L'action, ce sont des hommes au milieu des circonstances ! (Charles de Gaulle)

Non, la République et la démocratie ne sont pas malades, c’est la gaucho-bien-pensance qui nous empoisonne ! (9 Mars 2017)

C’est le germe de la déliquescence nationale, il faut l’éliminer !

Dans tous les domaines de notre vie nationale, publique ou privée, économique ou sociale, culturelle ou sociétale, individuelle, familiale ou collective, la gaucho-pensance nous impose peu à peu de penser, dire et faire à contresens des réalités de notre monde et donc à l’envers des intérêts supérieurs de la nation et du peuple français. Les autres pays européens souffrent du même mal qui met donc en péril l’avenir de la civilisation européenne !

Il faut l’éliminer pour redresser le pays et réarmer l’Europe face aux défis du monde nouveau qu’il s’agisse de puissance économique et de compétitivité, de cohésion sociale et de contrôle des flux humains et culturels, d’ordre public et d’autorité de l’Etat.

L’objectif est de rétablir la France dans son rôle séculaire de puissance-pivot en Europe et faire de celle-ci la puissance mondiale de référence du 21è siècle.

Qui donc pour s’atteler à la tâche sinon François Fillon ?

On vient d’assister à sa victoire contre une cabale montée par le pouvoir socialiste avec quelques-uns de ses féaux politisés du corps judiciaire et la complicité des media gaucho-pensants, dont le but était de l’évincer des prochaines présidentielles au profit de la « nouvelle coqueluche d’un nouveau PS ». Aucun fondement juridique à l’affaire odieusement gonflée par les medias, une forfaiture des juges qui n’ont pas hésité à empiéter sur les prérogatives du pouvoir législatif et une inimaginable incongruité démocratique de la part des juges et des media, de se prêter ainsi à une manœuvre de basse politique quelques semaines avant une élection majeure qui doit décider de l’avenir du pays. Fillon attaqué, Fillon vilipendé, Fillon accusé mais Fillon résistant et Fillon victorieux ! Il a dit non à une mafia politico-médiatique corrompue de gaucho-pensance et il est reparti en campagne auprès du peuple français.

Face à Fillon, on trouve les candidats Benoît Hamon du Parti Socialiste et Jean-Luc Mélenchon du Front de Gauche dont les programmes mèneraient le pays à la ruine immédiate par l’exacerbation des vieux poncifs gauchisants de la lutte des classes et de la dépense publique comme unique solution aux problèmes de la France. C’est de l’archéo-socialo-marxisme, un remède contre-indiqué depuis près d’un siècle en économie et qui serait mortel face à la compétition du monde qui émerge et qu’il faut précisément empêcher de nous submerger ! Le Front National quant à lui, avec Marine Le Pen, s’est limité à cloner le programme Hamon-Mélenchon par pure démagogie électoraliste même si quelques réticences se sont exprimées au sein du FN sur l’ineptie d’un tel programme au plan économique et social comme en matière de relations internationales en particulier au niveau européen. La ruine du pays et par conséquent, la crise dans toute l’Europe sont au bout du chemin de chacun de ces trois programmes, et avant même l’affichage des résultats au cas où Marine Le Pen, Benoît Hamon ou JL.Mélenchon remporteraient cette élection. La seule mais notable différence entre les trois programmes, est la ferme intention du FN de cadrer sévèrement la problématique « immigration-islam». En bref, le FN n’est pas bon sur l’économie et l’emploi mais le PS et le FG sont très mauvais non seulement sur les aspects économie-emploi mais aussi sur ceux concernant l’immigration et l’islam par les risques qu’ils feraient courir à la cohésion nationale, à la sécurité publique et à l’autorité de l’Etat. Avec Marine Le Pen on aurait la crise, avec Benoît Hamon ou JL. Mélenchon on aurait la crise et la chienlit ! La « voie grecque » et la chienlit généralisée doivent être écartés avec force !

Reste donc face à Fillon, l’illusion Emmanuel Macron que s’efforcent de promouvoir contre la gauche de la gauche et contre la droite, ceux qui viennent d’échouer à gouverner la France à commencer par François Hollande et les faux-penseurs de Terra Nova qui bien que n’ayant pas encore fait leur « Bad Godesberg », veulent comme le Rocard des années 70, créer une « nouvelle gauche moderne », encore une, en lui inventant de nouvelles clientèles faites d’électrons libres de la société civile auxquels s’agrègent peu à peu les vieux chevaux de retour de la gauche molle qui vient de capituler ! On souhaite bien du plaisir au jeune Macron pour essayer d’en faire s’il était élu, une majorité de gouvernement cohérente.  Macron, un séduisant porte-enseigne dont la fausse modernité aveugle certaines personnalités du centre voire même de la droite molle, contaminées hélas ! par le virus de la gaucho-bien-pensance ! Macron se dit « de gauche » mais son internationalisme est plus financier que prolétarien. Il est internationaliste encore au plan culturel sans bien savoir si à cet égard, il est plus mondialiste et partisan d’un métissage généralisé que multiculturaliste et communautariste ou l’inverse ! Quand il parle de la France et du peuple français, ça sonne abominablement faux comme s’il avait mémorisé le message d’un algorithme de com’ politique et le récitait sans bien « sentir » le peuple et ses racines. Il affirme d’ailleurs qu’il n’y a pas de culture française et que la France est une nation barbare (sic!). Son incontinence verbale se contredit souvent au point qu’on ne sait pas vraiment quelle est sa « pensée profonde » si tant est qu’il ait une quelconque conviction en matière d’économie, de social et de sociétal.

Il est le symbole d’une nouvelle génération « fric libéral libertaire » ! Il se sent à l’aise avec le libertarisme et l’individualisme égoïste où le « fric » est la meilleure mesure de la valeur de chacun et où les notions de responsabilité et de solidarité n’ont plus cours ! Il est européiste mais pour lui l’Europe n’est qu’une des structures économiques de la mondialisation en cours. L’Europe du « machin » de Bruxelles lui convient parfaitement. L’idée d’une Europe-puissance constituée autour de l’axe Paris-Berlin, ne l’effleure même pas ! Derniers périls qu’il n’a pas encore bien appréhendés, celui de l’autorité de l’Etat défaillante et celui de la cohésion et de l’identité nationales par l’intégration-assimilation des immigrés et de leur descendance française.

On voit, on sent et on sait aussi que tout est faux chez Macron. Tout est com’, ses discours, ses meetings et ses propositions. Ils varient au gré du vent dominant et de ses interlocuteurs ! C’est de la « fake politique » !

Au-delà des légèretés, des contradictions et des incertitudes non encore levées de la pensée macronienne, comment ne pas éprouver au surplus les doutes les plus grands sur la solidité de l’homme dans l’action et cela est beaucoup plus grave. Imagine-t-on en effet, Emmanuel Macron tenir la rue face aux manifestants CGT de Martinez ou FO de Mailly lorsqu’il s’agira de toucher à la fonction publique et d’aligner les « régimes spéciaux » sur le régime général ?

Macron apparaît comme un charmant jeune homme dont le discours plaît aux bobos, à quelques vieilles dames avides de cocooner le petit et à quelques vieux messieurs qui aimeraient se faire cocooner par lui. On le voit mal dans l’action or il faut bien qu’une pensée si tant est qu’il en ait une bien définie, soit suivie d’action et « l’action, disait le Général de Gaulle, ce sont des hommes au milieu des circonstances » ! Les circonstances évidemment sont là, mais on doute que Macron en soit l’homme !

Déliquescence dites-vous ?

On assiste dans tous les pays occidentaux, au triomphe du « politically correct » ou de cette gaucho-bien-pensance née des étrangetés intellectuelles de nos faux-penseurs d’après-guerre dont l’obsession de modernité et d’humanisme internationaliste après le cataclysme des années 39-45, les a amenés à confondre liberté et libertarisme, égalité et égalitarisme et fraternité avec « bisounourserie ». Comme à la même époque, le marxisme était en train de démontrer son inanité par les horreurs du communisme appliqué, ces penseurs pour tenter de faire oublier leur impardonnable erreur à son endroit, en ont désespérément tenté une synthèse impossible avec le christianisme social et noyé l’ensemble dans une mélasse embrouillée d’écolo-droit de l’hommisme ! Des élucubrations de Sartre à Foucault ou Edgar Morin en passant par les structuralistes, les dé-constructeurs soixante-huitards et les « bourdieuseries » de nos modernes penseurs en sciences sociales et sciences éducatives, est ainsi née cette désastreuse gaucho-bien-pensance qui nous a amené à un point de déliquescence intellectuelle, économique, sociale, sociétale qui nous empêche aujourd’hui de réagir à l’évolution du monde et de faire face aux défis qu’il nous lance, ne serait-ce que pour aider notre civilisation européenne à seulement survivre sans même parler de la rétablir dans son rôle dominant !!!

Déliquescence ? Oui ! Des exemples ? … et aussi des solutions pour éradiquer le mal …

 

L’information est malade des medias

 

La gaucho-pensance régnante leur fait confondre information et activisme politique voire propagande aux accents totalitaires sur ce qu’il convient de dire, penser et faire ! Il n’y a pas de « 4è pouvoir » ! Le pouvoir est politique et est exercé au nom du peuple au sein des institutions de l’Etat, pas dans les salles de rédaction !

Que des medias du secteur privé s’acharnent à biaiser l’information en raison d’a-priori idéologiques, de lubies intellectuelles ou d’intérêts économiques ou financiers, passe encore puisqu’ils en sont l’instrument. On pense ici à des medias comme BFM TV, Mediapart, Le Monde, Libération, Marianne ou l’Obs dont la gaucho-bien-pensance est affirmée clairement par leurs journalistes dans le mesure où on peut les qualifier ainsi alors même que leur actionnaire appartient souvent à ce qu’on appelait autrefois à gauche « le grand capital ». Mais l’intolérable est atteint lorsque les media du « service public » s’adonnent au même jeu de la mystification voire du mensonge par omission ou par désinformation délibérée au mépris de la mission d’information brute et objective et de la neutralité politique auxquelles ils devraient s’astreindre ! On peut ranger dans cette catégorie, les radios et télévisions d’Etat avec leur généreuse dotation de journaleux, humoreux et cultureux qui se répandent sur les ondes de France Inter (l’ancienne « radio-Jospin » !), France Culture et autres émetteurs de Radio-France, les chaînes de télévision publiques de France 2, France 3, Arte etc… La dérive ultime de ces organes du secteur privé comme du secteur public, est de voir quelques-uns de leurs « journaleux » s’auto-proclamer « investigateurs » en confondant investigation et « accusation ». Ainsi voit-on fleurir les dérives que l’on connaît aujourd’hui qui mettent à mal aussi bien le pouvoir politique que la démocratie !

On les voit s’agiter au moindre évènement banal susceptible de « faire le buzz » ! Ainsi du Penelopegate transformé en machine de guerre anti-Fillon par la collusion des medias gauchisants avec les officines du pouvoir et cette détestable partie politisée du corps judiciaire ! Les journaleux s’agitent donc dans les rédactions et sur les plateaux à ressasser jusqu’à l’écoeurement, des commentaires sur des commentaires eux-mêmes fondés sur des rumeurs d’on ne sait pas toujours très bien la provenance sur une « affaire » qui n’en est pas une et dont le dernier chapitre se termine sur la négation triomphante de la catastrophe politique que lesdits journaleux avançaient comme inéluctable depuis plus d’un mois ! Eh oui, Fillon a gagné contre la cabale et reste le seul à droite car il est aux yeux du peuple, le seul crédible et capable de mener à bien le redressement du pays pour le rétablir dans son rôle séculaire de puissance-pivot en Europe ! C’est cela l’important et non l’écume des plateaux et des rédactions qui déjà s’envole au vent du néant de la com’ politique !

Non, il n’existe pas de « 4è pouvoir » ! Seul le « politique » compte car c’est le politique qui représente le peuple, décide et fait au nom du peuple ! Aux journaleux du privé, il faut leur rappeler la déontologie de base de l’information, les attaquer en justice si nécessaire ou tout simplement ne pas acheter ou regarder leurs journaux. Quant au « Secteur public de l’information », un recadrage sévère s’impose dans le sens d’une information neutre politiquement dont l’expression doit s’apprendre dès l’école de journalisme et qui doit être strictement évaluée et sanctionnée dans le cadre légal par un organisme neutre et indépendant avec éventuel recours aux tribunaux, sous la haute tutelle du pouvoir exécutif responsable du bon fonctionnement des pouvoirs publics. La gaucho-pensance ne doit plus régner sur ces écoles ni sur les organismes de contrôle ni bien entendu, dans la relation quotidienne des faits à défaut de quoi lesdits journalistes ne seraient plus que des journaleux ou des comiques !

De la même manière, il faut arrêter la dérive déjà bien engagée vers un « gouvernement des juges » !

 On constate depuis quelques décennies une dangereuse tendance du système judiciaire à interférer dans le domaine législatif ou tout du moins à vouloir encadrer le domaine de la loi ou à interpréter la loi dans un sens qui n’est pas nécessairement celui voulu par le législateur . Ceci n’est pas seulement le fait de quelques individualités du corps judiciaire mais aussi très souvent le fait de certains tribunaux ou cours de justice nationales et internationales comme le Conseil d’Etat, la Cour de Cassation voire le Conseil Constitutionnel qui ne cesse de vouloir étendre sa compétence à des domaines non prévus par la Constitution originelle et d’élargir les possibilités de saisine au point qu’il est en voie de se constituer en « Cour Suprême » ce qui n’est pas du tout dans la tradition institutionnelle ni juridique française. Pire encore sont les interventions des cours internationales comme la Cour de Justice Européenne ou la Cour Européenne des Droits de l’Homme qui peuvent prétendre contredire voire annuler des décisions législatives ou exécutives prises par les autorités françaises dans l’intérêt supérieur du pays, par exemple en économie dans le domaine de la concurrence ou en matière sociale ou sociétale au nom des droits de l’homme tels que ces tribunaux les interprètent de façon souvent très extensive.

L’autre aspect est la tendance de certains magistrats tant du corps administratif que du corps judiciaire à oublier qu’ils ne sont que les serviteurs de la loi ou du règlement tels qu’ils sont édictés et à biaiser ou même faire prévaloir une interprétation trop souvent empreinte de considérations morales voire idéologiques et politiques qui leur seraient supérieures tout au moins dans l’esprit de ces magistrats. C’est ainsi qu’on aboutit parfois à des dénis de justice par aveuglement sur des principes de droit ou pratiques administratives qui n’ont rien à voir avec la simple équité ou pire encore, à de véritables turpitudes judiciaires lorsque les juges se laissent emporter par une quelconque passion politique en prenant des décisions sans fondement ou aux motifs biaisées voire « arrangés », laissent filtrer délibérément des informations qui devraient rester secrètes vers des media complices de leur bord politique et les laissent diffuser ces informations sans contrôle afin de nuire comme cela s’est produit depuis quelques années à de nombreuses reprises au détriment, curieusement et essentiellement, d’hommes politiques de droite. Le scandale du « Mur des Cons » reste vivace dans nos mémoires et met directement en cause le Syndicat de la Magistrature qui affichait ainsi entre autres multiples déclarations individuelles de juges appartenant à ce syndicat, ses orientations politiques gauchisantes jetant ainsi la suspicion sur les décisions de notre Justice nationale dans son ensemble !

Le recadrage devra donc porter à la fois sur la compétence des cours et le comportement des juges. La France ne saurait accepter que ses décisions souveraines dans la mesure où elles sont d’intérêt stratégique national, puissent être remises en cause par telle ou telle cour de justice internationale. Elle estime que s’il y a conflit avec d’autres Etats ou nations sur les sujets concernés, les problèmes qui en résultent, doivent être résolus par des discussions entre Etats et peuples souverains. Quant à l’extension ou la limitation du domaine de compétence et des modalités de saisine des Cours de justice nationales, ces questions relèvent de la loi voire de la Constitution. S’agissant des magistrats, le recadrage s’impose afin de s’assurer que lesdits magistrats n’outrepassent pas leur mission qui est d’appliquer la loi ou le règlement tels qu’ils sont édictés et non tels qu’ils souhaiteraient qu’ils le soient ou tels qu’ils les interprètent abusivement en fonction de leur idée du bien et de la justice ! La question sera également posée de la justification ou non du droit syndical dans les fonctions judiciaires comme d’ailleurs dans toutes les fonctions de souveraineté qui impliquent une subordination exemplaire à l’autorité supérieure à savoir le Ministre et au-delà le Gouvernement et le Président de la République, seuls représentants et dépositaires de l’autorité du peuple français, sans possibilité d’interférence d’un quelconque corps intermédiaire qui prétendrait participer à la décision.

L’autorité de l’Etat a disparu avec l’incurie et le laxisme idéologique du pouvoir de gauche. Elle est la condition de l’existence de la nation, elle doit donc être restaurée.

 L’Etat a renoncé à faire respecter l’ordre public en mettant en œuvre une impardonnable « politique de l’excuse » qui dans le droit fil des lubies et « bourdieuseries » du déterminisme socialimpliquant la responsabilité première de la société à l’égard d’un individu naturellement bon mais perverti par elle, a encouragé les voyous et les casseurs à enfreindre la loi de façon de plus en plus éhontée. Ils ne se limitent plus aux « incivilités », à voler ou cambrioler, attaquer les vieilles dames et les jeunes filles, trafiquer de tous produits en tous terrains … ils attaquent maintenant la police en cherchant à tuer les policiers ! On n’emprisonne plus, on admoneste et les juges relâchent aussitôt les voyous que la police vient d’arrêter ! Le summum de l’imbécilité et de l’inefficacité judiciaires est sans doute aucun, l’apanage de la politique pénale de Mme Taubira, Garde des Sceaux et Ministre de la Justice nommée par le « Président » Hollande dans cette fonction régalienne majeure en dépit de ses antécédents « indépendantistes » et maintenue à ce poste d’autorité malgré les étalages indécents de sa voyoucratie familiale ! On mesure là le degré de déliquescence institutionnelle engendré par la gaucho-pensance, les dérives qu’elle autorise et les complicités qu’elle noue au sein de l’Etat !

C’est de tolérance « 0 » qu’il faut maintenant parler et de recadrage de la politique pénale mais aussi des juges qui s’arrogeraient le droit de faire prévaloir leur interprétation de la loi quitte à en « tordre » la signification dans le sens de leur idéologie. Cette remise en ordre devra commencer naturellement avec celle de l’Ecole de la Magistrature et celle du Syndicat de la Magistrature dont l’affichage politique est intolérable au sein du corps judiciaire de notre République. La question de la syndicalisation des magistrats comme de toutes les fonctions régaliennes est d’ailleurs posée.

 

Parlant des syndicats, il convient aussi de rappeler que leur rôle est de défense des intérêts des salariés qu’ils prétendent représenter et non d’imposer leur volonté aux pouvoirs publics ni de co-diriger ministères, organismes publics et entreprises privées. A ce titre, il est intolérable de les voir paralyser les transports publics ou bloquer les dépôts de carburants dès qu’un projet de loi travail ne leur plaît pas comme il est advenu au printemps dernier par exemple. Il est intolérable qu’ils co-dirigent de fait administrations et entreprises publiques et aillent jusqu’à bloquer toute initiative et réforme de ces entités en invoquant la « défense du service public ». Le service public ne leur appartient pas. Il appartient au peuple français qui en a confié la gestion aux autorités élues par lui qui à leur tour, en ont nommé les chefs responsables devant elles et devant le peuple français. Les syndicats n’ont rien à y voir, ils ne sont que les représentants des salariés.

Les ministres et les chefs d’entreprises et d’entités publiques ou privées chargées d’une mission de service public doivent donc reprendre le pouvoir dans leurs ministères et entités ou entreprises. Ceci est aussi nécessaire à Air France dont les syndicats jouent avec la survie de l’entreprise qu’avec l’Education Nationale dont l’efficacité et la qualité de l’enseignement se délitent continûment sous l’emprise de syndicats et groupes de pression obsédés par des idéologies éducatives et sociales inadaptées voire tout à fait contre-productives.

Le ratage et le lent dépérissement de l’Education Nationale est exemplaire à cet égard. Il commence dans les années 68-70 lorsque les Ministres successifs ont commencé à démissionner devant les réclamations syndicales mais surtout devant les lubies et bourdieuseries éducatives dérivées des principes libertaires et égalitaristes du « clergé pédagogiste » qui a fini par convertir et donc contaminer non seulement les hiérarchies techniques et politiques du Ministère mais aussi hélas, une grande partie du corps enseignant. Il faut d’urgence remonter la pente et pour cela rétablir l’autorité du Ministre sur son Ministère, celle des directeurs d’établissement dans les écoles mais aussi celle des professeurs sur les élèves, la discipline étant à l’opposé de la chienlit qui règne dans beaucoup trop de classes, le premier facteur d’efficacité de l’enseignement. La mission de l’école n’est pas de laisser les enfants « auto-construire » leurs propres savoirs comme le voudrait l’idéologie irréaliste des « pédago » mais de les instruire des bases du savoir et du comportement citoyen. Elle est faite pour la masse des enfants qui ont besoin d’un encadrement minimum pour apprendre, elle n’est pas faite pour les quelques génies capables de « s’auto-construire » !

L’inefficacité de l’école est de plus, la première cause de l’échec croissant de l’intégration des enfants d’immigrés. C’est donc une urgence nationale que de rétablir l’école dans son rôle d’enseignement actif pour faciliter l’intégration puis l’assimilation de nos jeunes.

La « reconquête » des quartiers et le cadrage de l’immigration et de l’islam sur l’ensemble du territoire est le troisième pilier du rétablissement de l’autorité de l’Etat (voir à ce sujet les textes intitulés « immigration-islam » sur le même site http://bienpensance-penserfaux.eu)

La reconquête peut se limiter à la revivification de certains quartiers par l’amélioration des services publics et le développement d’une politique plus ou moins intensive de « développement local » incluant les aspects économie-emploi avec création d’activités productives et systèmes de financement locaux du type caisses d’épargne et de crédit, organisation sociale et formation. Il pourra s’agir dans d’autres cas de rétablir l’ordre au préalable, éventuellement par la force, pour éradiquer les trafics illégaux, saisir les armes, arrêter, juger et emprisonner les « caïds » puis d’engager dans la foulée le processus « développement local ».

En parallèle, il convient de préciser, diffuser et bien faire comprendre le dispositif de cadrage qui régira l’immigration sachant que la France n’a aucun besoin crucial de main d’œuvre immigrée, qu’elle n’est donc pas demandeur et que ce sera aux immigrants qui seront acceptés sur le territoire de faire l’effort d’intégration au contexte français économique, social, sociétal et culturel pour éviter tout phénomène de rejet et tout problème de trouble à l’ordre public. L’acceptation et le séjour dépendront de conditions précises quant au statut (réfugié par exemple), au travail et aux moyens d’existence sachant que si lesdites conditions n’étaient pas ou n’étaient plus satisfaites ou si le comportement de l’individu laissait à désirer (condamnation en justice), il serait aussitôt expulsé vers son pays d’origine. Au-delà de sa simple intégration, l’étranger immigré qui souhaite devenir français devra démontrer qu’il « se sent français d’abord » avant toute autre allégeance nationale, ethnique, culturelle ou religieuse et devra apporter la preuve d’un parcours d’intégration sans tache. Cela conduira donc à modifier la législation du droit du sol car on ne pourra accorder la naturalisation au jeune immigré né sur le sol français qu’à l’âge de sa majorité à condition bien entendu qu’il ait fait la démonstration de son intégration pleine et entière c'est-à-dire du total respect des lois et coutumes de la République et de la société française.

L’islam est une religion « totalitaire » en ce sens qu’elle définit tous les codes de comportement de la vie personnelle, familiale, économique, sociale, sociétale et politique de l’individu musulman. L’intégration implique que le musulman donne la préséance dans sa vie publique aux codes pratiqués en France et laisse les pratiques musulmanes à sa sphère privée à condition encore qu’il ne cherche pas à les imposer à sa famille dans le cas où elles seraient contraires aux lois de la République. Les musulmans doivent se pénétrer du fait que l’islam se pratique à la maison ou à la mosquée mais jamais en public ni dans les lieux publics ni dans les lieux privés d’accès public ou dans les entreprises. Il existe en effet en France, une séparation stricte du temporel et du spirituel comme de la sphère privée et de la sphère publique et la démocratie française implique de respecter strictement les principes de liberté, égalité et fraternité ainsi que ceux des droits de l’homme, en particulier en ce qui concerne le statut des femmes et le respect qui leur est dû.

Ce cadrage devra être strictement appliqué et tout manquement dûment et systématiquement sanctionné jusqu’à l’obtention d’une parfaite convivialité entre musulmans et non-musulmans selon la loi française et/ou jusqu’à la réforme de l’islam qu’appellent de leurs vœux les intellectuels musulmans les plus marquants de notre époque et beaucoup de ceux des siècles passés afin d’adapter la religion aux exigences et au contexte du 21è siècle qui n’ont plus grand chose à voir avec ceux de l’Arabie bédouine du 7è siècle ni avec ceux du 10è siècle lorsque l’effort d’ijtihad et d’exégèse des textes sacrés s’est malheureusement arrêté pour des raisons d’ailleurs plus politiques que religieuses. Le reprendre serait l’honneur des autorités religieuses de l’islam. Cela faciliterait grandement la vie des communautés musulmanes d’Europe et celle de l’Oumma toute entière !

Sachons cependant s’agissant de ce cadre, que certains musulmans plus excités que les autres, se feront un malin plaisir de tester notre résistance aux provocations qu’ils ne manqueront pas de faire en public pour toujours tenter d’aller plus loin jusqu’à l’imposition de leurs pratiques. Il faudra sévèrement sanctionner les musulmans qui se livreront à ces provocations et plus encore bien évidemment les prêcheurs ou imams qui s’y livreraient. L’islam politique, l’islamisme en effet, commence avec le petit jihad et finit avec le jihad offensif c'est-à-dire la guerre et la soumission des non-croyants. Il faut donc arrêter dès le départ les dérives de l’islam. Il faut également savoir que la pratique du mensonge, la taqiyya, est courante en islam car autorisée par la religion face aux non-musulmans. Veiller constamment sur ce type de dérives de l’islam et les arrêter au besoin par la force, est vital pour la préservation de notre civilisation et l’assurance du « vivre ensemble » dont la gauche nous rebat les oreilles sans bien en comprendre les implications.

Nos dirigeants politiques doivent en être conscients et avoir une volonté farouche de combattre ces dérives. Certains comme Emmanuel Macron et nos candidats de gauche n’en ont pas la moindre conscience ni par conséquent la moindre volonté.

L’économie française part à la dérive car depuis plus de trente ans on applique des recettes de gauche ou gauchisantes

C’est bien en économie que l’adage « La gauche pense faux et agit à contresens », se vérifie le mieux et se confirme chaque jour depuis près d’un siècle. La qualification « d’économiste de gauche » que revendiquent nos plus voyants économistes ou commentateurs est d’ailleurs l’exemple même de l’oxymore ! C’est une incongruité en effet, de se dire économiste et de gauche !

La gauche n’a toujours pas compris que pour produire et créer de l’emploi, il fallait du capital et du travail mais que si les travailleurs sont relativement faciles à trouver, il est plus difficile de trouver des épargnants-entrepreneurs, c'est-à-dire des travailleurs qui ont mis de côté une partie de leurs gains et qui acceptent de les risquer dans une aventure productive originale. Ce n’est donc pas une lutte du capital contre le travail qu’il s’agit d’organiser mais bien leur association pour produire plus et mieux afin de créer toujours plus de capital et de travail à mesure que croît la population et qu’elle s’enrichit. Adam Smith et Karl Marx se sont tous deux, trompés sur l’idée de paupérisation mais Jésus a gagné en encourageant le travail à la sueur de notre front et en enjoignant au chrétien de prendre ses responsabilités tout en restant attentif aux pauvres.

Au lieu de faire confiance à l’initiative individuelle, la gauche a voulu faire le bien par l’intermédiaire de l’Etat or la gauche n’a jamais bien compris ni admis que l’argent de la dépense publique n’était pas vraiment un cadeau du ciel ou de la Banque Centrale et qu’elle devait au bout du compte, être financée par l’impôt, par l’emprunt ou pire par l’inflation c'est-à-dire la dévalorisation de l’épargne. Il lui est donc difficile de comprendre le lien fondamental entre les éléments de base du cercle vicieux qu’elle s’obstine à reproduire à chaque fois qu’elle arrive au pouvoir :

plus de dépense publique = plus d’impôts sur le travail et le capital = moins de consommation et d’épargne = moins de production et d’investissement = moins d’emploi = plus de dépense publique d’assistance donc plus d’impôts et de charges etc, etc …

La gauche française ne s’est jamais réellement convertie à l’économie de marché et s’obstine en adepte obtuse et confuse du cercle vicieux qui engendre le délitement économique du pays et reste incapable de le transformer en cercle vertueux comme l’ont fait les autres pays moins « idéologiquement butés » mais plus avancés dans la compréhension du cycle économique de base.

Le redressement économique et social du pays implique donc la réduction drastique de la dépense publique par une révision générale des missions, fonctions, procédures et moyens de l’ensemble des institutions, organismes et entreprises du secteur public administratif, économique et social afin d’en assurer une gestion plus efficace au moindre coût. Cela se traduira par la remise en cause de certaines missions, par la « flexibilisation » des procédures et de l’emploi des moyens, par la remise en cause des rigidités statutaires voire des statuts eux-mêmes dans tous les secteurs autres que les fonctions essentielles de souveraineté, police, justice, armée par exemple. Dans la mesure où les coûts du service public sont supportés par les impôts des contribuables, particuliers et entreprises, ou par l’emprunt que lesdits contribuables devront rembourser un jour, il est parfaitement légitime de demander aux agents publics la plus grande efficacité au moindre coût dans l’exécution de leurs tâches.

Par ailleurs, droit de grève et droit syndical devront être revus tant dans le secteur privé que dans le secteur public et ne s’exercer que dans le cadre des lois qui les règlementent. Les syndicats en effet, ont un rôle de défense des salariés mais aucunement un rôle de co-gestion au niveau de l’entreprise, il y a pour cela le chef d’entreprise, ni au niveau de l’Etat, de ses administrations et autres dépendances où le ministre, les élus ou leurs représentants nommés ont seul le pouvoir de décider par délégation du peuple, de la façon dont ces entités doivent être gérées. Le pouvoir est au Gouvernement, au Parlement et au peuple en dernier ressort, il n’appartient pas aux syndicats. C’est ainsi qu’on ne saurait plus tolérer de grèves-blocages d’ordre purement politique sans rapport avec le travail ni la situation des salariés ou de leur entreprise, ni de grèves de solidarité avec d’autres conflits sociaux comme on en a connu au printemps 2016. Le droit de grève s’exerçant dans le cadre des lois qui le réglementent, il faudra très vite préciser ces lois en particulier pour les secteurs stratégiques d’ordre économique ou social comme l’énergie, les transports, les hôpitaux ou l’éducation nationale et bien entendu les fonctions de souveraineté comme la police ou la justice. Le droit de syndicalisation devra également être revu en fonction du caractère régalien ou stratégique du secteur concerné de façon à éradiquer définitivement les « énormités » socio-politiques ou institutionnelles du type de celle que le Syndicat de la Magistrature à osé étaler avec l’indécent affichage de ses préférences et détestations politiques.

L’objectif est d’arrêter le lent processus de dégradation de notre économie, de stagnation des revenus et de l’emploi qui conduit la France à reculer sur l’échelle des puissances qui comptent dans le monde. Il est aussi de sauvegarder et d’accroître le niveau de protection de notre système social et la capacité d’intervention de nos services publics à l’intérieur comme à l’extérieur du pays. Ce n’est pas une question de moyens mais d’organisation de ces moyens. Il faut les utiliser mieux et à moindre coût.

Tous les candidats-Présidents parlent de libérer voire de « booster » (c’est plus moderne en anglais comme dirait Macron !?) la dynamique de l’économie française mais qui pense-t-on, sera capable, suffisamment énergique et éminemment tenace pour contraindre drastiquement la dépense publique, cadrer sévèrement le secteur public et flexibiliser-sécuriser le travail en général puisqu’il faudra en passer par là ? Qui sera capable de faire face aux dizaines ou centaines de milliers de gens que les syndicats pousseront dans la rue pour faire plier le Gouvernement ? Seul François Fillon en a l’expérience et la capacité. Il l’a fait avec Nicolas Sarkozy quand ils ont imposé à la multitude syndiquée les réformes de 2010-12 à commencer par celle des retraites, la première réforme depuis plus de cinquante ans qui revenait sur un « droit acquis » selon la terminologie syndicale !

 

Oui, il faudra être fort ! Or la gaucho-bien-pensance nous conduit à une dévirilisation ou plutôt à une féminisation sinon à une « pédérastisation » de notre société … une société peureuse et qui n’ose plus et même ne pense plus puisqu’il faut employer le sabir politiquement correct …

… à force de culpabiliser la France sur l’esclavage (Ch. Taubira), sur la barbarie coloniale (invraisemblable déclaration d’Emmanuel Macron … en Algérie comme s’il souhaitait déclencher l’insurrection dans nos banlieues mal intégrées !!! … un candidat-Président irresponsable !!!)

… à force de placer les minorités sur un piédestal comme si elles étaient la norme et ou le bien pas le bon français de souche : homosexuels, transsexuels ( ?), féministes, étrangers, …

… à force de chasser partout la xénophobie, l’islamophobie et le racisme comme si on ne pouvait pas dire qu’un noir est différent d’un blanc, que l’islam n’est pas compatible avec la démocratie en certains de ses principes et certaines de ses pratiques, que les étrangers doivent se plier aux lois et coutumes françaises et non l’inverse …

… à force de faire croire que c’est la République qui doit s’adapter et non les immigrés qui doivent faire l’effort de s’intégrer …

… à force d’emm…. le monde avec les questions de « genre » : oui, la femme est différente de l’homme et il convient d’éduquer un garçon comme un garçon et une fille comme une fille sans mobiliser des bataillons entiers de l’éducation nationale pour faire l’inverse …

… à force de faire croire que tout se vaut : non, tout n’est pas « art » (J. Lang sur une mauvaise interprétation de Duchamp !), toutes les civilisations ne se valent pas ni d’ailleurs tous les humains ni toutes les religions, philosophies, etc… car l’inégalité est dans la nature et les individus, les sociétés, les cultures sont à des degrés d’avancement différents …

… à force de vouloir nous imposer le catéchisme du « vivre ensemble » où la culture du bon sauvage devrait se mélanger à celle du méchant occidental pour fabriquer cette soupe culturelle mondialisée faite de cultures de banlieues qui n’ont plus rien à voir avec les cultures originelles des pays-souche (c’est la culture « pizza-coca-hamburger-noodle-kebab » !) … Macron y sera à l’aise puisqu’il affirme qu’il n’y a « pas de culture française mais des cultures en France » !!!

… à force d’inventer des droits à tout et n’importe quoi sans exiger de devoirs en contrepartie en s’obsédant à faire une lecture extensive et multi-faces de ces « droits de l’homme » que notre civilisation a inventés et qu’elle a apportés au monde entier !

… à force de nous seriner que tout le monde est beau et gentil et que si un sale gosse devient un voyou, ce n’est pas sa faute mais celle de la société suivant les bons principes de nos penseurs dé-constructeurs structuralistes et social-déterministes qui de Sartre à Foucault, via la bande d’Althusser, Deleuze, Morin ou l’ineffable Bourdieu, ont totalement perverti notre éducation nationale mais solidement établi cette gaucho-bien-pensance à l’origine de la déliquescence dans laquelle est entraînée le pays !

Bref, à force d’énoncer de fausses valeurs et d’en faire la catéchisme de la société des cinquante dernières années, que tout le monde se plaigne de tout et que tout le monde plaigne tout le monde, que tout le monde soit « cocooné » de génération X en génération Y puis en génération Z, notre société est devenue une société d’irresponsables et de mous où règnent la facilité et le laxisme, en quelque sorte une « nouvelle race d’hommes-femmes » hésitants, peureux, un peu paumés qu’on a rendus incapables d’agir autrement que par caprice et fantaisie faute de leur avoir appris les repères utiles mais auxquels on a de plus, inculqué que leurs droits n’avaient pas de limite et que jouir sans entrave était un droit imprescriptible ! De responsabilité individuelle point, de résistance à l’adversité peu, de volonté de surpassement rare, … c’est le règne de l’individualisme égoïste, libertaire et souvent insatisfait !

Voilà pourquoi Macron se sent à l’aise dans ce monde et y recueille un certain succès : il est beau et gentil avec tout le monde, il promet tout à tout le monde … et il est nouveau !

Les concepts de force, de responsabilité, d’effort ne sont pas « mode » et il est mal vu de les évoquer. Ce pourrait être du machisme, du racisme, de la xénophobie, de l’islamophobie voire du fascisme !?

 

Ce n’est pas en suivant la pente fatale de la mollesse bien-pensante et de la déliquescence où elle nous a menés qu’on redressera la France. Il faudra de la force, du courage et de la volonté pour la rétablir dans son rôle de puissance-pivot en Europe et faire ensuite de celle-ci la puissance mondiale de référence. Ce ne sera pas avec Macron mais bien avec Fillon que la France pourra se ressaisir !

 

 

 

 

 

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