Libertarisme, égalitarisme et bisounourserie (2) … le combat sera donc culturel, économique et social mais aussi d’autorité de l’Etat et de cohésion nationale (11 Novembre 2017)
… redresser la France et la rétablir dans son rôle séculaire de puissance-pivot en Europe
Le combat seraculturel pour débarrasser la France des fausses valeurs de sa vieille maladie de « gaucho-bien-pensance » et de ce moderne « bobo-libéral-progressisme » son nouveau mal du siècle, ces deux maux qui l’ont fait entrer en déliquescence. Il sera aussi économique et social pour réformer un secteur public obèse et inefficace et du même coup, rendre sa compétitivité à l’économie française, créer les emplois qui manquent et répondre aux vrais besoins du peuple français. Ces derniers ne seraient pas satisfaits si ce combat n’était pas aussi d’autorité de l’Etat pour assurer la cohésion nationale en rétablissant le lien police-justice ainsi que l’efficacité de l’éducation nationale et en cadrant les flux d’immigration et les pratiques islamiques.
Le Combat pour le redressement culturel
Dans le désert intellectuel ravagé par les faux-penseurs de la gauche post-guerre jusqu’à l’apothéose soixante-huitarde, les deux ou trois dernières décennies ont vu éclore une pensée qu’on a appelée de droite parce que penser juste n’est toujours pas de gauche, de la même manière qu’on ne peut décemment parler d’économie de gauche puisqu’il est devenu évident qu’il s’agit d’un oxymore. La gauche en effet, ne cesse de montrer au monde qu’elle pense faux et agit à contresens comme en économie, elle s’évertue à dépenser mais ne sait pas produire ! Pour le démontrer, il aura fallu les catastrophes du communisme et de ses avatars fasciste et nazi puis les expériences plus récentes du monde occidental dont la France reste le seul pays n’ayant pas encore mis définitivement à l’encan les postures dites keynésiennes et le culte de la dépense publique rédemptrice et salvatrice !!!
Les « déclinistes » de la nouvelle pensée dite de droite, ont donc mis en exergue les erreurs et contresens de la pensée et des politiques de gauche. Celles-ci n’ont d’horizon que le social ou le sociétal à court terme pour des raisons électorales habillées de bons sentiments ce qui engendre pour le long terme, le marasme de l’emploi par la « stagflation » et la ruine de l’économie par l’inflation avec la multiplication des droits à tout et n’importe quoi sans devoir de contrepartie. Et comme selon la doxa marxienne, l’économie porte le social et que celui-ci ne s’enrichit pas sans pousser vers le « sociétal », ces mêmes « déclinistes » ont insisté sur les contresens de la « pensée 68 » avec ses dégénérescences libertaristes, égalitaristes et écolo-droit-de-l’hommistes à propos de genre, de féminisme, d’homosexualité, d’immigration et de toutes les minorités qu’il convenait de sacraliser et de « cocooner » aux dépens des intérêts du peuple tout entier, voire de l’identité française et de la nation elle-même. Oui, notre société se délite au point qu’elle doute d’elle-même puisque la doxa gaucho-pensante ne lui accorde plus le droit d’être elle-même mais seulement de « se mettre au service » des minorités souffrantes pour « réparer ses grandes fautes ». Une société donc qui geint et qui se plaint de sa propre misère mais qui doit expier et dont le « cocooning » et la « bisounourserie » sont devenus les préoccupations premières aux dépens des vertus masculines et d’une « volonté de puissance » maintenant disparue, bref, une société prête à capituler au lieu de se préparer au combat qu’il faudra mener dans le monde du 21è siècle.
Les déclinistes ont eu le grand mérite de mettre en évidence ce processus de déliquescence nationale où la France se dilue lentement et d’en identifier les causes dans le totalitarisme régnant de la gaucho-bien-pensance qui se transforme sous nos yeux en un plus « moderne » bobo-libéral-progressisme tout aussi amolli et incapable du sursaut dont la France a besoin pour en sortir.
Nos « déclinistes » cependant encourent à juste titre, le reproche de ne rien proposer à cet égard. Ce sera donc au « politique » que de nous en sortir … mais bien évidemment un « politique » qui n’ait pas été contaminé par le mal qu’il faut éradiquer !
Il est urgent en effet, de remettre de l’ordre dans notre société en rendant le pouvoir à ceux que le peuple a choisis lorsqu’il les a mis à la tête de ses institutions et en le reprenant à ceux qui l’ont usurpé à la faveur de cette dégénérescence de l’esprit citoyen et du sens des responsabilités nationales. On citera à cet égard en premier lieu parmi les usurpateurs, les « élites » médiatiques ou plutôt les « journaleux » qui en fait d’information, font de l’activisme politique conformément au catéchisme bien-pensant selon lequel leurs écoles de journalisme les ont formatées et tentent de s’ériger en « 4è pouvoir », impardonnable prétention s’agissant du « secteur public de l’information » qu’il faudra recadrer fermement dans le sens de sa mission d’information qui se doit d’être neutre et a-politique. Parmi les usurpateurs, nommons aussi les syndicats professionnels qui à l’Education Nationale par exemple mais aussi pour une partie du corps judiciaire et dans la plupart des institutions ou entreprises du secteur public, ont arraché peu à peu à leurs ministres ou dirigeants trop faibles ou trop lâches, un véritable pouvoir de co-direction de ces institutions. Certains de ces syndicats vont jusqu’à jouer de l’intimidation et, accoutumés à la pusillanimité des gouvernements, ont pris l’habitude de contester dans la rue les décisions de leurs administrations, services ou entreprises voire celles de l’Etat et même les lois votées par le Parlement. Non contents de « casser » le service public qu’ils prétendent défendre, à coups de grèves répétées et de résistance passive aux ordres reçus, ils n’hésitent pas à se comporter en « casseurs » de biens publics au long des cortèges de leurs manifestations ! De même beaucoup d’associations à prétention charitable ou de défense des droits et des pauvres gens ne font en fait que de l’activisme politique, de la revendication de droits qui n’existent pas, de « l’immigrationnisme », bref, promeuvent l’illégalité sans parler là aussi, de celles dont le but n’est que de « casser l’Etat voire de casser du flic » ou d’occuper illégalement des locaux ou des lieux symboliques de leur « lutte révolutionnaire » ! Oui, il faut aussi se débarrasser des casseurs de la culture dont les fantasmes dégénèrent en casse sociale et en crimes contre l’humanité. D’autres usurpateurs et non des moindres, sont les politiciens de gauche qui s’obstinent à penser faux et agir à contresens mais aussi, hélas ! quelques politiciens de droite amollis par cette bobo-gaucho-bien-pensance progressiste dont ils se sont laissé contaminer, préférant la facilité des fausses valeurs qu’elle porte à l’effort requis pour traiter les vrais problèmes du peuple de France.
Le problème est bien de remettre de l’ordre dans notre pensée et dans notre société, il n’est pas de changer de « République » comme le clament beaucoup de politiciens du camp de la bien-pensance un peu bousculés et perdus par les changements du monde ! Les institutions de la Vè République ont précisément été conçues pour les coups durs et pour faire face à la volatilité de la politique française. Elles sont parfaitement capables d’accompagner le redressement du pays et de rendre du même coup à la France son rôle de puissance-pivot en Europe. Pas besoin pour cela de VIè République qui ne ferait que nous ramener à la chienlit politique de la IVè sous prétexte de « démocratie plus participative ou plus représentative » ! La société civile non plus n’est pas la panacée que d’autres croient avoir trouvée. Elle ne saurait remplacer l’Etat ni même ses serviteurs publics ! L’idée du « ni droite-ni gauche » et celles du « tout au centre », des « majorités d’idées » voire des « deux français sur trois » sont de vieilles lunes des années 70 maintes fois agitées mais jamais appliquées parce qu’elles ne cadrent pas avec la réalité politique, économique ni sociale de notre pays. Notre tout jeune et tout nouveau Président n’a rien inventé et il ferait mieux de s’aviser que les institutions ne font pas les hommes ni les politiques !
Les mauvaises politiques sont le fait des hommes pas des institutions et quand les hommes sont mauvais ou médiocres, on a de mauvaises ou médiocres politiques ! On vient d’en faire l’amère expérience avec les cinq années perdues du socialisme hollandesque : incurie, contresens idéologiques, électoralisme et malhonnêteté politique.
Eradiquons la « gaucho-bien-pensance » et son avatar « bobo-libéral-progressiste » qui nous font penser faux et agir à contresens ! Amis intellectuels, rappelez-vous l’admonestation de Simone Weil qui vous recommandait de revenir sur terre pour éviter de fracasser vos grandes et belles constructions intellectuelles sur l’écueil des réalités ! Amis dirigeants politiques, rappelez-vous la parole de de Gaulle : « L’action ce sont des hommes au milieu des circonstances » ! Ne vous laissez pas aller à penser sans agir ou agir sans penser !
Le Combat pour la puissance économique et l’emploi
Dans le domaine social et sociétal, la gauche pense faux mais elle a l’excuse de vouloir faire le bien comme Jésus et Marx le souhaitaient ! En économie en revanche, la gauche pense faux mais il n’y a pas dans ce domaine, d’excuse possible car l’économie c’est la vie tout simplement !
Elle n’a toujours pas compris que pour produire et créer de l’emploi, il fallait du capital et du travail mais que si les travailleurs sont relativement faciles à trouver, il est plus difficile de trouver des épargnants-entrepreneurs, c'est-à-dire des travailleurs qui ont mis de côté une partie de leurs gains et qui acceptent de les risquer dans une aventure productive originale.
Ce n’est donc pas une lutte du capital contre le travail qu’il s’agit d’organiser mais bien leur association pour produire plus et mieux afin de créer toujours plus de capital et de travail à mesure que croît la population et qu’elle s’enrichit. Adam Smith et Karl Marx se sont tous deux, trompés sur l’idée de paupérisation mais Jésus a gagné en encourageant le travail à la sueur de notre front et en enjoignant au chrétien de prendre ses responsabilités tout en restant attentif aux pauvres.
Au lieu de faire confiance à l’initiative individuelle, la gauche a voulu faire le bien par l’intermédiaire d’un Etat dirigé par l’avant-garde du prolétariat avec cette merveilleuse invention du « centralisme démocratique » … et l’aventure communiste s’est soldée partout par les échecs et les barbaries que l’on sait ! La gauche, en particulier en France, n’a jamais voulu reconnaître l’erreur fondamentale du marxisme et de son avatar communiste. Elle s’est réfugiée dans le culte de la dépense publique comme solution à tous les problèmes économiques et sociaux mais en donnant la priorité à la dépense d’assistance sociale plutôt qu’à l’investissement productif ce qui conduit inévitablement à l’inflation d’un côté et à l’insuffisance productive de l’autre !
Pour notre malheur, la gauche n’a jamais admis que l’argent de la dépense publique n’était pas vraiment un cadeau du ciel ou de la Banque Centrale et qu’elle devait au bout du compte, être financée par l’impôt ou par l’emprunt. Il lui est donc difficile de comprendre le lien fondamental entre les éléments de base du cercle vicieux qu’elle s’obstine à reproduire à chaque fois qu’elle arrive au pouvoir :
plus de dépense publique = plus d’impôts sur le travail et le capital = moins de consommation et d’épargne = moins de production et d’investissement = moins d’emploi = plus de dépense publique d’assistance donc plus d’impôts et de charges etc, etc …
Ainsi se développe le cercle vicieux de la dépense publique et du délitement économique.
La gauche française ne s’étant jamais réellement convertie à l’économie de marché reste donc l’adepte obtuse et confuse du cercle vicieux et reste incapable de le transformer en cercle vertueux comme l’ont fait les autres pays moins « idéologiquement butés » mais plus avancés dans la compréhension du cycle économique de base.
Le redressement économique et social du pays passe alors la réduction drastique de la dépense publique et celle-ci par une révision générale et souvent déchirante des missions, fonctions, procédures et moyens de l’ensemble des institutions, organismes et entreprises du secteur public administratif, économique et social afin d’en assurer une gestion plus efficace au moindre coût. Cela se traduira par la remise en cause de certaines missions, par la « flexibilisation » des procédures et de l’emploi des moyens, par la remise en cause des rigidités statutaires voire des statuts eux-mêmes dans tous les secteurs même si dans les fonctions essentielles de souveraineté, police, justice, armée par exemple, la mission aura toujours la priorité sur les coûts.
Dans tous les domaines, il conviendra de convertir le secteur public à la règle de « l’amélioration continue » de la qualité et des coûts de production des biens et des services qui prévaut dans toute organisation humaine. Cette règle devrait être d’application encore plus stricte dans le secteur public dans la mesure où, à la différence du secteur privé, les coûts du service public sont supportés par les impôts des contribuables, particuliers et entreprises, ou par l’emprunt que lesdits contribuables devront rembourser un jour ! Il est donc parfaitement légitime et plus que nécessaire, il est vital pour le pays d’exiger des agents publics la plus grande efficacité au moindre coût dans l’exécution de leurs tâches.
Le futur gouvernement devra être d’autant plus strict dans la mise en œuvre de son plan de redressement économique et social qu’il s’agit de sauvegarder d’une part, notre système de protection sociale pour assurer le bien-être, la santé et la vie des français et de faire en sorte d’autre part, que l’Etat, les collectivités et organismes publics essentiels à la vie de la nation soient en mesure d’assurer les missions et fonctions nécessaires au développement de sa puissance dans le monde et bien évidement, de faire face aux tentatives d’empiètement du monde extérieur.
C’est ainsi qu’on ne saurait plus tolérer de grèves-blocages d’ordre purement politique sans rapport avec le travail ni la situation des salariés ou de leur entreprise, ni de grèves de solidarité avec d’autres conflits sociaux comme on en a connu au printemps 2016. Le droit de grève s’exerçant dans le cadre des lois qui le réglemente, il faudra très vite préciser ces lois en particulier pour les secteurs stratégiques dont font partie les services publics en particulier l’énergie, les transports et bien entendu la police ou encore la justice. Pour prendre les exemples les plus outranciers, on ne peut plus tolérer les brutalités syndicales des pilotes et employés d’Air France qui n’hésitent pas à abuser de leur monopole national et à mettre en péril leur compagnie en refusant toute réforme qui les conduirait à travailler un peu plus pour la rendre compétitive face à ses rivales internationales. Ni le comportement du Syndicat de la Magistrature qui a récemment outrepassé ses droits en ne respectant pas son devoir de réserve, jetant le doute sur la neutralité politique des décisions de justice.
Droit de grève et droit syndical devront être revus tant dans le secteur privé que dans le secteur public. Les syndicats en effet, ont un rôle de défense des intérêts des salariés mais aucunement un rôle de co-gestion et encore moins de co-direction au niveau de l’entreprise, il y a pour cela le chef d’entreprise, ni au niveau de l’Etat, de ses administrations et autres dépendances où le ministre, les élus ou leurs représentants nommés ont seuls, le pouvoir de décider par délégation du gouvernement et donc du peuple, de la façon dont ces entités doivent être gérées au nom de l’intérêt général. Il en est de même des lois y compris celles concernant le travail qui ne sauraient être contestées dans la rue puisque le gouvernement et le pouvoir législatif ont la légitimité en dernier ressort pour décider de ce qui doit être fait au cas où les discussions préliminaires avec les syndicats représentatifs n’auraient pas abouti. Le pouvoir est au Gouvernement, au Parlement et au peuple en dernier ressort, il n’appartient pas aux syndicats.
Eradiquons la « gaucho-bien-pensance » et son avatar « bobo-libéral-progressiste » qui nous font penser faux et agir à contresens ! Amis gauchos, révisez vos leçons d’économie ! Amis syndicalistes et associatifs, révisez vos catéchismes de défense du pauvre et de l’opprimé ! Le chemin n’est le plus souvent pas celui que vous croyez !
Le Combat pour l’autorité de l’Etat et la cohésion nationale
Qu’est-ce que l’autorité de l’Etat quand des écolo-casseurs, « alternatifs » ou gauchistes révolutionnaires (!), occupent l’emplacement du barrage de Sivens ou celui du futur aéroport de Notre Dame des Landes et non seulement désobéissent aux ordres mais se permettent d’agresser la police ? Quand des bobos un peu et pour certains très gauchos, occupent la Place de la République en période « d’état d’urgence » pour bavarder socio-politique et fumer des joints en imitant leurs petits camarades de Podemos de la Puerta del Sol, donnant ainsi l’occasion à quelques bandes de casseurs de détruire le mobilier urbain et les boutiques qui s’y trouvent ? Quand des syndicats archaïques à commencer par les deux plus puissants du secteur public, la CGT et FO trop gâtés et même pervertis par des gouvernements trop faibles, en restent à leur mentalité de lutte des classes du siècle dernier, manifestent contre une loi en bousculant l’ordre public en pleine période « d’état d’urgence » et laissent des casseurs saloper voire détruire les devantures des bâtiments publics sur leur parcours ? Quand des professeurs ont peur de réprimander des élèves qui chahutent ou qui les injurient parce qu’ils seront mal notés par une hiérarchie irresponsable et que des parents d’élèves voire des bandes de voyous viendront les tabasser jusque dans l’école ? Quand des voyous de la « diversité » à savoir des enfants nés français d’immigrés étrangers, se permettent non seulement de désobéir aux ordres mais aussi d’injurier voire de « caillasser » des ambulances, des pompiers ou des policiers et décident soudainement de « cramer du flic » à coups de cocktails Molotov ? Quand d’autres voyous de la même diversité quadrillent certains quartiers pour pouvoir organiser et conduire tranquillement leurs trafics ? Quand au mépris de la loi, les musulmans occupent la rue pour prier le vendredi au lieu de le faire chez eux ? Quand les femmes musulmanes sortent en burqa ou en niqab avec la ferme intention de tester les résistances de l’autorité publique et ne sont pas sanctionnées (ou pire, leurs contraventions payées par un généreux propagandiste étranger qu’on néglige d’expulser !) ? Quand la police s’exclue d’elle-même de certains quartiers à certains moments pour ne pas « faire de provocation » ? Quand la justice relâche les voyous quelques heures voire quelques minutes après que la police les ait arrêtés en flagrant délit ? Quand les plus hautes autorités judiciaires donnent aux juges des consignes de clémence pour ne pas surcharger les prisons au lieu de construire de nouvelles prisons ? Quand la philosophie pénale et judiciaire gangrène l’ensemble du système répressif en écartant l’idée de tolérance « 0 » et en inculquant aux futurs jeunes juges de l’Ecole de la Magistrature que la prévention sera plus effective par la tolérance tous azimuts que par la sanction qui, elle, serait « récidivante » ?
Pour éviter la fracturation du corps social et les violences qui pourraient s’ensuivre et mettre fin à la chienlit récurrente et croissante, il est urgent de rétablir l’autorité de l’Etat selon trois axes d’action prioritaires : éducation nationale, relation police-justice et cadrage immigration-islam.
Reconstruire l’Education nationale pour former une jeunesse efficace et responsable :l’éducation nationale a pour mission de transmettre des savoirs aux enfants, collégiens et étudiants et de leur fournir les éléments de jugement qui leur permettront plus tard de mener de façon autonome leur vie de citoyens, de travailleurs et de parents. Malheureusement, l’Education Nationale française n’a cessé de se déliter depuis que les faux-penseurs qui se sont installés aux commandes du Ministère depuis les années 68, se sont évertués à pervertir méthodes d’enseignement et programmes en répandant leurs fantaisies libertaristes et égalitaristes sans parler des « bourdieuseries » dont ils sont friands à propos de la société qui corrompt nos pauvres jeunes gens naturellement bons et géniaux. La dé-construction a bien eu lieu et le niveau s’est effondré avec la massification de l’enseignement et les lubies des « 80 % au baccalauréat » et du « tous en licence-master » sans sélection organisée en fonction des besoins et des aptitudes !
La chienlit et les lubies éducatives sont devenues si prégnantes aujourd’hui qu’elles ont remonté la hiérarchie jusque dans les cervelles de nos trois derniers ministres hollandesques, le trio infernal Peillon-Hamon-Najat Vallaud-Belkacem, qui a parachevé la dé-construction en se laissant conduire par l’idéologie 68tarde qui prévaut à tous les étages de l’Education Nationale.
Après quarante années de gabegie généralisée, il importe maintenant de rendre le pouvoir à un Ministre non contaminé (JM. Blanquer sera-t-il l’exception qui semble confirmer la règle de l’insignifiance ministérielle macronienne ?) et de le reprendre aux syndicats et aux pédagogistes qui font la loi dans le Ministère en matière éducative, de mettre fin à la co-gestion du personnel et des établissements en rétablissant l’autorité des directeurs d’établissements sur leur personnel et des maîtres sur leurs élèves, la discipline à l’école étant le meilleur facteur d’un apprentissage effectif. Non, les élèves ne savent pas mieux que leurs profs ce qu’ils doivent apprendre et ne sont pas capables de construire par eux-mêmes leurs propres savoirs ! Ces lubies conviennent peut-être à quelques génies mais il y a très peu de génies capables de « s’auto-construire » et 9 élèves sur 10 ont besoin de profs, de directives et de discipline !
L’école étant par ailleurs le facteur majeur de l’intégration des jeunes immigrés, il est évident que s’ils n’apprennent pas notre fameux « vivre ensemble » dès l’école, celle-ci deviendra le premier incubateur de chienlit sociale sinon de guerre civile et les enfants deviendront des voyous qui se retrouveront inéluctablement ballottés entre police et justice et dans l’incapacité de maîtriser leur avenir !
La gaucho-pensance libertariste et les tentatives de dé-construction égalitaristes de l’enseignement national en engendrant le désordre à l’école, a été le frein le plus pernicieux à l’intégration des jeunes de cette fameuse « diversité » et la cause principale de leur assimilation ratée à la société française.
La refondation de l’école reste à faire, c’est une question de salut national ! L’école est faite pour construire des jeunes capables et responsables, pas des « larves » paumées sans point de repère intellectuel, moral et civique.
Eradiquons la « gaucho-bien-pensance » et son avatar « bobo-libéral-progressiste » qui nous font penser faux et agir à contresens ! Amis sophistes qui corrompez la jeunesse, révisez vos contresens intellectuels et vos enseignements hors sol !
Recréer l’axe central police-justice pour assurer l’ordre public et la sécurité de tous :depuis que l’homme existe en tant qu’être social, depuis quelques milliers d’années donc, la police fait respecter la loi et la justice sanctionne. Or, depuis quelques décennies, des belles âmes se sont mises à prêcher que la prévention valait mieux que la sanction et que pour « prévenir » il fallait « expliquer ». Nous en sommes d’accord mais il s’agit là d’éducation et non de police et de justice puisque ces dernières n’interviennent précisément que lorsque l’explication donc l’éducation n’a pas suffi !
La police et la justice ne sont pas faites pour éduquer mais pour maintenir l’ordre républicain et sanctionner au cas où il serait enfreint. Si la justice ne remplit plus son office, elle entraîne la police dans une spirale dangereuse d’inefficacité et de violence.
Les individus qui n’ont pas été éduqués avec suffisamment de rigueur ou qui n’ont pas été capables de se fixer à eux-mêmes les limites de comportement acceptables dans la société où ils vivent, doivent donc être empêchés par la police et sanctionnés par la justice lorsqu’ils dépassent ces limites. S’ils ne sont pas empêchés ni sanctionnés, ils en viennent à croire que tout est permis et qu’il n’y a plus de limite à leurs imprudences, fantaisies, caprices, désirs ou volontés … ils recommencent donc et « d’incivilités » en forfaits, certains en arrivent à développer une telle volonté de puissance qu’ils s’érigent en chefs de bande, petits ou grands caïds et roitelets locaux, en s’exonérant du devoir de respecter la loi du commun des mortels.
Il faut donc les sanctionner pour bloquer le développement de ce processus de criminalisation mais si l’un des deux acteurs faillit à sa mission, la chienlit s’installe.
C’est précisément le cas de notre justice qui, pour des raisons de politique pénale mal pensée qu’on pourrait qualifier de délire judiciaire, ne joue plus son rôle et entraîne la police dans une spirale dangereuse pour l’ordre public. La justice ne sanctionne plus et la police malgré un stoïcisme remarquable dont on ne sait combien de temps il pourra tenir, commence à se décourager voyant ses efforts sur le terrain aussitôt anéantis par les non-décisions judiciaires qui s’ensuivent avec pour effet immédiat de décrédibiliser la police aux yeux des voyous et de rendre en conséquence, son travail toujours plus difficile sur le terrain. C’est ainsi qu’un grand éclat de rire dans les banlieues, avait accueilli les prêches de Mme Taubira en vue de ne plus appliquer les sanctions pénales habituelles et de les remplacer par des peines de substitution en dessous de 5 ans de réclusion ! Il faut en finir avec ces non-politiques et ces lâchetés de l’excuse sociale et de la rédemption des voyous par la vertu du Saint Esprit !
Notre justice doit donc être sévèrement recadrée en remplaçant d’urgence le laxisme judiciaire actuel par une politique de « tolérance « 0 » et en procédant à une « re-formation/ré-éducation » complète de notre corps judiciaire depuis l’Ecole de la Magistrature jusqu’aux plus hauts niveaux de la hiérarchie avec une particulière attention portée à cette partie dudit corps judiciaire contaminée par l’idéologie de « l’excuse sociale » liée à la vague de gaucho-bien-pensance qui a déferlé sur la justice comme sur le reste de la société.
La justice est là en effet, pour sanctionner et non pour assurer la « rédemption des pécheurs » et elle doit exercer son métier en s’abstenant de toute politisation ce qui n’a pas été le cas dans les dernières années comme l’ont amplement démontré l’affaire du « Mur des Cons » du Syndicat de la Magistrature auquel on ne peut s’empêcher de relier la vague des affaires politiques soulevées grâce à une certaine connivence entre quelques « juges-justiciers » et « journalistes-justiciers ». La justice n’est pas un instrument de vengeance politique, c’est l’application du droit sans autre considération que le droit et en équité. Cette déviance doit être éliminée sans pitié de notre environnement judiciaire.
Eradiquons la « gaucho-bien-pensance » et son avatar « bobo-libéral-progressiste » pour rendre son honnêteté, sa rigueur et son efficacité à la justice, sa force à la police et son autorité à l’Etat ! Amis juges, vous êtes là pour appliquer la loi à des délinquants, pas pour l’interpréter dans le sens de vos lubies politiques ou idéologiques !
Cadrage « immigration-islam » pour assurer la cohésion nationale et préserver l’identité française :la France accueille volontiers les « réfugiés » qui fuient les guerres ou l’insécurité et tous ceux qui s’intéressent à la France et veulent la visiter, éventuellement y travailler et peut-être s’y installer à condition que les visiteurs repartent lorsqu’ils auront achevé leur visite, que les travailleurs y travaillent et repartent dans leur pays lorsqu’ils auront achevé leur travail et que ceux qui veulent s’y installer aient de bonnes raisons de le faire, la première étant de devenir français en justifiant de leur complète assimilation au pays et à sa culture puisque la naturalisation ne peut être que la consécration d’une histoire d’amour avec le pays.
Le premier élément de jugement quant à la problématique d’immigration est que la France jouit d’une démographie satisfaisante et n’a pas vraiment besoin d’immigration. Elle peut donc se permettre de choisir qui elle veut recevoir en fonction de ses besoins, de ses possibilités d’accueil, de ses objectifs de développement et bien sûr, des garanties que peuvent offrir les demandeurs étrangers.
Le second élément déterminant est la loi de l’hospitalité qui partout dans le monde, exige que l’invité respecte son hôte, ses lois et ses coutumes. Il en découle que s’il ne les respecte pas, s’il se prend à déranger son hôte en pratiquant les siennes de manière trop visible, bruyante ou ostentatoire ou pire, s’il a la prétention de lui imposer les siennes, il sera aussitôt jeté hors de la maison. C’est l’idée d’intégration par respect de la loi républicaine sachant que c’est bien le demandeur qui doit faire l’effort de s’intégrer et de changer comme il convient ses habitudes et non l’hôte qui le reçoit. Il en va de la paix publique et de ce « vivre ensemble » dont la gaucho-pensance rebat à l’excès les oreilles des indigènes français !
Le troisième élément est le principe qu’on ne peut devenir français que lorsqu’on le veut et à condition d’être accepté comme tel à la suite d’un parcours d’intégration et d’assimilation sans tache. Ceci implique la révision du droit du sol quant à l’automaticité de l’attribution de nationalité par naissance sur le sol français qui doit disparaître de notre droit. La naturalisation d’un enfant né sur le territoire français, ne sera effective qu’après examen minutieux de confirmation. On ne peut devenir français en effet que si on aime la France, si on se sent français et si on se comporte en français avant de sacrifier à toute autre allégeance nationale, ethnique, religieuse ou spirituelle.
Ceci nous amène à la problématique annexe de l’islam qui rend plus compliqué encore pour les musulmans, le processus d’intégration et d’assimilation en raison du caractère « totalitaire » de cette religion.
Ils devront en effet se plier à des principes et des pratiques très différents de ceux en vigueur en terre d’islam où religion, vie privée et vie familiale, vie sociale et vie publique sont intimement mêlés et régis par des textes qui même lorsqu’ils sont lois ou règles d’Etat, ont le plus souvent une origine ou inspiration religieuse. En France en effet, il y a une séparation stricte de la sphère publique et de la sphère privée et une séparation encore plus stricte du « spirituel » qui se vit dans la sphère privée et du « temporel » qui est soumis à la loi de l’Etat et non à la « loi de Dieu », cette loi de Dieu telle que l’entendent notamment les musulmans ou du moins telle que certains musulmans intégristes voudraient l’entendre c'est-à-dire dans un sens très large avec l’idée de l’imposer à tous et pas seulement aux musulmans mais aussi aux non-croyants. C’est ainsi que la loi républicaine et les contraintes d’ordre public obligent les musulmans à respecter les lois bien évidemment mais aussi les us et coutumes d’un pays, la France, aux racines chrétiennes et de culture grecque et latine où il y a des choses qui se font et d’autres qui ne se font pas : les hommes et les femmes sont égaux et ont droit au même respect, on ne sépare pas les hommes et les femmes dans les lieux publics, on pratique sa religion et ses rites à la maison ou à l’église (ou à la mosquée) et non en public ni sur le lieu de travail ni dans les lieux d’accès public, la loi ou le règlement peut également interdire certains comportements publics ou le port de signes ostentatoires religieux, assimilables à du prosélytisme religieux ou considérés comme de la propagande politico-religieuse, etc … etc …
L’islam devra donc s’adapter comme l’ont fait les autres religions et la sanction du non-respect de ces obligations sera d’autant plus stricte et sévère que la culture arabo-musulmane est très respectueuse de la force mais tend à mépriser la faiblesse ou ce qu’elle considère comme telle qu’il s’agisse de tolérance, de laxisme ou de simple gentillesse. On pense en particulier aux discours et aux actes des intégristes musulmans qui ne cessent de pousser la population musulmane à tester la résistance des « kuffars » et de leurs autorités aux provocations qu’ils encouragent et parfois prêchent ouvertement.
Si l’islam ne se « discipline » pas lui-même et si la communauté musulmane ne fait pas rentrer dans le rang ses prêcheurs les plus excités, la République se chargera de le faire car elle ne tolérera pas le non-respect des lois ni la chienlit que cela provoquerait entre intégristes de l’islam et « indigènes » de souche. La cohésion nationale et la paix publique sont à ce prix et ils passent avant toute considération religieuse ou toute préoccupation « droit-de-l’hommiste ».
L’islam joue là sa survie en pays non-musulman et ce sera même pour lui une occasion à ne pas manquer de faire enfin sa réforme jusque dans le Dar el Islam, pour s’adapter aux contraintes de la vie au 21è siècle … et si certains musulmans n’acceptaient pas de se plier aux lois de la République ni de « réformer » leurs pratiques, libre à eux de partir et d’aller vivre dans des pays où ils pourraient vivre pleinement leur islam tel qu’ils le conçoivent ou le rêvent !
Eradiquons la « gaucho-bien-pensance » et son avatar « bobo-libéral-progressiste » pour rendre possible une co-habitation paisible entre immigrés de toutes origines ou confessions et « indigènes » français de souche. Amis immigrés, vous êtes les demandeurs, on attend donc de vous le respect absolu des lois et coutumes de la France et des français ! Amis musulmans, la France est un pays laïque où la pratique religieuse est et doit rester dans le domaine privé ! Sachez tous par ailleurs que les impératifs de cohésion nationale, de sécurité publique et de respect de l’ordre public sont des impératif nationaux auxquels votre présence sur le territoire français est strictement conditionnée.
Ce combat culturel, économique, sociétal et d’autorité de l’Etat sera celui du redressement de la France, une France forte, une et indivisible entre ses territoires et ses citoyens, une France naturellement rétablie dans son rôle séculaire de puissance-pivot de l’Europe, cette Europe dont la France et l’Allemagne auront la lourde tâche de faire la puissance mondiale de référence du 21è siècle.
Ce combat, ce ne sera pas la gauche qui le mènera engluée comme elle est dans sa « gaucho-bien-pensance ». Le « gauche-droite ou droite-gauche » du nouveau pouvoir « bobo-libéral-progressiste » ne sera pas non plus la solution puisqu’il confirme chaque jour par ses demi-mesures, bidouillages budgétaires et radotages d’éléments de com’ qu’il est aussi imperméable à la France et aux français que l’était le gouvernement Hollande et que comme lui, il restera dans l’accessoire sans jamais avoir le courage de s’attaquer à l’essentiel !
C’est donc la droite qui devra le mener ! Préparons-nous à prendre la relève au plus vite. La France ne peut se permettre de perdre encore cinq ans avant de relever la tête et prendre sa juste part de l’avenir du monde.