnalité.
Ces grands syndicats protecteurs qui au nom de la « défense du service public » et/ou du « salariat protégé », refusent toute adaptation du système de protection sociale hérité des années 50 et rejettent toute réforme qu’ils qualifient de « remise en cause des avantages acquis », dût le service public ou l’entreprise en périr comme on l’a vu à de multiples reprises au cours des dernières années.
Jeunesse bobo et syndicats post-marxisants, chacun de leur côté, vivent dans des mondes totalement séparés dont ils n’ont pas conscience qu’ils n’existent plus mais ils font preuve de la même vision statique et obtuse de la chose économique et du salariat comme si le monde n’avait pas bougé depuis le milieu du 20 è siècle !
Une certaine jeunesse et certains syndicats sont donc dans la rue ces jours-ci pour protester contre la « réforme du Code du Travail ». Cette partie de la jeunesse parce que la gauche politique et syndicale (l’UNEF en particulier, l’antique syndicat étudiant gauchiste) l’affolent sur une éventuelle précarisation de l’emploi alors qu’il s’agit au contraire de déblayer le terrain et ouvrir la voie de l’entreprise à ceux qui voudront vraiment travailler. Ces syndicats parce qu’ils sont pour l’essentiel (CGT, FO, Solidaires, FSU, …) des syndicats du secteur protégé bénéficiant de statuts spécifiques et de régimes spéciaux dont ils ne veulent sortir à aucun prix, s’arcboutant comme des damnés sur leurs schémas de pensée post-marxisants de lutte des classes et d’exploitation du salariat par le capital entrepreneurial !
Il est donc difficile de considérer ces mouvements de protestation comme représentatifs du peuple travailleur puisqu’il s’agit d’une part de lycéens ou d’étudiants manipulés qui devraient plutôt s’occuper de faire leur carrière en prenant quelques risques plutôt que se préoccuper de protéger leur petit emploi futur et penser à leur retraite ( !), et d’autre part de syndicats représentant les seuls travailleurs à statut qui bénéficient pour la plupart d’une large garantie de l’emploi et dont les salaires ont augmenté deux fois plus vite que ceux des salariés ordinaires dans la dernière décennie.
Ces manifestants sont des privilégiés, « la bourgeoisie du salariat », qui ne représentent qu’une partie somme toute assez mineure et difficile à plaindre du monde du travail ! Ce n’est pas pour eux qu’on doit agir en priorité mais pour ceux qui n’ont pas d’emploi ou qui ne bénéficient d’aucune protection particulière et qui constituent la grande majorité du peuple français.
Le PS étant désormais hors course et le FN n’étant pas crédible sur son programme ni ses intentions, c’est à la droite de reprendre les rênes au plus tôt pour éviter le désastre national
Le problème n’est pas le FN qui n’est que le réceptacle de l’exaspération du peuple de gauche trahi par le pouvoir socialiste et de la défiance d’un certain peuple de droite dans la capacité de celle-ci à prendre les problèmes du pays à bras le corps.
Le peuple ne veut plus de la gauche et il se sert du FN pour « pousser un coup de gueule » mais il sent bien que le Front National n’est pas prêt pour le pouvoir du fait de ses délires anti-Europe ou anti-euro, du renfermement économique suicidaire qu’il prêche sur les frontières nationales et de ses prises de positions incertaines et démagogiques dans la ligne des doxa de gauche.
Entre la déliquescence nationale avec le PS ou la ruine avec la « gauche dure » ou le FN, le peuple choisira la droite à condition que ce soit une droite forte, une droite qui soit la droite !
… une droite qui garantisse la cohésion nationale et l’avenir de notre civilisationen mettant en œuvre un cadrage ferme de l’immigration et de la pratique islamique sur le territoire français accompagné d’une politique globale d’éducation, d’intégration, d’assimilation et de naturalisation contrôlées des enfants de l’immigration,
… une droite qui rétablisse l’autorité de l’Etaten recadrant et renforçant les missions régaliennes de justice et police dans le sens d’une tolérance « 0 » de la part des juges et en redonnant le pouvoir au Ministre de l’Education Nationale contre les fantasmes pédagogistes et la chienlit disciplinaire syndicale de façon à faire prévaloir dorénavant le mérite et la responsabilité de l’individu sur l’excuse sociale et les bourdieuseries éducatives,
… une droite qui n’hésite pas devant la réforme au fond du secteur public pour en améliorer l’efficacité et en réduire les coûts afin de diminuer les impôts et les chargeset relancer ainsi l’investissement et la consommation et partant la production et l’emploi. Le cercle vertueux n’est plus keynésien dans notre nouveau monde, il n’est plus dans la dépense publique. Il est temps que la gauche française le comprenne et que le FN ne nous raconte plus de sottises du même acabit !
… une droite enfin qui, ayant rétabli la puissance française, remette le pays au centre de l’Europe dont il a toujours été la puissance-pivot depuis plus de 15 siècles … « L’Europe, c’est la France et l’Allemagne ! ». L’Europe de Bruxelles patine, reprenons la construction européenne à partir de Paris et Berlin comme le recommandait De Gaulle à Adenauer et comme l’avaient initié Nicolas Sarkozy et Angela Merkel entre 2008 et 2012 pour surmonter la crise d’alors ! La voie a été tracée vers l’Europe-puissance, reprenons-la !
Non, la France n’est pas foutue, Messieurs les déclinistes ! Elle se réveille devant le désastre de la gaucho-bien-pensance mais il ne suffit pas de dire ce qui est et critiquer ce qui est fait, pas fait ou mal fait, même si vous avez raison contre les faux-penseurs et les mauvais acteurs ! Il faut agir donc proposer !
Messieurs les intellectuels, journalistes et commentateurs, peut être avez-vous le verbe brillant mais vous n’avez pas nécessairement l’intelligence du monde ! Et souvent même même les éléments qui vous permettraient de juger, vous échappent !.
Laissez donc faire « le politique » ! Seul le politique est responsable et tout dépend de l’homme à qui le peuple confie le pouvoir. Il va devoir choisir. Il ne se trompera pas en 2017 !
« L’action ce sont des hommes au milieu des circonstances ! » écrivait le Général de Gaulle.
Certains s’époumonent à réclamer un « changement des institutions » à gauche, le « renouveau » à droite. Comme si le retour à la démocratique mais très bordélique IVè République ou la chienlit de la démocratie participative généralisée pouvaient être des solutions aux problèmes très concrets d’aujourd’hui qui sont d’adaptation aux techniques nouvelles et aux nouveaux rapports de puissance mondiaux qui se dessinent.
Non, c’est tout simplement une question d’hommes et d’hommes capables de prendre les bonnes décisions dans la tourmente ! Choisissons donc l’homme qui ait l’expérience et le caractère pour redresser la France et lui faire reprendre les rênes de la construction européenne …
… pour que vive la France et que l’Europe puisse continuer d’exister et de jouer sa partition entre les puissances du 21è siècle.